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14 août 2003

 

Condo à la Pointe Ste-Foy : le concept de la rue du Campanile mis à mal

Il avait été récemment annoncé qu'un nouveau projet de condo sur la rue du Campanile verrait bientôt le jour. Le Soleil a pour la première fois publié hier une publicité pour ce nouvel immeuble en copropriété qui prendra place dans la zone libre en face de la pharmacie et de l'épicerie utilisée temporairement comme stationnement.

Décevant. Très décevant.

Le concept de la rue du Campanile était simple efficace. Une rue où l'ensemble des immeubles serait d'une architecture sobre mais original, laissant une large place aux piétons avec toutes les façades donnant directement sur la rue en cachant quelques cases de stationnement à l'arrière des édifices, tout cela probablement inspiré des principes du nouvel urbanisme.

Voilà que l'image présentée dans la publicité laisse deviné une architecture que mes connaissances très basiques de la chose qualifieraient de post-moderne et qui détonnera de manière fort peu subtile dans son environnement. Cela aurait été beau n'importe où sauf là.

Comme si ce n'était pas assez, l'immeuble sera construit en retrait de la rue, laissant à l'avant du bâtiment un grand stationnement. Et toujours contrairement aux autres immeubles de la rue qui possède (presque) tous un commerce au rez-de-chaussée et des condos/logements aux étages, cet éléphant dans un magasin de porcelaine n'offrira que des condos. C'est en tous cas ce que laisse supposer la publicité.

La taille de l'immeuble, qui est beaucoup plus long que ses voisins, n'aide vraiment pas non plus à son intégration.

Ouais… Décevant... Très décevant...

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30 juillet 2003

 

Sainte-Foy; Hydro coupera les arbres chez ses "locataires"

Ce qu'on prend pour acquis risque à tout moment de nous glisser entre les doigts. Des résidants de Sainte-Foy l'apprennent à leurs dépens alors qu'Hydro-Québec s'apprête à couper des dizaines d'arbres qu'ils considéraient leurs.

Depuis plus de 30 ans, environ 200 propriétaires de l'arrondissement ont choisi d'agrandir leur cour arrière en louant à la société d'État une portion de l'emprise située sous les lignes de transport 2367 et 2367D. Jusqu'au mois de juin, tout le monde y trouvait son compte : les citoyens disposaient d'un plus grand espace pour leurs aménagements paysagers et l'entreprise se voyait déchargée de l'entretien de cette bande de terrain large d'environ huit mètres.
Mais voilà que la lune de miel se termine. Hydro-Québec prépare un grand ménage sous ses lignes de transport et c'est celle de Sainte-Foy qui passera la première sous le couperet. Pour assurer la sécurité des habitants et des travailleurs, plus question d'élaguer. Tous les arbres dépassant quatre mètres seront coupés.

" Avec le temps, les gens ont fait des plantations qui ne sont pas conformes au bail signé, explique le conseiller en relations avec le milieu, Jean-Marc Darveau. On l'a toléré pendant longtemps, jusqu'au moment où la pratique a présenté un réel danger. "

Une question de contrat

Pour pouvoir bénéficier d'une partie du terrain appartenant à la société d'État, les citoyens doivent signer un bail. Le document stipule clairement les privilèges que la compagnie se réserve. " Le locateur aura accès en tout temps aux lieux loués pour entretenir ses installations. (...) Il pourra émonder ou couper les arbres présents, sans obligation de sa part d'indemniser le locataire. " On peut aussi lire que toute végétation excédant 15 pieds de hauteur est prohibée.
Par ailleurs, plusieurs résidants ont acquis leur demeure après que les arbres furent plantés. Peu des propriétaires rencontrés par LE SOLEIL étaient au courant des restrictions de leur bail avant d'être convoqués à une réunion d'information le mois dernier. Ils se retrouvent maintenant impuissants et désabusés devant la disparition imminente de " leurs " arbres.

