Revenir page d'accueil
 L'arrondisement La Cité, St-Roch
 

Les projets par arrondissement
La Cité
 -Champlain / Vieux-port
 -Haute-ville
 -St-Roch
 -St-Sauveur
 -Vieux-Québec
Les Rivières
Ste-Foy-Sillery
Charlesbourg
Limoilou
Beauport
Haute-Saint-Charles
Laurentien

Les projets par catégorie
Commercial
Condo
Logement locatif
Maison / bungalow
Parc
Rue
Transport en commun

séparateur

Autre carnet urbain
-Gatineau urbain

Qui est le prochain?

séparateur

Du même auteur

-Contributions sur Pssst
-Le petit livre de la vie selon Francis, Quand c'est le temps de geuler

séparateur

Me contacter

Que vous soyez un promoteur immobilier ou un simple citoyen amoureux de Québec, que ce soit pour me suggérer une idée d'article ou pour tout autres raisons, c'est par ici

Click to see the XML version of this web page. (qu'est ce que c'est?)

 


10 août 2003

 

Immeuble IBM, photo 8

En raison de mes vacances et de la nouvelle présence dans ma vie, j'ai un peu négligé la photo hebdomadaire de l'immeuble IBM. Voilà qui est corrigé. Vous constaterez cependant que vous n'avez pas manqué grand-chose puisque le projet n'a pas du tout bougé depuis ma dernière photo.

Lien permanent -  commentaire(s) - Voir aussi: Commercial Projet - immeuble IBM St-Roch

********************


28 juillet 2003

 

Pas dans mon Mail; L'arrivée possible d'une soupe populaire rue Saint-Joseph inquiète les commerçants du secteur encore recouvert

L'arrivée possible d'une soupe populaire dans le Mail centre-ville, seule partie de la rue Saint-Joseph encore recouverte d'un toit, suscite la grogne des commerçants du secteur, effrayés par l'impact que pourrait avoir la présence d'itinérants et de flâneurs indésirables sur leur chiffre d'affaires.
Le déménagement du Café rencontre centre-ville, qui offre chaque midi des repas à plus de 200 personnes démunies, coin Du Pont et Saint-François, est seulement à l'étape de projet, mais déjà, des voix s'élèvent pour inciter ses promoteurs à aller s'installer ailleurs dans le quartier.
Johanne Devin, directrice de la Société de développement commercial centre-ville, avoue que pas un seul des commerçants que son association représente " est resté insensible " à ce " sujet brûlant ".

" Ce sont deux activités incompatibles, explique-t-elle au SOLEIL. On ne peut pas avoir à la fois une soupe populaire et penser développer le commerce (dans le Mail). C'est aller au-devant des problèmes. "

Stéphane Champagne abonde dans le même sens. En compagnie de sa conjointe, Nathalie Deschênes, il gère une confiserie juste en face du local que lorgnent les responsables de la soupe populaire. Le commerçant craint que la présence d'itinérants et de flâneurs fasse fuir sa clientèle. D'autant plus que ce n'est pas exactement le portrait que le promoteur lui avait fait miroiter.

" On a pris un an et demi avant de décider de venir s'installer ici, mentionne-t-il. On nous promettait des commerces de luxe et une belle clientèle. On parlait d'un McDo's qui ouvrirait en face à un certain moment. Je paye un loyer comme si j'étais aux Galeries de la Capitale et je risque de me retrouver avec une soupe populaire. Ce n'est pas ça qui va m'apporter l'achalandage promis. "

A l'instar des autres marchands du Mail, Stéphane Champagne marche sur des oeufs. D'un côté, il reconnaît qu'il faut aider les plus démunis et les nécessiteux, qu'il s'agit là d'une responsabilité sociale collective, mais de l'autre, il en va aussi de la survie de son commerce. D'autant plus, précise-t-il, qu'il est situé dans la partie couverte de la rue Saint-Joseph qui tarde à prendre son envol commercial, contrairement à ce qui se passe plus à l'ouest, où le toit a été enlevé. " Pourquoi venir s'installer sur une artère principale ? Pourquoi ne pas aller s'installer ailleurs dans le quartier ? " demande M. Champagne.

