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1 octobre 2003

 

Théâtre Impérial: Lever de rideau en novembre

C'est le 25 novembre que reprendra vie le théâtre qui a accueilli pendant près de cinq ans les Folie's de Paris. L'animateur radiophonique François Reny et l'homme d'affaires Michel Cadrin sont à l'origine de cette renaissance de la salle de la rue Saint-Joseph.

L'homme d'affaire MICHEL CADRIN, qui a fait fortune dans le domaine pharmaceutique, est le principal bailleur de fonds. Il a investi 750 000$ pour acquérir la salle, qui portera dorénavant le nom de Théâtre Impérial.

Quant à FRANÇOIS RENY, il contribuera, en amenant avec lui décors, costumes et articles de scène qu'il a conservés au fil des années. M. Reny, qui a créé le spectacle "Noël à Québec", traîne aussi avec lui son expérience du milieu artistique.

Bien que la salle construite en 1917 soit en bonne condition, près de 250 000$ supplémentaires seront investis afin de l'améliorer. La peinture sera rafraîchie à quelques endroits et on la dotera de systèmes d'éclairage et de sonorisation plus modernes.

Négos complexes

De l'aveu de MM Cadrin et Reny, conclure la vente n'a pas été une partie de plaisir. La salle ayant fait l'objet d'une faillite, la transaction a été plus compliquée. Des négociations ont même dû avoir lieu, simplement pour s'approprier le nom "Théâtre Impérial".

Michel Cadrin pense que ces efforts en valent le coup et que l'aventure s'avérera rentable. Il admet toutefois avoir eu des doutes lorsque François Reny l'a approché pour l'entretenir du projet. "Je ne connais rien au monde artistique, concède-t-il. C'est donc la passion de François qui m'a convaincu. Je crois également que la salle est bien située. À mon avis, ce n'est qu'une question de temps avant que la rue Saint-Joseph devienne le coeur de Saint-Roch".

Formule différente

M. Reny ne craint pas de revivre les mêmes déboires que ceux connus par les Folie's de Paris. "Les Folie's se sont acharnés à maintenir le même genre de spectacles pendant des années. Le marché de Québec est trop petit pour ça. Il y a "Elvis Story" qui tourne depuis longtemps au Capitole, mais c'est exceptionnel", analyse-t-il.
La formule préconisée par les nouveaux acquéreurs aura peu de similitudes avec les Folie's. On compte offrir une programmation plus variée. Des productions maison, des comédies musicales et des spectacles de type cabaret sont envisagés. Des spectacles intimes et acoustiques sont aussi prévus à ce théâtre qui peut accueillir 500 spectateurs. "De plus en plus d'artistes recherchent de petites salles. C'est le cas de Serge Lama, avec qui nous négocions", confie M. Reny.

Selon ce dernier, il ne fait aucun doute que le Théâtre Impérial aura sa place dans la Vieille Capitale. "Les salles de dimensions moyennes ne sont pas nombreuses à Québec. Il y a surtout des théâtres de 1000 places et plus, comme le Grand Théâtre et le Capitole", observe-t-il.

En plus de la salle de spectacles, le projet comporte aussi la création d'une Académie du "show-business" au deuxième étage de l'édifice. Les jeunes artistes pourront y apprendre les rudiments du métier. Sous la forme des "Master classes" de New York, des vedettes y tiendront des ateliers.

(Denis Leclerc, Le Carrefour du 2 octobre 2003)

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29 septembre 2003

 

Immeuble IBM/LGS : le projet est toujours vivant

Suite à mon interrogation d'hier, une source proche de l'hôtel de ville m'indique que l'immeuble IBM/LGS se poursuit comme prévu. La pancarte " à vendre " que certains ont aperçu se rapporte en fait à un autre immeuble qui ne fait pas partit du projet.

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Le cabaret du Capitole serait détruit pour faire place à un nouvel immeuble

Le Journal de Québec nous informes ce matin que le Cabaret du Capitole, l'ancien Cinéma de Paris, pourrait être détruit pour faire place à un nouvel immeuble à bureau de huit étages.

