Revenir page d'accueil
 L'arrondisement La Cité, Vieux-Québec
 

Les projets par arrondissement
La Cité
 -Champlain / Vieux-port
 -Haute-ville
 -St-Roch
 -St-Sauveur
 -Vieux-Québec
Les Rivières
Ste-Foy-Sillery
Charlesbourg
Limoilou
Beauport
Haute-Saint-Charles
Laurentien

Les projets par catégorie
Commercial
Condo
Logement locatif
Maison / bungalow
Parc
Rue
Transport en commun

séparateur

Autre carnet urbain
-Gatineau urbain

Qui est le prochain?

séparateur

Du même auteur

-Contributions sur Pssst
-Le petit livre de la vie selon Francis, Quand c'est le temps de geuler

séparateur

Me contacter

Que vous soyez un promoteur immobilier ou un simple citoyen amoureux de Québec, que ce soit pour me suggérer une idée d'article ou pour tout autres raisons, c'est par ici

Click to see the XML version of this web page. (qu'est ce que c'est?)

 


13 juillet 2003

 

Mise en lumière de la porte Saint-Louis

La Commission de la Capitale nationale a procédé samedi à la mise en lumière de la porte Saint-Louis et d'une partie des fortifications qui la sépare de la porte Kent.

Suite du texte sur Radio-Canada


2:41:53 PM  Lien permanent   commentaire(s)

********************


22 juin 2003

 

Le Vieux-Québec "pour les touristes"

Le journal Voir s'attarde cette semaine sur "Québec - Disney World." C'est David Desjardin qui ouvre la danse avec sa chronique intitulé Calèche-Nikov (Ha! Que serait le journal voir sans ses titres en jeu de mot?) et Yasmine Berthou s'y lance ensuite à l'aide d'un article plutôt intéressant: traffic d'affluence.


3:53:33 PM  Lien permanent   commentaire(s)

********************


17 juin 2003

 

Le provincial paiera pour les pots cassés; Le Palais Montcalm pourrait également être fermé et "placardé", menace le maire de Québec

Si jamais le gouvernement libéral refuse de donner le feu vert au projet d'édifice à bureaux sur la rue D'Estimauville, la Ville de Québec n'hésitera pas à faire payer le provincial pour les pots cassés, a prévenu Claude Larose hier soir à la séance du conseil municipal.

La division des investissements du Canadien National (CN) a accepté de prolonger jusqu'au 1er juillet - mais pas plus - son offre de ventes des Galeries Sainte-Anne. "La présente prolongation ne constitue en aucun cas une renonciation à réclamer les dommages subis pendant cette période (en plus des autres dommages découlant de l'imposition de la réserve)", écrit Francis R. Stark, conseiller juridique du CN, dans une lettre adressée à la Ville de Québec.

A la suite de celle-ci, Jean-Paul L'Allier a envoyé lui aussi une missive, le 28 mai, mais à Monique Jérôme-Forget, rappelant à la présidente du Conseil du Trésor l'importance "considérable" pour Québec de ce projet de revitalisation urbaine dans un quartier "plus ou moins défavorisé".

"Le difficile montage que nous avons élaboré jusqu'à présent risque de s'écrouler si nous n'obtenons de votre part le feu vert pour l'exécution du projet de la Société immobilière du Québec. Si cet investissement nous faisait défaut, c'est pendant de nombreuses années que ce secteur risquerait de péricliter, faute de bougie d'allumage."

L'édifice à bureaux donnerait le signal de la revitalisation du boulevard Sainte-Anne, à laquelle tient particulièrement l'administration L'Allier.

La Ville de Québec est dans l'expectative concernant ce projet de 46,4 millions $, qui aurait accueilli 1200 fonctionnaires dès la fin de 2004, depuis l'élection du gouvernement de Jean Charest. Le dernier budget n'a pas levé le voile sur la situation, ce que déplore le maire L'Allier sans toutefois qu'il condamne l'attitude des libéraux.

"Les gens l'ont choisi..."

Bien que ce budget va "pénaliser la région" en raison des nombreux projets mis sur la glace, M. L'Allier souligne que ce "gouvernement de droite, c'est ce que les gens ont choisi". Il s'assurera donc qu'il n'ait pas "d'impact fiscal pour les citoyens dans la prochaine année".

Le maire de Québec n'a pas l'intention d'entrer en guerre ouverte avec les libéraux, ni même leur mettre des bâtons dans les roues, mais il n'ira pas jusqu'à plier l'échine.

