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 L'urbanisme de la ville de Québec en version carnet

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Que vous soyez un promoteur immobilier ou un simple citoyen amoureux de Québec, que ce soit pour me suggérer une idée d'article ou pour tout autres raisons, c'est par ici

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1 octobre 2003

 

La CCN tel que vue par London

Le London Free Press (quotidien de London, Ontario) a mis en ligne un article sur Québec et sa Commission de la Capitale Nationale (CCN). D'un oeil extérieur, on y scrute les actions de la CCN. Denis Anger, membre de la commission, y répond entre autre à la question classique : "pourquoi investir dans la beauté alors qu'il y a tant à investir dans la santé, les logements sociaux, etc."

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Nouvelle tentative de relance du transport en commun à Québec

J'ai oublié hier de vous parler d'un article du Journal de Québec. Le journaliste Denis Bolduc nous apprenait qu'un comité spécial de la ville de Québec et du RTC proposerait "l'élargissement du tramway jusqu'à l'édifice Marly, le zoo et le terrain d'ExpoCité ainsi que la création de deux nouveaux axes Métrobus"

Ces deux nouvelles lignes rapide d'autobus, desservi par des autobus articulées, iraient du terminus Beauport au terminus Les Saules via le boulevard Lebourgneuf d'une part et de Loretteville au centre de Sainte-Foy d'autre part.

Le comité proposerait également de financer ces projets à l'aide d'une taxe sur la masse salariale sur l'ensemble du territoire de la Communauté métropolitaine de Québec. On espère aussi pouvoir récupérer une partie de la taxe de vente provinciale, une taxe sur l'essence, une hausse des droits d'immatriculation et d'une taxe sur les espaces de stationnement commerciaux.

Ces propositions seront analysées demain par le comité exécutif de la ville de Québec.

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Résultat du 4e Québec urbain open de Photographies citadines

Belle participation pour cette quinzaine! Voici donc vos envoie pour le thème "beauté urbaine"

Pour la cinquième édition, le thème sera "Sport en ville". Par ici pour les règlements.

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Scène urbaine

Arbres et église.

Où / quand / comment / pourquoi: Cette photo date d'il y a environs un mois. Pour je ne sais trop quelle raison, je n'avais pas tout de suite utilisé cette image, prise sur Grande-Allée coin Cartier, pour mes scènes urbaines. La magnifique église se laissant deviner à travers ces beaux arbres matures était simplement inspirante.

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Théâtre Impérial: Lever de rideau en novembre

C'est le 25 novembre que reprendra vie le théâtre qui a accueilli pendant près de cinq ans les Folie's de Paris. L'animateur radiophonique François Reny et l'homme d'affaires Michel Cadrin sont à l'origine de cette renaissance de la salle de la rue Saint-Joseph.

L'homme d'affaire MICHEL CADRIN, qui a fait fortune dans le domaine pharmaceutique, est le principal bailleur de fonds. Il a investi 750 000$ pour acquérir la salle, qui portera dorénavant le nom de Théâtre Impérial.

Quant à FRANÇOIS RENY, il contribuera, en amenant avec lui décors, costumes et articles de scène qu'il a conservés au fil des années. M. Reny, qui a créé le spectacle "Noël à Québec", traîne aussi avec lui son expérience du milieu artistique.

Bien que la salle construite en 1917 soit en bonne condition, près de 250 000$ supplémentaires seront investis afin de l'améliorer. La peinture sera rafraîchie à quelques endroits et on la dotera de systèmes d'éclairage et de sonorisation plus modernes.

Négos complexes

De l'aveu de MM Cadrin et Reny, conclure la vente n'a pas été une partie de plaisir. La salle ayant fait l'objet d'une faillite, la transaction a été plus compliquée. Des négociations ont même dû avoir lieu, simplement pour s'approprier le nom "Théâtre Impérial".

Michel Cadrin pense que ces efforts en valent le coup et que l'aventure s'avérera rentable. Il admet toutefois avoir eu des doutes lorsque François Reny l'a approché pour l'entretenir du projet. "Je ne connais rien au monde artistique, concède-t-il. C'est donc la passion de François qui m'a convaincu. Je crois également que la salle est bien située. À mon avis, ce n'est qu'une question de temps avant que la rue Saint-Joseph devienne le coeur de Saint-Roch".