Jean Pilote, propriétaire unique du théâtre Capitole et du cabaret a confirmé au journal que le projet est bel et bien sur la table et qu'il est présentement au stade de l'étude de faisabilité.

D'une valeur estimée à sept millions de dollars, le projet prévoit un restaurant au rez-de-chaussé (on parle d'un steak house ou d'une brasserie française), un deuxième étage commerciale, quatre étages de bureaux et deux étages qui accueillerait quatre condos de luxe. On espère commencer les travaux en 2005

On se rappellera que le cinéma de Paris devait d'abord faire place à un hôtel d'environs huit étage. Ce n'est qu'après avoir constaté l'impossibilité d'aller de l'avant avec ce projet, en raison du comité de citoyen si ma mémoire est bonne, que le cabaret est né.

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28 septembre 2003

 

Édifice IBM/LGS : fini?

J'ai reçu 2 courriels en fin de semaine portant sur le même sujet :

(…) une pancarte "À Vendre" de La Capitale est apparue ces derniers jours sur un des édifices initialement prévus pour la démolition au coin de Charest et Dorchester. Le projet serait-il définitivement sur la glace?

Quelqu'un en sais plus?

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24 septembre 2003

 

Incertitude pour D'Estimauville ; Les commercants font front commun

Des gens d'affaires de l'axe D'Estimauville/boulevard Sainte-Anne ont décidé de se regrouper. Inquiets, ils veulent connaître l'avenir qu'entendent réserver la Ville et le gouvernement Charest à leur secteur.

Depuis que le gouvernement Charest a mis sur la glace le projet de tours à bureaux sur le site des Galeries Sainte-Anne, l'incertitude plane dans ce secteur. Le 15 septembre dernier, une vingtaine de gens d'affaires se sont réunis pour discuter de la question et de l'avenir de leur quadrilatère.

"On n'entend plus du tout parler de projets pour notre secteur et ça nous inquiète. Si on se faisait dire que rien n'allait se réaliser, au moins on serait fixé", lance JACQUES BEAUDET, directeur du commerce La Commode.

À l'issue de cette assemblée, un comité composé de six marchands a été mis sur pied. Sa première action sera de rencontrer les élus municipaux et provinciaux afin d'avoir l'heure juste. Les ministres Michel Després et Sam Hamad, de même que le conseiller municipal Claude Larose, sont dans la mire du comité.

Incertitude dommageable

M. Beaudet admet toutefois que l'incertitude qui plane dans le secteur pourrait avoir des effets néfastes sur l'implantion de futurs commerces. Déjà, certains marchands se seraient retrouvés le bec à l'eau.

"Il y a moins d'un an, une femme d'affaires a choisi d'implanter son salon de coiffure ici. Elle est venue avec la conviction que la revitalisation allait s'enclencher. Elle est évidemment déçue que ce ne soit pas encore démarré", conclut M. Beaudet.
Efforts à faire

M. Beaudet croit cependant que la solution pour redonner vie à D'Estimauville/Ste-Anne ne passe pas uniquement par les actions politiques. "Peu importe que ce soit une initiative de la Ville, du gouvernement ou du privé, il serait souhaitable qu'un signal clair soit lancé", insiste-t-il.

Les gens d'affaires doivent également faire leur part et s'impliquer dans un projet de revitalisation, croit-il. D'après lui, la construction de bureaux gouvernementaux aux Galeries Ste-Anne n'est pas le remède à tous les maux. "Les commerçants doivent aussi travailler à améliorer leur propre sort", relève-t-il.

Le comité de commerçants s'affairera donc à trouver des moyens visant à augmenter l'achalandage. L'une de ses interventions pourrait être de cibler les commerces qui manquent dans le secteur. Des gens d'affaires seraient alors approchés pour s'y implanter.

(Denis Leclerc - Le Carrefour du 25 seprembre 2003)

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15 septembre 2003

 

Québec et Paris: Même combat?

Un petit courriel de Daniel Dufour que je reproduis ici.

"Paris voit peu à peu disparaître ses commerces de proximité"

Je lis fréquemment sur Q-U des gens qui trouvent que la rareté des commerces de proximité à Québec et que l'attrait des grandes surfaces de "banlieue" sont des vices propres à Québec. Bien des gens semblent croire que les québécois forment une race à part d'amateurs de Wall*Mart et d'automobiles.

