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29 septembre 2003

 

Le cabaret du Capitole serait détruit pour faire place à un nouvel immeuble

Le Journal de Québec nous informes ce matin que le Cabaret du Capitole, l'ancien Cinéma de Paris, pourrait être détruit pour faire place à un nouvel immeuble à bureau de huit étages.

Jean Pilote, propriétaire unique du théâtre Capitole et du cabaret a confirmé au journal que le projet est bel et bien sur la table et qu'il est présentement au stade de l'étude de faisabilité.

D'une valeur estimée à sept millions de dollars, le projet prévoit un restaurant au rez-de-chaussé (on parle d'un steak house ou d'une brasserie française), un deuxième étage commerciale, quatre étages de bureaux et deux étages qui accueillerait quatre condos de luxe. On espère commencer les travaux en 2005

On se rappellera que le cinéma de Paris devait d'abord faire place à un hôtel d'environs huit étage. Ce n'est qu'après avoir constaté l'impossibilité d'aller de l'avant avec ce projet, en raison du comité de citoyen si ma mémoire est bonne, que le cabaret est né.

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16 septembre 2003

 

Construction de 20 M $ aux Jardins Mérici

Les Jardins Mérici s'agrandissent avec la construction d'un nouvel immeuble de 14 étages comptant 112 condominiums. Pour ce complexe immobilier du chemin Saint-Louis, il s'agit de la dernière phase d'expansion.

Jean-Pierre Ruel, l'un des promoteurs du projet avec le groupe Cadim, une filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec, soutient que près de 80 % des unités mises en prévente à la fin du mois de juin ont déjà trouvé preneurs.

La construction évaluée à environ 20 millions $ a lieu sur un terrain situé derrière le collège Mérici qui, lui, donne sur le chemin Saint-Louis.

Les condos d'une superficie variant de 900 à 2300 pieds carrés se vendent entre 125 000 $ (une chambre) et 550 000 $ (penthouse).

"Évidemment, les prix varient en fonction de l'espace, de l'orientation et des ajouts voulus par les propriétaires. Plus les acheteurs veulent habiter en hauteur, plus les prix grimpent", indique Jean-Pierre Ruel.

Si tout se déroule comme prévu, la construction, qui a débuté la semaine dernière, devrait être terminée en avril 2005. Les promoteurs prévoient toutefois être en mesure de livrer les premiers appartements dès décembre 2004.

L'architecture ne devrait pas détonner du reste des Jardins Mérici. Les propriétaires auront aussi accès à une piscine extérieure.

Cette phase d'expansion des Jardins Mérici vient donc s'ajouter à un parc de 350 logements locatifs et quelque 800 condos. A terme, le nombre de logements de ce complexe immobilier devrait ainsi atteindre les 1135 unités.

(Pierre Couture - Le Soleil du 16 septembre 2003)

Image disponible dans un de mes précédents billets

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13 septembre 2003

 

Grande Allée : photo

Gérald Gobeil m'a envoyé une photo de l'affiche sur Grande allée représentant les changements apportés à cette artère. Cela fera très rue St-Joseph.

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10 septembre 2003

 

Travaux sur Grande-Allée

Étant donné qu'on ne sait pas grand-chose des travaux en cours sur Grande-Allée, on prend ce qui passe! Cité dans un article du Carrefour, le maire à déclaré qu'"en redonnant une partie de la chaussée aux piétons, la Grande-Allée sera encore plus vivante qu'elle l'est maintenant. De plus, les commerçants pourront presque doubler la superficie de leurs terrasses après ces travaux".

À noter que j'ai envoyer un courriel à la ville lundi dans la journée pour savoir comment se procurer les rendus des projet en cours, comme la Grande-Allée. J'attend toujours une réponse...

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8 septembre 2003

 

Importants travaux de réfection sur la Grande Allée

Le maire de Québec et le ministre responsable de la région de la Capitale nationale ont donné lundi le coup d'envoi aux travaux de réfection de la Grande-Allée.

Les travaux qui visent entre autres à refaire les réseaux d'aqueducs et d'égouts s'étaleront sur une période de deux mois.

Suite du texte sur le site de Radio-Canada

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3 septembre 2003

 

Pas si simple de couper un érable centenaire dans la capitale

Pouvez-vous abattre un arbre sur la foi d'une autorisation verbale ? Les propriétaires de l'entreprise Izba Spa du boulevard René-Lévesque ont appris à leurs dépens que tout citoyen doit détenir une autorisation écrite avant de procéder à l'abattage au risque de recevoir une volée de bois vert.

Lundi, les policiers sont intervenus à la demande d'un citoyen, Claude Gaudreau, pour empêcher l'abattage d'un érable centenaire, qui, selon les propriétaires du centre beauté Izba Spa (secteur Cartier), nuit à l'agrandissement prévu de leur commerce.

Mais voilà, les commerçants ne disposaient pas d'un permis d'abattage du service de l'environnement de la Ville de Québec. Ils agissaient, selon leurs dires, après avoir obtenu une autorisation, ou plutôt une garantie verbale à l'effet que leur demande serait acceptée.

