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les lesbiennes aussi enclines au cancer de sein

Last Updated: November 3, 2008

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Par Mongezi Mhlongo, Reporter BTM

SANTE- 03 Novembre 2008: Le mois d’Octobre a été retenu comme mois de la sensibilisation sur le cancer de sein en Afrique du sud. A cette occasion, une recherche menée par le site ‘lgbthealthchannel’  (qui se focalise sur les problèmes de santé et du bien-être des gays) a  trouvé  que les lesbiennes, les bisexuelles et les femmes qui entretiennent des rapports sexuels avec d’autres femmes (WSW) ont plus de chance de développer un cancer de sein que les femmes hétérosexuelles.

Les conclusions de cette recherche mettent l’accent sur le fait que le cancer de sein peut parfois être associé au fait de ne pas concevoir.

Selon l’association sud-africaine de cancer (CANSA) «le cancer de sein est le type de cancer le plus rependu chez les femmes en Afrique du Sud avec les statistiques montrant qu’une femme sur 26 diagnostiquées en souffre. L’association déclare aussi que plus de 3000 femmes meurent chaque année du cancer de sein dans ce pays.

D’autres facteurs qui peuvent contribuer à ce que ces femmes contractent le cancer de sein, selon CANSA, sont  l’alcool, l’obésité,  la cigarette et la thérapie de remplacement d’hormones, plus particulièrement les lesbiennes qui remplacent les hormones avec celles du sexe opposé.

Martha Molete, la porte-parole de CANSA indique qu’il est temps d’accroitre la sensibilisation pour la réduction du développement du cancer de sein chez les femmes.

« Les femmes doivent ‘s’aimer elles-mêmes’ et être en mesure de détecter les symptômes de la maladie le plutôt possible en procédant à une mammographie sur avis d’un médecin, après 40 ans d’âge et bénéficier d’un soutien si le diagnostique est positif”, conseille-t-elle.

Elle souligne que tres peu est fait pour sensibiliser les lesbiennes, bisexuelles et WSW sur le cancer de sein.

La directrice d’un centre de santé de la communauté gay et lesbienne de Durban, le Durban Lesbian and Gay community health centre fait écho aux mêmes sentiments en suggérant que le mois de la sensibilisation sur le cancer de sein est une grande opportunité pour attirer  l’attention du public sur les maladies spécifiques contre lesquelles personne n’est immunisé mais dont les risques sont toujours menaçant.

Elle indique aussi qu’il y a des initiatives entreprises par des organisations de santé non gay qui aident à sensibiliser sur le cancer de sein mais par contre les communautés LGBTI sont souvent ignorées de telles initiatives.

« Malheureusement, comme les organisations de santé ne portent leur attention sur les communautés LGBT, l’éducation sur le cancer de sein et d’autre cancers menaçant ces communautés reste uniquement entre les mains des quelques organisations LGBT”  déclare  Nonhlanhla Mkhize.

Dans la même ligne d’idées, Delene van DYK, qui est en charge de la santé mentale au OUT LGBT-Wellbeing souligne comment les lesbiennes ont été exclues du système de santé sur certains aspects.

“Cette situation a un impact sur la  façon dont les lesbiennes elles-mêmes et la communauté LGBT en général répondent à leurs problème de santé. Plusieurs lesbiennes sous-estiment leurs chances de contracter le cancer  et ne sont pas être avisées sur les risques qu’elles encourent” déclare Van Dyk.

Selon elle, il devrait y avoir des programmes d’intervention visant des femmes lesbiennes afin de leur permettre de prendre soin d’elles-mêmes, tant pour leur bien-être physique et moral.

Van Dyk exprime entre temps sa joie devant la mise sur pied d’une initiative récente dénommée : Prevention and Research Initiative for Sexual Minorities Community Centre, PRISM) – une initiative de recherche et de prévention pour la communauté des minorités sexuelles.

Pour Van Dyk, cette l’initiative offre un service “complémentaire des services actuellement disponibles tels que  les OUT Clinic et les centre pour le bien-être”

PRISM travaille en collaboration avec 17 autres organisations en Afrique australe qui se focalisent sur l’amélioration de la qualité et de la quantité des moyens de prévention contre les IST et le VIH pour les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes (HSH) aussi bien que les WSW.

Van Dyk indique aussi que OUT LGBT-Wellbeing lancera des ateliers de santé et de bien-être qui vont se focaliser sur la dissémination de l’information sur les symptômes du cancer de sein et du processus de l’examen du sein en 2009.

Entretemps, Beulah Jankelowitz, coordinatrice nationale de Reach for recovery (un group de soutien international du cancer de sein), et survivante du cancer de sein admet que le cancer de sein est un diagnostique effrayant qui ne fait pas de distinction de race, religion, couleur ou croyance.

Sur une note positive, elle a souligné cependant que « ce n’est pas une sentence de mort, mais plutôt une sentence de vie en ce sens que l’on a besoin d’être vigilant et d’aller  au contrôle médical nécessaire”.
 
  



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