Formule différente

M. Reny ne craint pas de revivre les mêmes déboires que ceux connus par les Folie's de Paris. "Les Folie's se sont acharnés à maintenir le même genre de spectacles pendant des années. Le marché de Québec est trop petit pour ça. Il y a "Elvis Story" qui tourne depuis longtemps au Capitole, mais c'est exceptionnel", analyse-t-il.
La formule préconisée par les nouveaux acquéreurs aura peu de similitudes avec les Folie's. On compte offrir une programmation plus variée. Des productions maison, des comédies musicales et des spectacles de type cabaret sont envisagés. Des spectacles intimes et acoustiques sont aussi prévus à ce théâtre qui peut accueillir 500 spectateurs. "De plus en plus d'artistes recherchent de petites salles. C'est le cas de Serge Lama, avec qui nous négocions", confie M. Reny.

Selon ce dernier, il ne fait aucun doute que le Théâtre Impérial aura sa place dans la Vieille Capitale. "Les salles de dimensions moyennes ne sont pas nombreuses à Québec. Il y a surtout des théâtres de 1000 places et plus, comme le Grand Théâtre et le Capitole", observe-t-il.

En plus de la salle de spectacles, le projet comporte aussi la création d'une Académie du "show-business" au deuxième étage de l'édifice. Les jeunes artistes pourront y apprendre les rudiments du métier. Sous la forme des "Master classes" de New York, des vedettes y tiendront des ateliers.

(Denis Leclerc, Le Carrefour du 2 octobre 2003)

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Paroisse Saint-Joseph: L'église change encore de proprio

Une maison de la culture vouée aux ethnies devait voir le jour dans l'ancienne église Saint-Joseph. Le projet n'aura toutefois pas le temps de se concrétiser, puisque le lieu de culte de Saint-Sauveur changera une fois de plus de propriétaire.

L'église Saint-Joseph était en en vente depuis quelques jours à peine lorsqu'un promoteur s'est manifesté. "J'ai vendu l'édifice la semaine dernière", se contente d'indiquer l'ancien propriétaire, FRED KHEDIRI. Il ne resterait qu'à signer l'acte notarié pour finaliser la transaction. Peu loquace, M. Khediri ne veut pas s'étendre sur les raisons justifiant cette vente.

Peu de détails sont connus sur le mystérieux acheteur, si ce n'est qu'il aurait payé l'église le double du montant qu'avait déboursé M. Khediri. À l'époque, le Diocèse de Québec avait laissé entendre que le prix de vente s'élevait à 12 000$.

Aucun intervention

L'église Saint-Joseph a rarement été utilisée depuis qu'elle est devenue propriété de M. Khediri, il y a trois ans. Des expositions et des spectacles d'artistes étrangers y étaient pourtant envisagés. L'aménagement d'un centre de documentation était également dans les plans. Le bâtiment, érigé en 1940, n'a cependant fait l'objet d'aucun travaux dans le but d'y tenir de telles activités.

Rénovations coûteuses

En achetant l'église, M. Khediri héritait d'un édifice nécessitant d'importantes rénovations. À l'époque, on estimait la facture à plus de 200 000$. Avant même l'achat par M. Khediri, le bâtiment était à ce point détérioré qu'il constituait un danger. Des morceaux de pierre s'étaient même détachés des façades. Des mesures temporaires avaient dû être mises en place afin de sécuriser les lieux.

Résidant de Saint-Sauveur, RÉJEAN GIGNAC estime que l'église a été laissée trop longtemps à elle-même et qu'elle requiert davantage qu'un entretien de base. "Petit à petit, l'édifice se détériore. Les fissures sont de plus en plus apparentes et le crépi du solage s'effrite. Il faut s'occuper rapidement du bâtiment et sécuriser les lieux", lance l'ex-conseiller municipal.

