BOILEAU Nicolas
Né à Paris, le 1er novembre 1636, Nicolas Boileau était le quinzième enfant d’une famille bourgeoise. Orphelin de mère, il fut élevé par son père, qui occupait la fonction de greffier au parlement, lui-même issu d’une longue lignée de juristes. On le destine à l’Église, à onze ans il reçoit des lettres de tonsure, et est pendant huit ans prieur de Saint-Paterne. Rebuté par la théologie, il abandonne cette voix et poursuit ses études à la faculté de droit. Il fut appelé Despréaux (ce nom lui vient d’une terre qui appartenait à sa famille) tant que vécut son frère aîné, l’académicien Gilles Boileau. Dès 1653 il écrit des vers, et grâce à son frère, il fut introduit dans des cercles mondains et distingués, où il put faire ses premières armes en littérature.Il fait des études de théologie, de droit. En 1656, il devient avocat. Il abandonne définitivement cette voie dès 1657, la mort de son père lui ayant permit, grâce au revenu que lui procura sa part d’héritage, de se sentir à l’abri du besoin : il décida alors de se consacrer à la poésie. * Satires * Épitres * Ouvres poétiques diverses * Oeuvres en prose * Correspondance Lettres a Racine,Brossette, etc. Nicolas Boileau, à la FNAC. | Dernières brèvesActualités
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