Vendeuse depuis 17 ans au magasin de chaussures Jacques Parent, le commerce d'à côté, Micheline Pagé est elle aussi catégorique: " On n'est pas contre les démunis, mais il n'y a pas de place pour eux ici. "

" Imaginez si L'Auberivière allait s'installer à Place Fleur de Lys ou Place Laurier ? " renchérit Michel Belleau, de la bijouterie du même nom. " Ce n'est pas ici que ça devrait aller, mais à chaque fois qu'on s'en est plaint, on n'a jamais eu de réponses de la Ville, comme si on parlait pour ne rien dire. "

"Pas des gens à problèmes"

Au Café rencontre centre-ville, Éric Lavoie explique que le projet de déménagement est " assez sérieux ", même " si ce n'est pas encore fait ". Le but de l'opération vise à regrouper sous un même toit la soupe populaire et la friperie, située ailleurs dans le quartier. " Ça fait 16 ans que nous sommes ici et on commence à être serrés. En plus, on paye deux loyers. "

M. Lavoie ne voit pas ce qui pourrait irriter les marchands du secteur dans la mesure où les clients de la soupe populaire entreront par la rue Mgr Gauvreau et que c'est une friperie qui donnera sur le Mail. " Il y a deux ou trois commerçants, pas plus, que ça dérange, croit-il. " Les gens qui viennent à la soupe populaire ne sont pas des gens à problèmes. Ils viennent manger et s'en retournent chez eux. "

François Moisan, attaché politique du maire L'Allier, explique que la Ville a eu vent du projet du Café rencontre centre-ville et qu'elle ne peut s'y opposer puisque tout se fait " en conformité avec le zonage et dans le respect des normes du quartier ".

(Normand Provencher - Le Soleil du 28 juillet 2003)

Lien permanent -  commentaire(s) - Voir aussi: St-Roch

********************

Revitalisation du quartier Saint-Roch; Le nouveau visage de la rue Saint-Joseph

Les boutiques haut de gamme s'établissent en grand nombre sur ce qui était, il y a deux ans et demi, " la rue recouverte la plus longue au Canada "

La disparition du toit du Mail centre-ville a radicalement changé l'allure de la rue Saint-Joseph. Rien à voir avec l'ambiance déprimante qui a régné dans ce qui était, il y a à peine deux ans et demi, " la rue recouverte la plus longue au Canada ". N'empêche, tout n'est pas nécessairement rose sous la partie qui subsiste.

A la faveur de l'arrivée de plusieurs entreprises de pointe, de centres artistiques et d'agences gouvernementales, les boutiques haut de gamme commencent à pousser sur la rue Saint-Joseph mise à jour. En avril, c'était la boutique de meubles Villa ; il y a deux semaines, Baltazar, un magasin d'accessoires de cuisine, de décoration et de meubles. Un chic restaurant de sushis, Yuzu, a aussi ouvert ses portes, à deux pas de là. Et personne ne regrette son choix.

"Ça marche très fort. Le soir, c'est toujours plein", note Guillaume Giguère, serveur au resto japonais de la rue de l'Église.

"On vient d'ouvrir, sans aucune publicité, et ça va très bien. C'est un quartier à découvrir", explique Claudia Poulin, gérante chez Baltazar.
Véronique Boileau, copropriétaire du magasin de meubles indiens et asiatiques Villa, soutient que le choix de la rue Saint-Joseph, s'il en a surpris plusieurs au début, n'est nullement remis en question. "On nous a trouvés audacieux et un peu fous, mais il s'agissait de se lancer. Les affaires vont selon le plan prévu. C'est sûr que ce n'est pas facile, il faut travailler fort, mais nous sommes contents de notre choix."

"On a toujours cru au quartier, nous", poursuit Lucie Morrissette, directrice générale du magasin Laliberté, le légendaire commerce de la rue Saint-Joseph. Les affaires roulent bien : un chiffre d'affaires en hausse de 7 à 8 % par rapport à l'an dernier, glisse la patronne qui estime toutefois que tout n'est pas parfait pour autant. "La relance immobilière de la rue est faite, mais la relance commerciale est plus lente."

Mme Morrissette pense à tous ces rez-de-chaussée d'édifices dont les vitrines sont placardées. Chaque jour apporte sa rumeur sur la venue d'éventuels locataires. On parle d'un magasin de jouets pour l'ancien édifice du magasin Paquet, actuellement en rénovation. L'ouverture d'un autre resto haut de gamme est aussi dans l'air, ainsi que de la venue de quelques pubs, établissements essentiels à la création d'un véritable night-life sur Saint-Joseph. Autant de rumeurs qui n'ont pu être vérifiées, le principal promoteur de la relance immobilière dans Saint-Roch, M. Jean Campeau, n'ayant pas retourné nos appels.

Une vision d'ensemble

"Ça (la relance) ne paraît pas encore en dehors des heures d'affaires", déplore Johanne Devin, directrice de la Société de développement commercial Saint-Roch, elle-même citoyenne du quartier. "Il y a eu beaucoup d'attentes avec la démolition d'une partie du toit du Mail. On pensait que ça irait plus vite. On vit une sorte de période de flottement."