Il n'y a rien de malsain à critiquer de façon constructive le comportement des citadins québécois mais, d'un autre côté, les critiques font fausse route lorsqu'elles réduisent les Québécois à un cas occidental hors du commun.

Les Québécois se trouvent dans une situation classique. Si on maquillait les références géographiques dans l'article du "Monde", on retrouverait la même réalité que celle de Québec et sans doute d'un très grand nombre de villes occidentales.

Quand je lis que les Québécois souffrent de tel ou tel problème urbain parce qu'ils "aiment leur chars" ou, surtout, parce qu'il y a trop d'autoroutes, je sursaute à chaque fois. L'absence d'autoroutes à Paris n'empêche pas les parisiens d'aller faire leurs courses en banlieue. D'ailleurs, pour l'avoir fait moi-même, le réseau de RER est tellement efficace qu'il est très facile pour un parisien sans voiture d'aller s'acheter une batterie de cuisine dans un des 4 méga-Ikea de la banlieue. À la base, autoroutes ou pas, c'est le rythme de vie des gens et le coût des denrées qui les pousse vers les grandes surfaces.

Si on veut régler des problèmes, il faut donner du temps et de l'argent aux gens. Surtout du temps. Cet aspect de la vie sociale est-il urbain? Je ne le sais pas. La question est posée.

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4 septembre 2003

 

Chut!

Billet retiré temporairement

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1 septembre 2003

 

Nouvelles diverses pour St-Roch;Ce sera un magasin au Rez-de-chaussée de l'ex-Syndicat

Bernard Bastien est mon informateur privilégié du quartier St-Roch. De temps en temps, il m'envoie un courriel et ce n'est jamais banal. Voici son dernier.

Les dernières rumeurs sur le développement du quartier St-Roch, suite à des propos de Jean Campeau rapportés par personnes interposées... sous toutes réserves :

Plusieurs projets d'ouvertures de commerces ont été et sont retardés, notamment par les délais dans l'exécution des travaux, c'est l'heure de pointe dans la construction! Le Baltazar a ouvert avec deux mois de retard, il en est de même de la boutique de jouets à ouvrir dans l'ancien Zellers. D'ailleurs, cette boutique en sera une hors du commun, on parle de boutique plutôt haut de gamme avec des concepts spéciaux. Par exemple, vous voulez acheter une jolie poupée de collection, une préposée en tenue d'infirmière ira à la "pouponnière" chercher pour vous votre nouveau "bébé"...

Le Baltazar, qui offre déjà un peu plus que la boutique de déco urbaine avec son petit comptoir de chocolats fins, se verrait annexé d'un bar "lounge" pour 5 à 7 urbains (ça ne copierait-il pas ce que Rouje fait déjà?).

Le fameux grand local vacant situé au rez-de-chaussée de l'édifice CGI, où on croyait voir arriver un Archambault, serait le lieu d'établissement d'un nouveau restaurant. Je n'ai pas trop de détails à ce sujet, apparemment on peut déjà observer du matériel de cuisine arrivé dans le local. Ça ne sera pas un McDo, ça tout le monde peut s'en douter avec les propos déjà tenus par Campeau et Marcon au sujet des fast-food! Mais, en même temps, j'apprends que McDonald finira par avoir son local quand même et ouvrira une petite franchise dans le quartier St-Roch...

J'ai eu la "chance" d'être invité à la grande soirée d'ouverture officielle de la boutique Baltazar, mercredi dernier. Accueil sur le tapis rouge, dégustation progressive, orchestre jazz, tout le gratin mondain local est venu remplir les lieux pour célébrer l'arrivée de ce lieu de prestige qui s'ajoute aux endroits "in" qui prennent d'assaut le quartier St-Roch. Le Yuzu Sushi Bar offrant ses hosomaki, Pain & Passion y était avec fromages et olives, on avait aussi différents autres mets fins à déguster, vin et autres boissons alcoolisées aussi, tout ça "sur le bras". Je ne fittais pas trop dans le décor mais c'est quand même plaisant de jouer aux observateurs de ce monde parallèle...

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