" J'ai acheté ma maison pour le terrain, confie avec colère Pierre Bernard, qui habite depuis neuf ans la rue Père-Dollier. Je ne crois pas à leurs arguments. Leur discours, c'est de la démagogie pour faire peur au monde ! Ils ont parlé de coupe à blanc sans même proposer de solution de rechange. "

On retrouve le même son de cloche auprès de son voisin, Pierre Côté. " Je trouve curieux que dans une ville, on puisse couper plusieurs centaines d'arbres en santé en invoquant des raisons de sécurité, déplore-t-il. On peut facilement contourner ce problème. Ça fait 35 ans qu'Hydro émonde les arbres pour ne pas que les branches touchent aux fils. Je ne vois pas pourquoi la situation est plus dangereuse aujourd'hui. "

Pour éviter de voir leur aménagement paysager détruit, plusieurs sont même prêts à payer eux-mêmes l'élagage des feuillus qui ornent leur terrain loué. Une proposition que l'entreprise gouvernementale rejette du revers de la main. " On ne laissera pas des tiers s'occuper de la gestion du réseau de transport, affirme le conseiller en relations avec le milieu, Jean-Marc Darveau. Nous sommes conscients que les citoyens tiennent aux arbres, mais ils doivent comprendre qu'ils ne leur appartiennent pas. Lorsqu'on loue une propriété, on doit se conformer aux critères du propriétaire. Hydro-Québec est libre de faire ce qu'elle veut sur son terrain"

Mobilisation citoyenne

Malgré le mécontentement populaire, la compagnie d'électricité a parfaitement le droit de procéder aux travaux de coupe. Le règlement de zonage de la Ville de Sainte-Foy autorise l'abattage d'un arbre si celui-ci " est dangereux pour les personnes et les biens ". Comme c'est justement l'argument invoqué, difficile pour les citoyens d'entreprendre des démarches auprès des autorités municipales.

Ingénieure à l'Association forestière du Québec métropolitain, Anick Lapointe voit mal quel recours il reste aux protecteurs des végétaux. " La préservation de la flore n'est pas toujours une priorité quand vient le temps de faire des affaires, indique-t-elle. Dans l'émondage et dans l'abattage, ils coupent pour dégager les lignes, pas pour assurer la santé des arbres. Pour que la végétation soit épargnée, il faut que les propriétaires en décident ainsi. La solution qui reste pour les citoyens, c'est de se mobiliser et de faire pression sur Hydro-Québec. Eux seuls peuvent faire pencher la balance dans le bon sens."

(Geneviève C.-Bouchard - Le Soleil du 30 juillet 2003)

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13 juillet 2003

 

Les châtelains de Cataraqui

Un récent reportage du SOLEIL sur le délabrement du domaine Cataraqui, un joyau situé rue Saint-Louis, dans l'arrondissement de Sillery, propriété depuis le 1er juin 2002 de la Commission de la capitale nationale, a poussé un lecteur, M. Louis Béland Jr., de Sillery, à suggérer avec conviction que Cataraqui devienne la résidence officielle du premier ministre Jean Charest. L'idée n'est pas nouvelle mais elle est plus que jamais pertinente. Jean Charest privilégie en effet de recevoir à la maison des invités de marque dont d'autres chefs de gouvernement, une façon de faire que ses prédécesseurs depuis René Lévesque n'ont jamais exploitée. En mai, il a accueilli chez lui, dans le cadre champêtre de North Hatley, en Estrie, le premier ministre de France, Jean-Pierre Raffarin. Mardi, c'était au tour du premier ministre de l'Ontario, le conservateur Ernie Eves, et de son homologue de la Colombie-Britannique, Gordon Campbell, d'être invités l'un après l'autre au chalet ( !) des Charest pour des discussions préparatoires à la conférence des premiers ministres.

La formule plaît certes aux invités. On reçoit les relations d'affaires au bureau mais les amis à la maison. Inviter un autre chef de gouvernement chez soi envoie un message d'estime et d'un désir de nouer des relations interpersonnelles étroites. C'est lui permettre d'entrer dans sa bulle familiale, dans son intimité, ce qui est normalement réservé à quelques rares privilégiés.

Jean Charest, fort de son expérience sur la scène fédérale aux côtés de Brian Mulroney, est très sensible à cette dimension des relations politiques. Il avait d'ailleurs touché Raffarin au coeur quand la famille Charest au complet a reçu chaleureusement le premier ministre français et sa conjointe dans son cocon de North Hatley. M. Raffarin avait exprimé le souhait d'avoir quelques heures libres pour une visite en Estrie, région qu'il affectionne spécialement. M. Charest a non seulement comblé son désir mais il en a profité pour ajouter un petit déjeuner à la maison et une promenade amicale.