Et c'est la que réside le "noeud" du problème. A ce chapitre, Jacques Perron, porte-parole de la Ville de Québec, est catégorique. "La consigne du service d'environnement est claire : '' Aucune opération ne doit être faite sans autorisation écrite ''."

Les propriétaires s'exposent maintenant à une amende pour avoir procédé sans permis. L'employé municipal qui a rencontré les propriétaires de Izba Spa devra quant à lui fournir des éclaircissements sur la nature des propos qu'il a tenus.

Claude Gaudreau, membre du comité consultatif d'urbanisme de l'arrondissement de la Cité, va plus loin. Il compte même contester un avis favorable, qui émanerait éventuellement du service de l'environnement. "Malgré ce qu'on en dit, c'est un arbre centenaire en pleine santé. S'il le faut, je demanderai une contre-expertise pour le prouver."

Des milliers de demandes

De Loretteville à Québec, de Cap-Rouge à Beauport, tous les citoyens de la nouvelle ville doivent demander un permis pour couper un arbre en façade de propriété et de gabarit imposant. "Le demandeur doit expliquer pourquoi il veut couper l'arbre, et le service de l'environnement juge de la pertinence de la demande. Mais si c'est uniquement parce que l'arbre fait de l'ombrage, la demande risque d'être refusée", précise M. Perron. En 2002, la Ville a analysé 2135 demandes d'abattage dont la majorité a été acceptée. Cette année, elle en a reçu 1254 en date d'hier.

Cette mesure d'émission de permis pour l'abattage des arbres s'inscrit dans la politique de reboisement amorcée par la Ville il y a déjà quelques années. "Depuis plus de 10 ans, la Ville a entrepris un virage vert dont font partie les opérations de reboisement, particulièrement dans les quartiers centraux." L'an dernier, 2200 arbres étaient plantés dans les lieux publics. "A cela, il faut ajouter les arbres plantés par les propriétaires sur leur terrain", commente M. Perron.

Ce dernier illustre que les choix sont parfois déchirants, comme les deux ormes qui devront être coupés prochainement en raison des travaux sur Grande Allée. "Ils vont se retrouver au milieu du trottoir et ne survivraient pas aux travaux."

(Jean-François Néron - Le Soleil du 3 septembre 2003)

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27 août 2003

 

Cinéma Cartier - Action!

Après quelques mois de report, le cinéma de l'avenue Cartier a été inauguré la semaine dernière. Les promoteurs, qui sont aussi propriétaires du CinéVidéoClub, auront investi un demi-million pour faire revivre une vieille tradition à la haute-ville.

D'abord prévue pour avril, l'ouverture a finalement eu lieu il y a quelques jours. Ce délai aura permis de fignoler le produit, estime le directeur général, MICHEL SAVOY. Ces améliorations ont cependant un prix. À l'origine, le budget devait s'élever à 150 000$. Près de trois ans plus tard, la facture a gonflé à 500 000$.

Propriété de Martin Brandl, la nouvelle salle tentera de recréer l'engouement que suscitait l'ancien Cinéma Cartier, jusqu'à sa fermeture en 1987. Grande différence cependant, il disposera d'une technologie de pointe. L'image sera d'une qualité irréprochable, puisque ce sont les versions DVD qui seront présentées. "Nous avons mis la main sur le plus récent projecteur numérique. C'est le seul en opération dans une salle au Canada", affirme-t-il. Dispendieux, ce joujou dernier cri: 127 000$ !

Confort au premier rang

Histoire de rendre l'expérience plus mémorable, l'accent a été mis sur le confort. Contrairement à ailleurs, le cinéphile aura droit à de véritables fauteuils de salle de spectacle.

Toujours par souci de confort, assure-t-on, le nombre de sièges a été réduit. La salle, qui se trouve dans le même édifice que le CinéVidéoClub, devait comprendre 150 places à l'origine. Finalement, elle n'en compte que 118, disposées en gradin. "Nous n'avons pas voulu compacter les spectateurs, uniquement pour une question de rentabilité. Nous voulions qu'ils aient suffisamment d'espace", explique-t-il.

À l'affiche

Du côté de la programmation, le Cinéma Cartier se veut complémentaire à ce qui se fait du côté des grandes chaînes et du Clap. Des films de répertoire, des classiques et des productions jusque-là reléguées à l'anonymat seront à l'affiche. "Parmi les 20 premiers films que nous mettrons à l'affiche, 14 n'ont jamais été vus en salles à Québec", renchérit-il. Les cinéphiles invétérés en auront amplement à se mettre sous la dent. Le classique de Charlie Chaplin, "Le dictateur", l'incontournable "Il était une fois en Amérique" et les créations du controversé Michael Moore y seront notamment offerts.

Les instigateurs du projet ne craignent pas la concurrence des grandes chaînes. Selon eux, le marché de Québec est en mesure d'accueillir une salle spécialisée comme le Cinéma Cartier. "Le fait que le CinéVidéoClub connaisse du succès en misant sur des films de répertoire est un bon indicateur qu'il y a un marché pour ça", croit M. Savoy.

(Denis Leclerc - Le Carrefour du 28 août 2003)

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