Si le gouvernement de Jean Charest se refuse à allonger les 17 M $ nécessaires pour le Palais Montcalm, non seulement il va rester fermé, "mais on va le placarder : c'est une question de principe", lance le maire L'Allier en expliquant qu'il incombera au gouvernement d'expliquer aux gens et aux touristes pourquoi ce bâtiment de la place D'Youville reste obstinément clos.

(Éric Moreault - Le Soleil du 17 juin 2003)

Si le Palais Montcalm est une équipement municipal, pourquoi L'Allier pense que c'est une obligation provincial de payer pour sa rénovation?


7:46:16 PM  Lien permanent   commentaire(s)

********************


16 juin 2003

 

Fini les autobus dans le Vieux !

Le Carrefour ammène plus de précision sur le projet d'autobus écologique dans le Vieux-Québec :

Plus de place pour les piétons, des minibus écologiques et des stationnements en périphérie, voilà ce que propose la Ville dans son plan de "Gestion intégrée des déplacements dans le Vieux-Québec". "Des solutions qui devraient plaire autant aux résidants qu'aux commerçants", croit Normand Chatigny, responsable de la circulation au sein du comité exécutif.

Ce plan sera présenté officiellement au gouvernement fédéral le 25 juin prochain. Il fait partie des candidatures finales pour les subventions que le gouvernement octroiera dans le cadre du Programme de démonstration en transport urbain que le fédéral a mis de l'avant pour essayer de diminuer les gaz à effet de serre. NORMAND CHATIGNY croit que Québec a de bonnes chances d'obtenir l'aide d'Ottawa. "Notre projet est très complet et vise plusieurs formes de mesures visant à diminuer la circulation dans le Vieux-Québec. Les autres villes n'ont pas de projets qui intègrent autant de composantes que nous".

Si le fédéral décide d'aller de l'avant, la Ville a l'intention de mettre en place des parcours de minibus écologiques dans le Vieux-Québec. Ces petits autobus, pouvant contenir une trentaine de personnes, fonctionneront avec un système hybride d'électricité et de diesel. Ils offriront aux usagers des parcours gratuits. De plus, ceux qui désireront le prendre pourront savoir en tout temps combien de temps il reste avant le passage du prochain autobus. Des panneaux seront installés pour fournir cette information aux usagers grâce à un système de localisation par GPS. Huit minibus devront être achetés, au coût de 4,8 M$. De plus, opérer de ces circuits coûtera 1,4 M$ annuellement.
Les autocars seront dorénavant interdits à l'intérieur des murs, sauf pour ceux qui iront déposer les visiteurs à leur hôtel ou au restaurant. Pour faire un tour de ville, les touristes devront se promener à pied ou utiliser les circuits d'autobus écologiques. Ils pourront être déposés aux gares intermodales qui seront aménagées à différents endroits en périphérie du Vieux-Québec.

Aussi, des zones d'ambiance pédestres et cyclistes seront privilégiées sur certaines rues, dont Sault-au-Matelot, Saint-Antoine, Grande Allée, D'Auteuil et la Côte d'Abraham. À ces endroits, les trottoirs seront élargis pour laisser plus de place aux promeneurs. "Nous laisserons plus de liberté aux restaurateurs pour aménager des terrasses, dans le but de créer une ambiance conviviale et intéressante à vivre", explique M. Chatigny.

Afin de diminuer la circulation automobile, des panneaux indicateurs seront aussi mis en place en périphérie du secteur pour guider les automobilistes vers le stationnement offrant le plus de cases. Ainsi, avec ces panneaux, les conducteurs pourront savoir s'il reste ou non des places dans les stationnements du quartier, ce qui évitera la circulation inutile.

L'ensemble de ce projet est évalué à 17,4 M$, qui seraient répartis également entre la Ville et les deux paliers de gouvernements.

(Jean LaRoche - Le Carrefour du 15 juin 2003)


8:54:53 PM  Lien permanent   commentaire(s)

********************


12 juin 2003

 

La Ville veut réduire la circulation lourde dans le Vieux-Québec

La Ville de Québec propose un plan de gestion intégrée des déplacements dans le Vieux-Québec. Le projet prévoit une diminution importante de la présence d'autobus, autant les autocars que les véhicules du RTC.

On mettrait en place un service gratuit de minibus écologiques notamment pour les touristes et les résidents du quartier.