La femme d'affaires souhaite vivement que l'entreprise privée prenne le relais afin d'"animer" le secteur. "La Ville a fait part, ce n'est plus à elle à supporter l'activité commerciale dans ce secteur."

Pierre Duchesne, propriétaire de la boutique Photo Presto depuis 25 ans, a vécu les deux époques de la rue Saint-Joseph, avec toit et sans toit. Il ne reviendrait pas en arrière. Il sent que la clientèle se fait de moins en moins tirer l'oreille pour venir faire un tour dans le coin. A preuve, la hausse de 50 % de son chiffre d'affaires depuis l'an dernier, attribuable à la revitalisation de la rue, croit-il, mais aussi à une campagne de publicité plus importante.

"L'enlèvement du toit a fait en sorte que les clients n'ont plus peur. Au contraire, ils en ont tellement entendu parler qu'ils ont le goût de venir. Depuis le Sommet des Amériques, les affaires vont en augmentant." Si l'homme d'affaires a une chose à déplorer, c'est le manque de vision d'ensemble dans le développement de la rue. Lui aussi trouve que les vitrines placardées sont encore trop nombreuses. "Les rénovations de façades, c'est bien beau, mais il faut aussi se préoccuper de ce qu'on veut mettre à l'intérieur"

Une vision d'ensemble, c'est aussi ce que souhaite Lucie Morrissette, qui pousse l'idée jusqu'à faire disparaître ce qui reste du toit du Mail centre-ville.

Un Mail fragile

Qu'en est-il maintenant de la rue Saint-Joseph, celle qui demeure à l'ombre, sous le toit ?

De plus en plus, ce spectre d'une autre époque semble s'imposer comme une frontière entre l'ancienne et la nouvelle rue Saint-Joseph. Le commerce dans le Mail centre-ville demeure fragile. " Dans le Mail, ça ne va pas bien. Sept ou huit commerces ont fermé depuis un an. Ce n'est pas un secteur où l'on sent un renouveau. Les commerçants sont déçus, ils s'attendaient à plus ", observe Johanne Devin.

"Je me plaindrai pas de mon chiffre d'affaires, mais c'est tough", confirme le confiseur Stéphane Champagne.

La dizaine de locaux à louer laissent en tout cas une étrange impression. Le Pub Edward, installé dans le Mail depuis un bon moment, a fermé ses portes il y a deux semaines. Et la venue possible d'une friperie et d'une soupe populaire dans l'ancien restaurant Le Palais d'Orient n'a rien pour améliorer les choses.

Sans toit ou avec toit ?

Le salut passe-t-il par la disparition du toit du Mail ? Personne ne s'entend là-dessus.

"Il y a les deux opinions : ceux qui veulent sa disparition et ceux qui veulent le garder, en disant que ça permet le magasinage à l'abri des intempéries ", explique Johanne Devin. Je crois que le développement du commerce dans le Mail passe davantage par l'essor de la rue Saint-Joseph, pas nécessairement par la disparition du toit."

"Qu'on l'enlève ou qu'on le laisse (le toit), ça ne change pas grand-chose ", ajoute Pierre Duchesne.

Quoi qu'il en soit, le toit est là pour encore un moment. La Ville de Québec n'a aucun plan pour l'enlever, du moins "à court terme", dit François Moisan, attaché politique du maire L'Allier, qui ne croit pas que sa présence a une incidence majeure sur la fréquentation. N'empêche, la Ville compte voir ce qu'elle peut faire pour donner un coup de pouce aux commerçants. " Nous comptons tenir une réunion avec eux afin de trouver une façon de donner (au Mail) un second souffle."

(Normand Provencher - Le Soleil du 28 juillet 2003)

Lien permanent -  commentaire(s) - Voir aussi: Commercial Rue St-Roch

********************


13 juillet 2003

 

Objets urbains

Le nom est Baltazar et c'est ouvert depuis quelques jours seulement sur St-Joseph. Au rez-de-chaussée, on y trouve une multitude de choses pour la cuisine. C'est du moderne, c'est beau, c'est du haut de gamme et les prix sont donc en conséquence. Des salières et poivrières, des chaudrons, des tasses à café, thé ou expresso, des verres, des ustensiles et bien plus. Maman, ne va pas là, tu vas te ruiner! C'est le genre de magasin où le plaisir de magasiner juste pour regarder est bien présent. Un livre sur le thé à 45$ ou un ensemble à Sushi, c'est le genre de chose qu'ont hésite à s'acheter mais qui s'offre tellement bien en cadeau!