Le nouveau premier ministre du Québec peut jouer cette carte à répétition au cours des prochaines années, cela ne peut que servir le Québec, mais il serait alors de mise que ces rencontres se déroulent dans la capitale, à Québec. M. Charest n'est pas un agent de développement à l'emploi de l'Association touristique de l'Estrie et Québec n'est pas qu'un décor de théâtre. Les Charest partagent actuellement leur temps entre leurs résidences de Westmount et de North Hatley. Le premier ministre a aussi un appartement de fonction, au sommet de l'édifice Price, dans le Vieux-Québec. Il est en plus député de Sherbrooke et ses activités politiques régulières se déroulent à Montréal, beaucoup trop souvent, et à Québec, la capitale officielle, pas assez souvent. Difficile d'être plus écartelé. Un Philippe Couillard, à l'opposé, n'a fait ni une ni deux : il s'est établi en permanence à Québec dès son élection.

Convenons que l'appartement de Bernard Landry, au haut de l'édifice Price, n'était pas adéquat pour une famille. Le domaine Cataraqui par contre ne sera certainement pas laissé indéfiniment à l'abandon. Le scandale finira bien par en forcer la restauration. D'où l'importance de décider d'en faire la résidence officielle du premier ministre pour que les travaux soient menés en fonction de sa vocation future. Cataraqui est un domaine patrimonial dont la villa principale a été construite en 1850, sur un très vaste terrain de un million de pieds carrés. La réputation de ses jardins, aujourd'hui en jachère, dépassait de loin les frontières du Québec. La villa anglaise fut entre autres la résidence de la famille Rhodes, dont l'une des filles, Catherine, épousa Percyval Tudor-Hart, de la lignée royale des Tudor. Le couple occupa le domaine qui, au milieu du XlXe siècle, avait aussi servi de résidence d'été pour le gouverneur général du Canada. Non seulement la maison est-elle située sur l'un des plus beaux sites de la région mais elle a donc de la noblesse !

Si la décision n'est pas prise en tout début de mandat d'avoir une résidence officielle à Québec, oubliez cela, elle ne le sera jamais sous le règne Charest.

Michèle Dionne (Michou), l'épouse de Jean Charest, tenait à vivre à Montréal, a-t-on souvent entendu. Peut-être l'idée de devenir la châtelaine de Cataraqui pourrait-elle lui sourire ?

(J. -Jacques Samson - Le Soleil du 11 juillet 2003)

Une résidence officielle pour le PM? Charest s'est déjà prononcé contre ce projet. Et pour ce qui est du domaine Cataraqui, il y a un autre projet dans qui cours et qui semble avoir l'aval de Charest lui-même.

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Faculté de médecine de l'Université Laval; L'agrandissement du pavillon Vandry mis sur la glace

L'agrandissement du pavillon de médecine de l'Université Laval est de nouveau sur la planche à dessin, le gouvernement libéral ayant décidé de retenir les 55 millions $ consentis par le gouvernement péquiste à la veille des élections. Annoncé il y a déjà plus d'un an, le projet de rénovation du pavillon Ferdinand-Vandry, vieux d'une quarantaine d'années, vise à regrouper sous le même toit les étudiants en médecine, en sciences infirmières et en pharmacie. En commission parlementaire hier, le ministre de l'Éducation, Pierre Reid, a confirmé que le gouvernement libéral n'avait pas encore décidé de la suite des choses.

Le montant n'étant pas prévu à la somme de quelque 20 millions $ des immobilisations déjà consentie pour les universités, M. Reid dit devoir attendre le verdict du Conseil du Trésor, où le dossier est actuellement en révision. "Les facultés de médecine se situent au coeur même de nos priorités. Il est clair que nous allons leur donner les moyens de répondre aux demandes que nous leur faisons d'augmenter le nombre de médecins au Québec et d'infirmières. Les annonces seront faites en temps et lieu", a répondu le ministre à la question de Pauline Marois, sans préciser ce qu'il avait en tête pour l'avenir du pavillon de l'Université Laval, déjà fréquenté par 2500 étudiants.

Le projet, évalué à 65 millions $ - dont 55 millions $ devaient venir du gouvernement - , a été mis de l'avant pour pallier la hausse constante du nombre d'inscriptions dans les facultés concernées. Une hausse évaluée à 70 % sur cinq ans par le recteur de l'Université Laval, Michel Pigeon. Au lendemain du dépôt du budget du 11 mars, M. Pigeon insistait sur le fait que l'institution est réputée pour former le plus grand nombre de médecins pratiquant en région.