Directeur de la Maison au pied de la Pente Douce, JEAN LAFRANCE souhaite, quant à lui, que l'on rende plus difficile l'accès à l'intérieur de l'église. À son avis, tant que l'édifice n'aura pas changé de vocation, l'endroit est invitant pour les squatters. "Les portes et fenêtres sont tellement abîmées, qu'il est facile d'y pénétrer. De plus, jamais personne ne surveille les lieux", constate celui dont l'organisme est situé dans l'ancien presbytère de l'église.

Du côté de la Ville, on prétend n'avoir reçu aucune plainte relative à la sécurité de l'église Saint-Joseph. "Outre un citoyen qui s'est plaint de la propreté du site, rien n'a été signalé à la municipalité au cours des deux dernières années", conclut DENYSE BÉRUBÉ, agente d'information à l'arrondissement de la Cité.

(Denis Leclerc, Le Carrefour du 2 octobre 2003)

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Bar St-Josef: Les citoyens s'impatientent

Le problème de stationnement près du bar St-Josef n'est toujours pas résolu. Les citoyens doivent encore subir le bruit nocturne, les clients de l'établissement laissant leurs voitures dans les rues résidentielles du secteur. Excédés, ils songent maintenant à limiter le stationnement face à leurs domiciles.

C'est d'ailleurs ce que recommande le Conseil de quartier Neufchâtel est / Lebourgneuf. "Nous avons décidé de demander aux élus municipaux d'interdire le stationnement d'un côté de la rue après 18h, de façon à limiter les places de stationnement et les désagréments pour les résidants", indique JEAN-FRANÇOIS PARENT, président du conseil de quartier.

Toutefois, cette interdiction toucherait également les citoyens du secteur, qui ne pourraient plus laisser leur voiture devant leur domicile en soirée. Place Bonne-Entente et les rues Bélanger et du Quartz seraient celles touchées par cette réglementation.

Aussi, le conseil de quartier recommande également que soient revues les normes d'urbanisme, de façon à ce qu'un nombre adéquat de cases de stationnement soient disponibles à cet établissement. On voudrait également que le bar St-Josef place une affiche à l'intérieur de son bar pour inviter ses clients au civisme envers les résidants du secteur.

En tout, près de 50 personnes sont allées manifester leur mécontentement dans ce dossier lors du dernier conseil de quartier.

Dérangeant

Cette situation ne date pas d'hier. En juin dernier, des citoyens affirmaient être victimes de coups pendables de la part des clients du St-Josef. Certains d'entre eux avaient vidé un sac de feuilles mortes dans le camion d'un des résidants de Bonne-Entente. D'autres quittaient le quartier à des vitesses excessives, faisant fi de la sécurité des citoyens. D'autres encore se stationnaient devant les entrées d'auto des résidants, les empêchant de quitter leur domicile. Aussi, les citoyens retouvaient des bouteilles cassées dans leur rue.

"Nous avons sensibilisé le service de police à cette problématique et une surveillance policière accrue est déjà en application les soirs de forte affluence. Aussi, nous allons rencontrer les propriétaires du bar pour tenter de trouver des solutions avec eux", dit le conseiller de Lebourgneuf, LUC LAFRANCE.

(Jean LaRoche, Le Carrefour du 2 octobre 2003)

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Saint-Roch attire toujours; Les loyers ont peu bougé depuis le changement de gouvernement

Quelques mois après le changement de gouvernement et la fin du programme des crédits d'impôt pour les sociétés de nouvelles technologies, Saint-Roch attire toujours, entreprises et résidants. Trop tôt pour dire si les loyers vont bouger ? Sans doute. Mais les promoteurs immobiliers se disent optimistes.

"C'est trop récent. Mais mon feeling, c'est que ceux qui avaient à intégrer le quartier l'ont déjà fait, donc il faut s'attendre à peu d'impact", soutient Jean-Yves Tellier, directeur au développement de l'habitation et intervention immobilière de la Ville de Québec. D'autant plus que les avantages fiscaux déjà accordés aux entreprises se poursuivent.

Selon lui, les promoteurs immobiliers ont vu pire il y a deux ans. "Ce qui a fait plus mal, c'est quand il y a eu les problèmes boursiers dans le secteur des nouvelles technologies de l'information."