Suite du texte et reportage audio sur le site de Radio-Canada


5:25:49 PM  Lien permanent   commentaire(s)

********************


2 juin 2003

 

Avenir du D'Auteuil; Un cul-de-sac administratif

Été 2001 : des murs du D'Auteuil s'effondrent. Et puis, et puis... Rien. L'édifice tricentenaire grillagé et placardé, verrue urbaine sur le visage du Vieux-Québec classé patrimoine mondial, reste à la merci des éléments et des règlements. Il n'y a pas de risques d'effondrement, dit-on. A part celui de son propriétaire et de celui qu'il pourrait causer si on lui accorde un permis de démolition.

Jean Alart sait bien qu'il ne l'obtiendra pas, ce permis. Mais en désespoir de cause, il espère qu'avec celui-ci, il pourra coincer la Ville et le ministère de la Culture dans une situation paradoxale, où il ne peut démolir ni construire.

L'homme d'affaires fondait tous ses espoirs sur la demande de changement de zonage pour l'implantation d'un restaurant dans le tiers restant du bâtiment - il a conservé les droits acquis pour la Fourmi Atomik et le bar-spectacles D'Auteuil. Le comité consultatif l'a rejetée, sur division.
Parce que les résidants et les restaurateurs du Vieux-Québec s'y sont opposés, les premiers par peur du bruit, du désordre, même si le bâtiment est bordé de commerces et de la maison Dauphine sur les côtés et des remparts à l'avant, les seconds, par peur de la compétition, même si les restos qui ferment depuis l'imposition d'un moratoire dans le secteur ne sont pas remplacés.

La conseillère Odile Roy, responsable de l'aménagement du territoire, signale que le Comité exécutif de Québec pourrait passer outre à la recommandation. "On cherche activement une solution : tout est encore possible." Jean Alart et les membres de la coopérative de travail de la Fourmi Atomik restent sur leur quant à soi, eux qui ont vécu trop de revers de fortune depuis deux ans. "On n'a pas vraiment d'espoir pour ce qui est de la réouverture", souligne Martine Laroche, la coordonnatrice de la coop, en soulignant la "démoralisation générale".

Si elle n'impliquait pas la maison Loyola, un bâtiment patrimonial magnifique, du moins ce qu'il en reste, sis du 27 1/2 au 35 de la rue D'Auteuil, des emplois et l'argent de M. Alart, l'absurdité de la situation ferait rire. "C'est une application bête de règlements, sans jugement", juge M. Alart.
D'abord, la Régie du bâtiment a décrété une remise aux normes - "si on les appliquait, on fermerait les trois quarts du Vieux-Québec ", grince M. Alart. Ce qui demande l'obtention d'une attestation de solidité de la part d'un ingénieur. Puis, le bâtiment est classé, ce qui implique des travaux très onéreux pour respecter les normes, genre 2,3 millions $.

La Ville, la Société d'habitation et le ministère de la Culture ont allongé 1,2 million $ en subventions pour les rénovations de ce fleuron de la vie sociale et culturelle des Québécois et de nombreux touristes - la terrasse de la Fourmi était l'une des mieux situées et des mieux fréquentées, sans parler de tous les artistes d'ici comme ailleurs qui ont animé la salle géniale du D'Auteuil.

Mais les institutions bancaires refusent de prêter de l'argent - "dès qu'elles voient Vieux-Québec , c'est difficile de se financer, encore plus de s'assurer, c'est du délire. Imaginez quand vous leur parler d'un bar..." Et le prêt de 835 000 $ que consentirait la caisse populaire du Vieux-Québec le laisse à court de 300 000 $.

M. Alart ne veut commencer les travaux sans être couvert car il peut tout perdre. Un investisseur pour le resto ? Impossible de convaincre quelqu'un avant d'avoir obtenu la modification au zonage. Vendre ? Au pire du pire, "je suis prêt à perdre de l'argent", mais pas à se départir pour "1 $" de l'édifice qu'il a payé 600 000 $. A ce compte-là, croit-il, aussi bien laisser pourrir et payer sur 10 ans les 250 000 $ qui restent sur l'hypothèque. Et il s'entête à conserver la vocation commerciale des lieux même si, croit-il, les autorités aimeraient mieux qu'il baisse les bras et qu'on puisse construire des condos dont le prix serait, évidemment, très dispendieux. "On me parle toujours de nuisances (causées par les bars)..."