Et si M. Pigeon pensait être rassuré par le ministre de la Santé, il n'en est rien. Bien que Philippe Couillard garantisse que les fonds nécessaires à l'enseignement aux cohortes sans cesse grandissantes d'étudiants seront versés, il ne veut pas en faire autant pour les dollars dévolus à l'érection de nouvelles salles de cours afin de les accueillir. C'est vrai pour toutes les universités du Québec formant des médecins. M. Couillard profite plutôt de l'occasion pour annoncer un virage. "Il y a des façons de faire face à la hausse de la population étudiante qui ne sont pas uniquement du béton et de la construction."

L'Ontario en exemple

Entre deux séances de "comparution" devant la commission de l'Assemblée nationale analysant les crédits de son ministère, il a cité en exemple l'Ontario. "Il y a des façons innovatrices d'enseigner la médecine. Particulièrement l'utilisation des régions." Chez nos voisins de l'ouest, "il y a des facultés qui sont entièrement décentralisées". Pas de bâtiments, donc. Tous les médecins en devenir y sont formés dans les régions, dans les établissements du réseau. Une recette afin de réduire les coûts et de promouvoir le travail hors des grands centres urbains.

Mais "je ne diminue pas en soi l'importance du projet du pavillon Vandry" de l'Université Laval, a tenu à préciser M. Couillard. Par ailleurs, selon le ministre, l'hôpital Saint-François d'Assise aurait dû recevoir le Centre mère-enfant. "A l'époque, la recommandation majoritaire du milieu était pour que ce soit à Saint-François." Le choix du CHUL a été une erreur motivée par des "raisons politiques", critique-t-il. Lesquelles ? "Je ne ferai pas de procès d'intention." Mais, maintenant qu'il est pris avec, il s'assurera que le centre d'obstétrique et de pédiatrie "le plus moderne de la province" soit "un grand succès".

(Mylène Moisan et Baptiste Ricard-Châtelain - Le Soleil du 10 juillet 2003)

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9 juillet 2003

 

Sol contaminé à Sillery

Problème de contamination de sol à Sillery. Reportage texte et audio de Radio-Canada

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3 juillet 2003

 

Des airs d'abandon au Domaine Cataraqui

Le Domaine Cataraqui semble à l'abandon, en attendant de vivre des jours eilleurs. Au palmarès des plus beaux parcs de la région, il se classerait facilement au bas de l'échelle.

L'endroit est "horticolement acceptable", selon les termes de Denis Angers, responsable des communications pour le propriétaire des lieux, la
Commission de la capitale nationale. En clair, il faut comprendre qu'il s'agit d'un entretien minimal de la pelouse, des arbres et des quelques fleurs bordant la grande pelouse devant la maison fermée à double tour.

Les volets sont fermés et le resteront sans doute encore l'été prochain, si on se fie aux propos du porte-parole de la CCN. Étude de remise aux normes, plan d'aménagement paysager et montage financier sont des étapes à franchir avant de redonner à Cataraqui l'allure d'un endroit de prestige.

Endroit de prestige

A la fin de la saga du célèbre 1080 des Braves à la suite de la démission du premier ministre Jacques Parizeau, Cataraqui était désigné comme un lieu de réception protocolaire pour le gouvernement du Québec.

Le Domaine était aussi devenu un endroit recherché pour la célébration de mariages et les réceptions. De nombreux nouveaux couples animaient les lieux le samedi, le temps de prendre les traditionnelles photos de mariage.

Pas cette année. D'ailleurs, qui voudrait se faire photographier dans un endroit où les serres semblent avoir plus ou moins bien résisté au bombardement du temps ?

Cataraqui vit un autre " abandon ". En 1994, la fondation Bagatelle acceptait le mandat de restaurer et de réhabiliter les lieux délaissés depuis 10 ans, précise Romain Girard, président de la fondation. Au printemps 2002, le Domaine était cédé à la Commission de la capitale.

A ce moment, dit M. Girard, il avait la certitude que les lieux seraient entretenus en attendant que les projets soient élaborés. Ce qui, de toute évidence, n'est pas le cas.

La fondation Bagatelle aurait été prête à continuer à s'occuper des lieux, à la condition d'avoir le soutien financier nécessaire. Plus que les 600 000 $ par année dont elle disposait depuis qu'elle avait pris le domaine en charge, de préciser M. Girard.

Le "horticolement acceptable" n'inclut pas le grand potager à l'arrière du bâtiment principal. La mauvaise herbe a vite transformé l'endroit en un champ sauvage.