Carole Simard, commissaire à l'entreprise au service de développement économique de Québec, rappelle que les 600 000 pieds carrés consentis pour le Centre national des nouvelles technologies (CNNTQ) étaient complets à l'arrivée du nouveau gouvernement.

Les Services immobiliers Racine, Larochelle et associés souligne dans une étude publiée en mars que cette implantation dans Saint-Roch, jumelée à celle du Centre de la nouvelle économie (CNE) et du Centre de développement des technologies de l'information (CDTI), a eu un impact positif sur le taux d'inoccupation dans le secteur Québec basse ville. Maintenu à 19 % depuis deux ans, il est passé à 13,3 %.

Au début du programme de subventions, les promoteurs jouaient du coude à Québec, contrairement à Montréal où il n'y avait qu'un propriétaire unique, indique Mme Simard. Les loyers étaient alors très bon marché et des baux ont été signés pour plusieurs années. Puis avec la demande, les prix ont augmenté.

Avec la conjoncture actuelle, ils se maintiennent, indique M. Tellier. "Il n'y a pas de baisse significative."

"Les loyers n'ont jamais été fixés en fonction des crédits d'impôt, souligne quant à elle Geneviève Marcon, de GM Développement. On se base sur le coût de la bâtisse et les rénovations." Elle note encore une demande dans Saint-Roch, mais cette fois plus diversifiée.

La société d'assurances L'Entraide et plusieurs ministères se sont effectivement installés dans le quartier. LE SOLEIL le fera au cours de l'été. "Avec tous les investissements faits, le jardin du parc, la présence de l'Université Laval et de l'INRS prochainement, les projets de condos, c'est un milieu urbain intéressant et ça devient un choix d'entreprise", croit Mark Bender, président de Mark Bender et associés.

Même les entreprises qui ne peuvent plus se qualifier au programme de crédits d'impôt sont encore attirées. "On a reçu des appels cet été. On nous disait : "'' C'est là que ça se passe. Toute notre gang est là ! '' Il y a un souci d'appartenance important", relate Mme Simard.

Mme Marcon remarque aussi que le mouvement vers le centre-ville est encore bien présent. Par ailleurs, M. Bender croit que Saint-Roch sera amené à concurrencer Sainte-Foy et Lebourgneuf pour séduire ceux pour qui vivre en ville n'est pas un prérequis. Le loyer total et le stationnement sont moins chers dans ces deux secteurs. Mais il ne va pas plus loin dans ses prédictions. Reste à voir ce que réserve la "réingénierie" de l'État.

Résidentiel

Tout en soulignant que le quartier n'est pas très résidentiel, Jean-Yves Tellier rappelle que le taux d'inoccupation dans le locatif à Québec est en bas de 1 %. "Partout, la pression est à la hausse pour les loyers. Mais ce n'est pas dramatique pour les locataires." Même chose du côté de la Société canadienne d'hypothèques et de logement. "La pénurie se fait sentir autant dans Saint-Roch qu'ailleurs", lance Jean-François Dion, économiste et analyste principal de marché du bureau de Québec. Lucie Morisset, directrice générale des Lofts Laliberté, en témoigne. "On parle d'une masse critique d'attente au niveau des lofts. Tout est comblé très rapidement. Si un locataire est muté, on sous-loue. Il n'y a aucune fluctuation des prix à la baisse."

(Alexandra Perron, Le Soleil du 1er octobre 2003)

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30 septembre 2003

 

Crédible, les images des projets proposés?

Il y a quelques semaines, alors que nous attendions que la table ronde de la gouverneure générale débute, Clément Laberge et moi discutions du fait que les images présentées pour le projet des escaliers du 400e nous semblaient étrange. À notre avis, les brettelles était beaucoup plus éloigné qu'en réalité, comme si le dessinateur avait voulut accentué le côté monumental de l'escalier.

Alors? Peut-on se fier aux images présentées au public et aux média lors du dévoilement d'un projet? Le New-York Time s'est attardé à la chose (enregistrement gratuit requis pour consulter l'article - évidement en anglais)

[Merci à Antoine Robitaille]

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Comment se débarrasser de sa minoune?

