ÉDITO
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Chers Adhérents, Chers amis, Si l’essentiel de mon éditorial avait pu avoir pour objet de décrire la situation économique et sociale de la France pour en définir les forces, les faiblesses et réfléchir ensemble, aux moyens de pouvoir permettre à notre pays de se redresser et de retrouver une véritable croissance, nous aurions été dans notre rôle naturel, et en tant qu’acteurs majeurs de la vie du pays, nous aurions apporté, comme toujours, notre pierre à l’édifice. Mais voilà quelques années que les priorités se sont définies autrement et qu’au-delà de notre |
Claude Barouch
Président |
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fonction de chef d’entreprise, de profession libérale, ou de commerçant, c’est notre judaïsme qui semble poser problème et c’est ce sentiment d’hostilité et de haine croissante qui nous met dans l’obligation de repenser l’ordonnancement de nos actions. |
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Les 15 derniers articles
22/08/2006
Le matheux et la "disproportion" que l'on reproche à Israël
En mettant en prose le théorème de la "proportion", ou "égalité entre deux rapports", cet internaute - qui n'est pas Monsieur tout le monde - aide les "Monsieur Jourdain" que nous sommes à comprendre comment les médias nous mènent en bateau. Original et pénétrant ! (Menahem Macina).
Le matheux et la "disproportion" que l'on reproche à Israël
En mettant en prose le théorème de la "proportion", ou "égalité entre deux rapports", cet internaute - qui n'est pas Monsieur tout le monde - aide les "Monsieur Jourdain" que nous sommes à comprendre comment les médias nous mènent en bateau. Original et pénétrant ! (Menahem Macina).
22/08/2006
Courage, Israël, les civilisations sont mortelles, pas toi ! M. Macina
Il y a peu, quelqu’un évoquait - je ne me souviens plus où, ni dans quelle circonstance -, pour l’appliquer à l’Etat d’Israël, la fameuse phrase de Valéry : "Nous autres civilisations savons maintenant que nous sommes mortelles". Il se fondait sur ce qu’il appelait, à l’instar du gouvernement libanais et du Hezbollah, "la défaite d’Israël", pour conclure que l’Etat hébreu n’était plus invincible et même qu’il risquait de disparaître corps et biens. Bref, un propos démoralisant qui a, hélas, des chances d’ébranler le moral des plus émotifs d’entre nous. Je me suis alors souvenu que j’avais déjà fait justice de ce propos de Valéry, dans un article antérieur. Je l’ai retrouvé. Il date d’avril 2002 et s’intitule "Message de lucidité mais aussi d'espoir, en ces temps difficiles". En le relisant, je me suis étonné de son actualité. Je n’ai eu grand mal à le modifier pour adapter son contenu à la situation où se trouvent aujourd’hui notre peuple en général et l’Etat d’Israël en particulier. Et tant pis si son style lyrique et ses raisonnances religieuses irritent, une fois de plus, celles et ceux qui, dans le passé, m’ont déjà amèrement reproché ce qu’ils appellent mon "emphase" et mes "prêchi-prêcha". Tel est mon témoignage et telle est ma foi. (Menahem Macina).
Courage, Israël, les civilisations sont mortelles, pas toi ! M. Macina
Il y a peu, quelqu’un évoquait - je ne me souviens plus où, ni dans quelle circonstance -, pour l’appliquer à l’Etat d’Israël, la fameuse phrase de Valéry : "Nous autres civilisations savons maintenant que nous sommes mortelles". Il se fondait sur ce qu’il appelait, à l’instar du gouvernement libanais et du Hezbollah, "la défaite d’Israël", pour conclure que l’Etat hébreu n’était plus invincible et même qu’il risquait de disparaître corps et biens. Bref, un propos démoralisant qui a, hélas, des chances d’ébranler le moral des plus émotifs d’entre nous. Je me suis alors souvenu que j’avais déjà fait justice de ce propos de Valéry, dans un article antérieur. Je l’ai retrouvé. Il date d’avril 2002 et s’intitule "Message de lucidité mais aussi d'espoir, en ces temps difficiles". En le relisant, je me suis étonné de son actualité. Je n’ai eu grand mal à le modifier pour adapter son contenu à la situation où se trouvent aujourd’hui notre peuple en général et l’Etat d’Israël en particulier. Et tant pis si son style lyrique et ses raisonnances religieuses irritent, une fois de plus, celles et ceux qui, dans le passé, m’ont déjà amèrement reproché ce qu’ils appellent mon "emphase" et mes "prêchi-prêcha". Tel est mon témoignage et telle est ma foi. (Menahem Macina).