On accède au second étage par un bel escalier. Là, il y a le coin salle de bain (rideaux de douche, serviettes et débarbouillettes, bains moussant, etc.). Il y a aussi un petit espace pour le salon avec quelques meubles qui y sont présentés.

Avec Villa, l'autre magasin de meuble et décoration récemment ouvert sur la même rue, St-Joseph est en train de devenir un incontournable pour ceux qui cherchent quelque chose d'unique pour la maison.

Lien permanent -  commentaire(s) - Voir aussi: St-Roch

********************

Immeuble IBM, photo 7

Il ne reste presque plus de trace des trois immeubles détruit la semaine passée. Seuls quelques gravats témoignent qu'il y avait là autre chose que du vide. Vivement le même sort pour les deux autres!

Pour les nouveaux ici, voici un rappel du projet et la série de photo.

Lien permanent -  commentaire(s) - Voir aussi: Commercial Projet - immeuble IBM St-Roch

********************


10 juillet 2003

 

St-Roch : Tour d'horizon

Le Journal Voir continu cette semaine sa tournée des quartiers de Québec en s'attardant sur St-Roch

De l'aveu des autorités, le centre-ville de Québec agonisait il y a une douzaine d'années. Trois cent cinquante-cinq millions de dollars plus tard, les grues sont maîtres du terrain et les immeubles aux façades en métal brossé sont à l'honneur dans les environs du Jardin Saint-Roch. Mais au-delà de l'embellissement physique et de l'arrivée par centaines de travailleurs et d'étudiants venus faire du 9 à 5, la qualité de vie des résidants du quartier a-t-elle été améliorée? Certains en doutent sérieusement.

J'aime bien que Voir sorte un peu de sa mission culturelle pour toucher à " l'urbanité ". Nous avons eu droit à des articles sur différents quartiers de Québec (ce n'est peut-être pas encore fini...) et nous aurons probablement droit bientôt (la semaine prochaine?) à un article portant sur un sujet déjà traité sur Québec urbain et qui à mené à une longue discussion dans la section commentaire. Je n'en dits pas plus pour ne pas "vendre le punch" (on ne m'aimerait pas à Voir je crois!) mais cela risque d'être très intéressant.

Lien permanent -  commentaire(s) - Voir aussi: St-Roch

********************


5 juillet 2003

 

Immeuble IBM, photo 6

Cinq moins trois, cela donne bien deux n'est-ce pas?

Lien permanent -  commentaire(s) - Voir aussi: Commercial Projet - immeuble IBM St-Roch

********************


3 juillet 2003

 

INRS : Des images bientôt!

Lise Roy, responsable des communications pour l'INRS, me précise que très bientôt apparaîtra aux abords du chantier de l'INRS une enseigne dévoilant enfin la représentation du bâtiment en construction. Le premier qui m'envois une photo de cette enseigne gagne la reconnaissance éternelle de la communauté québecurbaine.

Lien permanent -  commentaire(s) - Voir aussi: Projet - INRS St-Roch

********************


28 juin 2003

 

INRS : élévation de la structure

Eh non! Toujours aucun rendu pour l'immeuble de l'INRS. Cependant, nous finirons bien par constater quelle allure il aura puisqu'ils ont commencé à installer la structure d'acier. Deux photos prises ce matin.

Lien permanent -  commentaire(s) - Voir aussi: Projet - INRS St-Roch

********************

Immeuble IBM, photo 5

Comme il était facile de l'imaginer, le feu d'hier a obligé la ville à procéder à la destruction plus rapide que prévu de certains immeubles qui feront place à la tour IBM/LGS. La photo officielle de la semaine nous montre un bulldozer en pleine destruction de l'immeuble du Marinier. Dans la journée, l'autre immeuble, celui du "Toujours deux Pizza", subira le même sort alors que les 3 autres attendront. En bonus, vus que je vous aime tout plein, voici quelques autres photos de l'opération.

Lien permanent -  commentaire(s) - Voir aussi: Commercial Projet - immeuble IBM St-Roch

********************



Listed on BlogShares © Copyright 2003 Francis Vachon
Last update: 11-08-03; 23:21:29


Août 2003
Dim Lun Mar Mer Jeu Ven Sam
          1 2
3 4 5 6 7 8 9
10 11 12 13 14 15 16
17 18 19 20 21 22 23
24 25 26 27 28 29 30
31            
Jui   Sep

Les projets majeurs à Québec

Ressources pour les résidents de Québec et des environs