Les visiteurs ne sont pas proscrits au Domaine Cataraqui. Mais ils ne sont pas invités. L'affiche à l'entrée principale du Domaine a disparu. Il faut maintenant emprunter l'entrée de la Maison Michel-Sarrazin pour avoir accès au stationnement du Domaine.

Cataraqui est promis à des jours meilleurs sous la gouverne de la Commission de la capitale nationale. " Nos réalisations depuis 1995 sont une garantie du travail bien fait lorsque nous prenons charge d'un lieu ", de faire remarquer M. Angers. Il en donne comme preuve le parc du Bois-de-Coulonge, fort apprécié des Québécois.

Le dossier de Cataraqui arrive au moment d'un changement de gouvernement et d'un changement de garde à la Commission de la capitale nationale. Le nouveau président, Pierre Boulanger, nommé mercredi, entrera en fonction le 11 août. Il a dit vouloir revoir tous les dossiers. Celui de Cataraqui sera sûrement du lot.

Au printemps, la plate-forme électorale régionale du Parti québécois contenait une promesse de 3 millions $ pour faire de Cataraqui un centre de réunion et de réception de prestige. L'avenir dira si les libéraux caressent aussi de grands projets pour le domaine habité par des familles nécessairement à l'aise de 1836 à 1972.

(Guy Benjamin - Le Soleil du 2 juillet 2003)

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19 juin 2003

 

Présentation de l'édifice SSQ : Beurk!

SSQ Groupe financier investit 43 millions de dollars dans la région de Québec pour la construction d'un édifice à bureaux. SSQ a acquis d'Hydro-Québec l'endroit situé au 2505, boulevard Laurier à Sainte-Foy, dans le but d'y construire, dès 2004, un édifice de 225 000 pi2 pour répondre à ses besoins d'espace. L'édifice portera les couleurs d'Hydro-Québec et de SSQ. En effet, une entente de location à long terme a également été conclue entre SSQ Groupe financier et Hydro-Québec. Ainsi, la division Pétrole et Gaz d'Hydro-Québec aura pignon sur rue à Québec dans le nouvel édifice nommé Roland-Giroux.

"SSQ est en pleine croissance et nous prévoyons un essor soutenu au cours des prochaines années. Nous créons environ 50 emplois de qualité annuellement et le siège actuel de l'entreprise n'est plus en mesure de combler tous nos besoins d'espace. Cette construction stimulera certainement le développement économique de la région", a déclaré M. Richard Bell, président-directeur général de SSQ Groupe financier.

SSQ, Société immobilière inc., une filiale du Groupe, sera le maître d'œuvre des travaux et le gestionnaire de l'édifice. " Selon l'échéancier, la construction débutera au printemps 2004 et l'édifice accueillera ses occupants à l'automne 2005. Il s'agit d'une excellente nouvelle pour Québec où le besoin de locaux commerciaux de qualité se fait sentir ", ajoute M. Jean Morency, président-directeur général de SSQ Immobilier.

Hydro-Québec a choisi Québec comme ville d'accueil pour y implanter les activités de sa division Pétrole et gaz. " Cette entente avec SSQ nous permet d'accroître notre présence dans la Capitale-Nationale " a déclaré M. André Caillé en conférence de presse. " Il s'agit d'une entente stratégique pour Hydro-Québec puisque beaucoup de ressources compétentes dans la planification et la recherche d'hydrocarbures se trouvent ici même à Québec ", a-t-il ajouté.

On retrouve sur le site de la SSQ un rendu et une simulation vidéo 3d. Oui, j'étais enthousiaste hier. J'espérais un beau projet, une belle tour. Et je constate aujourd'hui que j'ai été baisé avec cet édifice sorti tout droit des années 70-80. Un mur de plusieurs mètres de long, sans aucune originalité. Un belle boîte de béton comme on ne veux plus en voir qui a probablement été dessiné à la va-vite sans aucun désir d'intégration et de faire joli. Enlevez les logos et on pourrait le confondre avec un édifice soviétique.

Bienvenu à Québec

Mise à jour: Reportage audio de Radio-Canada

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17 juin 2003

 

Photo! Photo!

Gracieuseté de Stéphane Bouchard-Pagé, j'ai pu me procurer quatre intéressantes photos. Deux pour les travaux à la Pyramide (ici et ) et deux autres pour les condo le St-Vincent maintenant presque terminé (juste ici).

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