22/08/2006
Un point de vue libanais: "Après la guerre, le temps des illusions", M. Touma
Ce point de vue d’un journaliste du quotidien libanais "L'Orient-le-Jour serait sans aucun doute repoussé avec colère par les ennemis de l’Etat hébreu s’il émanait d'un Israélien, d'un Juif, ou d'un non-Juif pro-israélien. Mais voilà, ce n’est pas le cas. Celui qui l'exprime est un journaliste Libanais. Et ce qu’il dit écrit constitue un franc désaveu du coup de force de Nasrallah. Nos journalistes occidentaux qui, à longueur d’articles, de journaux et de débats télévisés, glosent sur les "destructions barbares" et les "massacres de civils innocents", causés par la "soldatesque israélienne", feraient bien d’en prendre de la graine. (Menahem Macina).
Un point de vue libanais: "Après la guerre, le temps des illusions", M. Touma
Ce point de vue d’un journaliste du quotidien libanais "L'Orient-le-Jour serait sans aucun doute repoussé avec colère par les ennemis de l’Etat hébreu s’il émanait d'un Israélien, d'un Juif, ou d'un non-Juif pro-israélien. Mais voilà, ce n’est pas le cas. Celui qui l'exprime est un journaliste Libanais. Et ce qu’il dit écrit constitue un franc désaveu du coup de force de Nasrallah. Nos journalistes occidentaux qui, à longueur d’articles, de journaux et de débats télévisés, glosent sur les "destructions barbares" et les "massacres de civils innocents", causés par la "soldatesque israélienne", feraient bien d’en prendre de la graine. (Menahem Macina).
22/08/2006
"Notre famille a perdu la guerre": Oraison funèbre de D. Grossman pour la mort de son fils
Le romancier israélien David Grossman s’adresse à son fils, tombé au combat au Liban, dans ce texte déchirant et digne à la fois, qui, je l’avoue, m’a ému aux larmes. Je mets en exergue, cette phrase, parmi d’autres, parce qu’elle révèle une fissure profonde de l’âme – dont les Israéliens n’ont pas l’apanage, hélas, mais que les meilleurs d’entre eux sont peut-être les seuls à avoir le courage de confesser publiquement, comme le fait ici Grossmann, en parlant de son fils. « C'était un garçon qui avait des valeurs, terme tant galvaudé et tourné en dérision ces dernières années. Car, dans notre monde dément, cruel et cynique, il n'est pas "cool" d'avoir des valeurs. Ou d'être humaniste. Ou sensible à la détresse d'autrui, même si autrui est ton ennemi sur le champ de bataille. ». Ce texte fera date. Personnellement il m’aide à ne pas tenir rigueur à David Grossman de certaines de ses positions politiques que je ne partage pas [1] et qui m'ont beaucoup fait souffrir, comme c'est souvent le cas dans les conflits d'idées entre frères (je n'ai pas dit "fratricides") ! (Menahem Macina).
"Notre famille a perdu la guerre": Oraison funèbre de D. Grossman pour la mort de son fils
Le romancier israélien David Grossman s’adresse à son fils, tombé au combat au Liban, dans ce texte déchirant et digne à la fois, qui, je l’avoue, m’a ému aux larmes. Je mets en exergue, cette phrase, parmi d’autres, parce qu’elle révèle une fissure profonde de l’âme – dont les Israéliens n’ont pas l’apanage, hélas, mais que les meilleurs d’entre eux sont peut-être les seuls à avoir le courage de confesser publiquement, comme le fait ici Grossmann, en parlant de son fils. « C'était un garçon qui avait des valeurs, terme tant galvaudé et tourné en dérision ces dernières années. Car, dans notre monde dément, cruel et cynique, il n'est pas "cool" d'avoir des valeurs. Ou d'être humaniste. Ou sensible à la détresse d'autrui, même si autrui est ton ennemi sur le champ de bataille. ». Ce texte fera date. Personnellement il m’aide à ne pas tenir rigueur à David Grossman de certaines de ses positions politiques que je ne partage pas [1] et qui m'ont beaucoup fait souffrir, comme c'est souvent le cas dans les conflits d'idées entre frères (je n'ai pas dit "fratricides") ! (Menahem Macina).