L'Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique lance un projet-pilote pour inciter les propriétaires d'un véhicule construit avant 1988 à s'en départir, pour diminuer la pollution.

Seulement 10 % de ces véhicules sont responsables de 50 % des rejets polluants dans la seule région de Montréal.

Suite du texte sur le site de Radio-Canada

Est-ce seulement pour Montréal? Je n'en suis pas sûr...

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Note sur les photos

J'ai changé le taux de compression de mes images à la hausse. Les fichiers seront donc moins pesants. Conséquence: les images seront plus rapide à télécharger mais, en contrepartie. d'une qualité légèrement moindre. La différence ne devrait cependant pas être vraiment visible.

Depuis l'introduction de mes "scènes urbaines", ma bande passante est passé d'un gig par mois à plus de quatre. Il faut bien économiser un peu!

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Scène urbaine

Programme de surveillance de quartier

Où / quand / comment / pourquoi : J'étais toujours dans St-Sauveur, sur une rue dont je ne me souvient plus du nom mais qui est perpendiculaire à De Mazenod. Alors que je marche en regardant un peu partout s'il n'y aurait pas quelque chose de bien à photographier, je constate que ce chat m'observe avec amusement. Un chat à la fenêtre: quoi de mieux pour nous décrocher un sourire?

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Les feux d'accès au pont Pierre-Laporte vont rester; Durant la construction, ils ont réduit de 65 % le temps d'attente à l'entrée nord

Les feux d'accès au pont Pierre-Laporte, qui avaient été installés pour la durée des travaux effectués en 2002, sont là pour rester. Pour un automobiliste qui devra désormais attendre sur le boulevard Champlain, cinq sauveront du temps sur Henri IV.

Transports Québec a annoncé hier la mise en opération, sur une base permanente, d'un feu sur la bretelle d'accès du boulevard Champlain, pour la pointe de fin de journée, et de trois autres sur la rive sud pour la pointe du matin (routes 116, 175 et 275), si les conditions se détériorent sur l'autoroute Jean Lesage à l'entrée sud du pont.

L'expérience de la période de construction a démontré que le feu de gestion du boulevard Champlain avait permis de réduire le temps d'attente de 65 % à l'entrée nord du pont. La présence de ce feu incite par ailleurs les automobilistes à dévier vers le pont de Québec. Là encore, pendant les travaux de construction, le débit quotidien moyen avait augmenté de 35 % jusqu'à plus de 40 000 véhicules par jour, un sommet depuis la construction du pont Pierre Laporte en 1970, indiquait Patrick Houle, responsable du Centre de gestion de la circulation pour Transports Québec.

Un système de feu d'accès représente beaucoup plus qu'un simple feu de circulation, souligne par ailleurs Nathalie Hamel, chef du service des liaisons au ministère des Transports.

C'est la première fois au Québec que le ministère adopte ce concept qui émane des États-Unis et qui est déjà utilisé dans les autres provinces canadiennes, souligne-t-elle.

L'emplacement du feu est important, mais c'est surtout le mode de gestion qui se distingue des systèmes ordinaires. Les feux sont contrôlés par les opérateurs à partir du Centre de gestion de la circulation, et ils ne sont pas activés automatiquement. Les opérateurs prennent les décisions en fonction du volume et de la fluidité de la circulation.

Quand le feu du boulevard Champlain est en opération, l'accès au pont est fermé pendant 55 secondes et ouvert pendant 12 secondes. En réduisant le nombre de véhicules qui cherchent à s'insérer dans le trafic qui arrive du nord, on évite de ralentir la circulation.

D'après M. Houle, le temps d'attente sera plus long pour quelque 1000 automobilistes qui empruntent le boul. Champlain, passant de 3 à 12 minutes selon le volume, il ne s'agit évidemment que d'une moyenne, mais pour 5000 automobilistes qui arrivent du nord, l'attente passera de 11 à 4 minutes en moyenne.

