|
LES ONG SUBISSENT LES CONTRE EFFETS DE LA RECESSION |
|
|
Last Updated: September 4, 2009 |
Page: 1 |
By Lesego Tlhwale (BTM Intern)
AFRIQUE DU SUD – 24 Août 2009: Alors que la crise financière porte ses effets avec la hausse du niveaux de l’instabilité économique, le future des Organisation Non Gouvernementale sud africaines travaillant en faveur des droits des Lesbienne, Gays, Bisexuels, Transsexuels, Intersexes (LGBTI) demeure incertain dans la mesure où elles dépendent toutes des même financiers étrangers.
Ne bénéficiant pas de l’aide du gouvernement parce que beaucoup opèrent comme Organisations à but non Lucratif, ces organisations, les premières victimes des coupures budgétaires, pourraient être forcé de fermer les portes si les principaux financiers se retirent.
“Les ONG doivent trouver des idées pour s’auto financer dans la mesure où les financiers se retirent ou ont une particulière durée de vie, » a conseillé Gugu Bayne de Atlantic Philantropies.
Elle a également ajouté “que les ONG travaillant dans le même secteur devaient collaborer entre elles plutôt que de rivaliser pour obtenir les même financements.”
Atlantic Philantropies a révélé que de nombreuses ONG ont cessé leurs activités à cause du manqué de financement.
“Avec la situation financière mondiale actuelle, nous constatons que tout le monde serre la ceinture, et la ou nous sommes le plus affecte c’est au niveau du personnel; nous n’avons plus les moyens de pourvoir d’autres postes dont nous avons tant besoin.
Nous n’avons également pas eu les fonds nécessaire pour augmenter les salaires du personnel depuis deux ans,” a dit Liesl Theron, Directeur de Gender Dynamix.
Dans le même temps, John Campbell de Hivos, l’un des plus grands financiers des ONG oeuvrant dans le secteur des LGBTI, a confirmé que les organisations LGBTI “frappent aux même portes.”
“HIvos seul finance directement cinq des principales organisations LGBTI en Afrique du Sud et avec toutes ces ONG dépendant des même financiers, cela pourraient entraîner dans le future une limitation dans les fonds disponibles,” Campbell a affirme.
Dawie Nel, Directeur de OUT-Wellbeing a fait remarquer que si un des principaux financiers se retire ou décide de fermer les portes, toutes ces organisations vont subir les mêmes effets et “cela n’augure rien de bon pour le secteur LGBTI.”
Alors que l’article de 1997 qui régit l’existence des Organisation a but non lucratif souligne que une les ONG ou n’importe quelle organisation doit se faire enregistrer en tant que organisation à but non lucratif afin d’être éligible pour recevoir les financements de la part des différent départements du gouvernement, le gouvernement semble ignorer cela quand il s’agit de financer le secteur LGBTI.
Zanele Mngadi, porte parole du Département National du Développement Social a confirmé que “nous n’avons en ce moment aucune organisation enregistre avec le gouvernement ou les départements.”
Certaines ONG au contraire font savoir qu’elles ont essayé de consulter les différents départements du gouvernement sans succès.
“Nous avons auparavant essayé au niveau du gouvernement local et du département du développement social et nous n’avons reçu aucune réponse positive,” a dit Theron.
Seul un petit nombre d’organisations telles que OUT-Wellbeing font partie des chanceuses qui ont réussies à obtenir des financements de la part du gouvernement ce qui, elle le reconnaissent, a demandé de leur part beaucoup d’effort pour établir la confiance et “ des relations de travail pendant plus de quatre ans avant que nous puissions obtenir des financements de la part du Ministere de la santé,” a conclu Dawie Nel, directeur de OUT.
|