Jean Alart défend le droit à une certaine vie sociale dans un Vieux-Québec "de magasins de t-shirts" et se défend contre les peurs "à la magouille". Il rêve d'une coopérative qui exploiterait en synergie la salle de spectacles, le bar et le restaurant. C'était un projet de la coop de la Fourmi, qui voulait tirer parti du D'Auteuil. Mais c'était avant l'effondrement malencontreux. Les pertes d'exploitation du bar qui ont suivi - "plus de 100 000 $" - ont fait mal aux finances. Et pour une coop, trouver du financement, "c'est plus difficile", indique Mme Laroche.

Paraît que les fonctionnaires municipaux de l'urbanisme et provinciaux de la culture se sont rencontrés cette semaine pour discuter d'un assouplissement de l'aspect conservation / restauration à l'intérieur, ce qui serait moins coûteux. Le resto, capable de payer un loyer élevé, ne serait plus nécessaire pour amortir l'investissement. On pourrait y loger un commerce de détail, comme avant.

En attendant, la maison balafrée a l'air d'une zone sinistrée sur une rue dans laquelle la Ville s'apprête d'ailleurs à investir 1,1 million $, pour des travaux de réfection... Et dans le meilleur des cas, il n'y aurait pas de réouverture avant deux, trois ans.

"Tant qu'il n'y aura pas de volonté politique, ça ne pourra pas se faire, estime Jean Alart. Si chacun mettait de l'eau dans son vin..."

(Éric Moreault - Le Soleil du 2 juin 2003)


6:20:37 PM  Lien permanent   commentaire(s)

********************


28 avril 2003

 

Le Comité des citoyens du Vieux-Québec essaie de sensibiliser la Ville aux problèmes du quartier

Un groupe de citoyens a organisé hier une visite du Vieux-Québec qui n'avait rien de touristique. Le but: sensibiliser des conseillers de la ville aux problèmes de logement, de circulation et de qualité de vie dans le quartier.

La présidente du Comité des citoyens du Vieux-Québec, Françoise Sauriol, était déçue que seulement deux conseillers municipaux se soient déplacés, soit le maire suppléant Jacques Joli-Coeur et la conseillère Lisette Lepage, qui représente l'Action civique dans l'arrondissement Beauport.

"On s'attendait à un peu plus de collaboration", a-t-elle dit. Elle a tout de même fait part des doléances de son groupe aux deux élus en faisant une petite visite à pied du quartier.

Le comité souhaite que la ville adopte une politique officielle de revitalisation du Vieux-Québec, comme elle l'a fait pour relancer le quartier Saint-Roch.

Mme Sauriol a souligné l'importance de mettre l'accent sur l'habitation et de faire un inventaire des terrains à développer et des immeubles dont les étages supérieurs pourraient être convertis en logements.

"Il y en a des dizaines d'édifices comme ça", souligne la présidente, montrant du doigt deux immeubles sis sur la rue Buade, tout près de la cathédrale de Québec.

"Ça fait quatre ans qu'on demande cette liste, et on l'attend encore", a-t-elle déploré.

Le comité souhaite que la ville joue un rôle de catalyseur pour inciter les propriétaires d'édifices délabrés ou vides à entreprendre des rénovations. La tâche est ardue puisque les propriétaires doivent faire face à une montagne de règlements à respecter afin de modifier un bâtiment situé au coeur d'un arrondissement historique comme celui du Vieux-Québec. Le maire suppléant a convenu qu'il était "attristant" de constater une telle perte d'espace et a indiqué qu'il prenait bonne note des demandes du comité.

Le groupe de citoyens a également rappelé l'engagement de la ville d'interdire en 2005 l'accès du Vieux-Québec aux autobus, à moins que ce ne soit que pour déposer les valises des voyageurs.

Jacques Joli-Coeur a indiqué qu'il s'agissait d'un engagement ferme de l'administration L'Allier et que l'horizon 2005 était toujours envisagé. Il a ajouté qu'un règlement serait déposé d'ici juin sur les livraisons dans ce quartier - un irritant pour les résidants - et qu'il serait mis en application cet automne.

(Le Soleil du 28 avril 2003)


5:14:07 PM  Lien permanent   commentaire(s)

********************



Listed on BlogShares © Copyright 2003 Francis Vachon
Last update: 13-07-03; 14:42:03


Juillet 2003
Dim Lun Mar Mer Jeu Ven Sam
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
Juin   Aou

Les projets majeurs à Québec

Ressources pour les résidents de Québec et des environs