(Pierre Asselin - Le Soleil du 30 septembre 2004)

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29 septembre 2003

 

Visitez les lieux abandonnés de Québec

Le groupe s'appelle Urban Exploration Quebec et ils sont actif dans le milieu plus ou moins undergound de l'exploration urbaine. Dans un site web étrangement seulement en anglais pour le moment, l'équipe vous présente leurs pérégrinations dans des endroits maintenant sans vie. Ne manquer pas leur visite de la cimenterie St-Laurent!

PS : Le site ne semble pas fonctionner sous Mozilla / Firebird

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Scène urbaine

Coquet

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Immeuble IBM/LGS : le projet est toujours vivant

Suite à mon interrogation d'hier, une source proche de l'hôtel de ville m'indique que l'immeuble IBM/LGS se poursuit comme prévu. La pancarte " à vendre " que certains ont aperçu se rapporte en fait à un autre immeuble qui ne fait pas partit du projet.

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Colloque sur la démographie à Québec

Pour faire suite à la publication du document Le choc démographique – La population de la communauté métropolitaine de Québec à l’aube du XXIe siècle, bilan démographique de la communauté métropolitaine de Québec, la Commission de la capitale nationale du Québec s’est associée à l’École nationale d’administration publique (ENAP),à la Ville de Québec, au ministère des Relations avec les citoyens et de l’Immigration du Québec de même qu’à la Chambre de commerce de Québec pour organiser un colloque sous le thème « Du choc à l’action » ou l’urgence d’agir.

Tous les détails sur le site de l'ENAP.

PS : Je suggère fortement au responsable du site de l'ENAP de lire ce billet de Jakob Nielsen, gourou de l'ergonomie du web

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Des mesures pour améliorer l'accès au pont Laporte

Le ministère des Transports utilisera des feux de gestion d'accès, afin d'améliorer l'accès au pont Pierre-Laporte durant les heures de pointe. Les usagers en provenance de l'autoroute Henri IV qui sont actuellement les plus pénalisés, vont gagner du temps.

Suite du texte sur le site de Radio-Canada

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Le cabaret du Capitole serait détruit pour faire place à un nouvel immeuble

Le Journal de Québec nous informes ce matin que le Cabaret du Capitole, l'ancien Cinéma de Paris, pourrait être détruit pour faire place à un nouvel immeuble à bureau de huit étages.

Jean Pilote, propriétaire unique du théâtre Capitole et du cabaret a confirmé au journal que le projet est bel et bien sur la table et qu'il est présentement au stade de l'étude de faisabilité.

D'une valeur estimée à sept millions de dollars, le projet prévoit un restaurant au rez-de-chaussé (on parle d'un steak house ou d'une brasserie française), un deuxième étage commerciale, quatre étages de bureaux et deux étages qui accueillerait quatre condos de luxe. On espère commencer les travaux en 2005

On se rappellera que le cinéma de Paris devait d'abord faire place à un hôtel d'environs huit étage. Ce n'est qu'après avoir constaté l'impossibilité d'aller de l'avant avec ce projet, en raison du comité de citoyen si ma mémoire est bonne, que le cabaret est né.

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28 septembre 2003

 

Scène urbaine

Réfrigérateur, réservoir à eau chaude et divan à donner

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Édifice IBM/LGS : fini?

J'ai reçu 2 courriels en fin de semaine portant sur le même sujet :

(…) une pancarte "À Vendre" de La Capitale est apparue ces derniers jours sur un des édifices initialement prévus pour la démolition au coin de Charest et Dorchester. Le projet serait-il définitivement sur la glace?

Quelqu'un en sais plus?

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27 septembre 2003

 

Scène urbaine

Québec: une belle carte-postale?

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26 septembre 2003

 

Scène urbaine

Des vidanges et un non-escalier

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25 septembre 2003

 

La beauté de Place royale enfin reconnue à sa juste valeur

Cette semaine, à l'émission de télévision Les francs-tireurs sur les ondes de Télé-Québec, il y a un spécial consacré aux Pollux, sortes de prix citrons remis aux pires aberrations en matière d'aménagement du territoire et de pollution au Québec

Suite sur le carnet Magellan

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Et vos photos?

Il ne vous reste plus que quelques jours pour m'envoyer vos photos pour la quatrième édition du Québec urbain open de Photographies citadines

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Scène urbaine

Lieu de culte abandonné III

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