21/08/2006
Réaction à l’article de Percy Kemp: "Au Proche-Orient, les idées sont homicides", F. Girond
"Mais qu'est-ce qui m'autorise à dire ainsi que le discours, le mien compris, est premier ? Ce qui m'y autorise, c'est la constatation que j'ai faite que les guerres au Proche-Orient ne sont pas tant des guerres pour la survie ou pour l'appropriation de richesses, que des guerres d'idées." (Percy Kemp) Ce sont des sophismes pervers comme celui-ci qui ont mu Madame Francine Girond à rédiger la riposte qui suit. Il m’est apparu qu’il serait difficile aux internautes de comprendre les allusions ironiques faites dans un style très littéraire et souvent allusif, par F. Girond, sans qu’ils aient sous les yeux le texte qu’elle prend fort justement à partie. Je l’ai donc ajouté à la suite de sa critique. (Menahem Macina).
Réaction à l’article de Percy Kemp: "Au Proche-Orient, les idées sont homicides", F. Girond
"Mais qu'est-ce qui m'autorise à dire ainsi que le discours, le mien compris, est premier ? Ce qui m'y autorise, c'est la constatation que j'ai faite que les guerres au Proche-Orient ne sont pas tant des guerres pour la survie ou pour l'appropriation de richesses, que des guerres d'idées." (Percy Kemp) Ce sont des sophismes pervers comme celui-ci qui ont mu Madame Francine Girond à rédiger la riposte qui suit. Il m’est apparu qu’il serait difficile aux internautes de comprendre les allusions ironiques faites dans un style très littéraire et souvent allusif, par F. Girond, sans qu’ils aient sous les yeux le texte qu’elle prend fort justement à partie. Je l’ai donc ajouté à la suite de sa critique. (Menahem Macina).
20/08/2006
La guerre du dévoilement, Roland Y. Dajoux
« LibertyVox est heureux d’accueillir Roland Y. Dajoux qui, depuis Jérusalem, nous livre sa vision du conflit qui vient d’opposer Israël au Hezbollah. »
La guerre du dévoilement, Roland Y. Dajoux
« LibertyVox est heureux d’accueillir Roland Y. Dajoux qui, depuis Jérusalem, nous livre sa vision du conflit qui vient d’opposer Israël au Hezbollah. »
20/08/2006
Dessin antisémite du "Monde": l’Israélien crucificateur d’un Christ libanais, M. Macina
Après la mise en ligne de la lettre ouverte de Luc Rosenzweig, au médiateur du "Monde", suite à la publication, en page 2 de son édition du 28 juillet 2006, du dessin ignoble de Serguei, voici ma réaction. (Menahem Macina).
Dessin antisémite du "Monde": l’Israélien crucificateur d’un Christ libanais, M. Macina
Après la mise en ligne de la lettre ouverte de Luc Rosenzweig, au médiateur du "Monde", suite à la publication, en page 2 de son édition du 28 juillet 2006, du dessin ignoble de Serguei, voici ma réaction. (Menahem Macina).
20/08/2006
"Le Monde" interpellé par Luc Rosenzweig pour un dessin antisémite
J’ai été interpellé, dès le début du mois d’août, par plusieurs internautes qui me signalaient ce dessin ignoble (voir, ci-après, en note, le texte de l’e-mail d’une correspondante). Malheureusement, alité durant quelques jours, à l’époque, suite à une indisposition, puis accablé par la couverture de la guerre au Liban, je n’ai pu traiter l’affaire. De surcroît, celles et ceux qui m’avaient alerté ne m’avaient pas donné la date de parution de ce dessin. Grâce à l’interpellation de Luc Rosenzweig, que diffuse aujourd’hui Menapress, je suis en mesure de réagir. Je le fais en deux temps. Tout d’abord, je me fais immédiatement l’écho de l’interpellation de L. Rosenzweig. Puis, dans la foulée, je mets en ligne ma propre réaction. (Menahem Macina).
"Le Monde" interpellé par Luc Rosenzweig pour un dessin antisémite
J’ai été interpellé, dès le début du mois d’août, par plusieurs internautes qui me signalaient ce dessin ignoble (voir, ci-après, en note, le texte de l’e-mail d’une correspondante). Malheureusement, alité durant quelques jours, à l’époque, suite à une indisposition, puis accablé par la couverture de la guerre au Liban, je n’ai pu traiter l’affaire. De surcroît, celles et ceux qui m’avaient alerté ne m’avaient pas donné la date de parution de ce dessin. Grâce à l’interpellation de Luc Rosenzweig, que diffuse aujourd’hui Menapress, je suis en mesure de réagir. Je le fais en deux temps. Tout d’abord, je me fais immédiatement l’écho de l’interpellation de L. Rosenzweig. Puis, dans la foulée, je mets en ligne ma propre réaction. (Menahem Macina).
