<p>Le vrai souci, M. Enderlin, dans vos reportages, c'est vous.<br />
<br />
L'affaire Al Dura vous à discrédité à jamais.<br />
<br />
Vous avez trop voulu protéger votre caméraman et vous en payer le prix.<br />
<br />
Vous avez le droit d'etre de gauche mais ... vous etes journaliste non ?<br />
<br />
Démissionez, et honorez votre métier.<br />
<br />
Il est temps que l'objectivité à propos d'Israel et de ce conflit règne à France 2.<br />
<br />
Arlette Chabot et Phillippe Rochot devrait vous rejoindre, j'espère.<br />
<br />
Daniel</p>
mardi 22 janvier 2008 :: Messages haineux et autres ::
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<p>Juste une question très cher Charles , du haut de votre modestie; ou est le corps de Mohamed Al Dura ? Est-ce que vous démissionnerez si la justice vous donne tort ? </p>
mardi 22 janvier 2008 :: Messages haineux et autres ::
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<p>Juste une question très cher Charles , du haut de votre modestie; ou est le corps de Mohamed Al Dura ? Est-ce que vous démissionnerez si la justice vous donne tort ? </p>
mardi 22 janvier 2008 :: Messages haineux et autres ::
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De Anonyme, IP: 82.243.244.188
:
< p>Vous etes un Kappo d'extreme droite ou gauche peut importe.
La vérité sortira de votre odieuse manipulation mme si vous avez le soutient de la presse française et d'une partie des politique. Cela ne fait que commencer et les insultes que mes enfants ont subit a cause de kappo comme vous seront laver par la vérité.
jeudi 10 janvier 2008 :: Messages haineux et autres ::
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Commentaire pour le billet "Opinion"
Par : Monsieur-K
Site Web : http://
Cher Monsieur Enderlin,
Opinion écrivez-vous en début de page, soit, alors, parlons d’opinion puisque c’est sous cet angle que vous publiez vos billets d’humeur mensuels.
Comme tout un chacun, donc vous, moi et bien d’autres, vous disposez pleinement d’un droit absolu à la liberté d’opinion et à l’expression qui va avec, je ne vous ferais pas l’affront de vous rappeler la phrase de Voltaire, mais j’y souscris totalement.
Mais, là où le bât blesse cher Monsieur, c’est que s’il eut été parfaitement logique que vous l’exprimiez en tant qu’éditorialiste ou journaliste d’un magazine ou quotidien se revendiquant d’opinion, dès lors Monsieur que vous usez de ce droit sur une chaîne nationale qui se veut être d’information, alors, cher Monsieur Enderlin, là, vous commettez un abus de position et un dévoiement de fonction.
Monsieur Sfeir par exemple que vous connaissez très bien donne des avis, des opinions, des analyses, mais Monsieur Sfeir n’est qu’un consultant, pas un envoyé permanent auréolé du titre de journaliste d’un organe national.
Quand par exemple dans l’affaire qui défraie la chronique tant journalistique que judiciaire, vous désignez un coupable vous donnez votre opinion, mais votre opinion n’est pas une information, vous avez donc utilisé un media qui appartient à tout le monde pour grâce à un temps qui n’appartient à personne transformer un espace d’information en tribune d’opinion.
Dans le cadre de la libre opinion, vous devez donc admettre que celle de vos contradicteurs n’a pas moins de valeur que la vôtre et mérite, dès lors qu’elle est étayée le même respect que celle que vous avez émise, sauf que Monsieur, vous ne l’avez pas positionnée comme une opinion mais comme une information.
J’en veux également pour illustration la suite de votre billet du mois.
Il n’est que le fruit d’une opinion, pas d’une vérité vraie, mais bien d’un parti pris et vous en avez le droit le plus absolu.
Vous l’auriez, mais ne l’avez-vous jamais fait, exposé ceci dans le cadre de vos attributions professionnelles, vous auriez aussi mérité les foudres pour analyse partisane.
Je ne sais si vous viendrez ici en contradiction avec votre serviteur, mais voilà ce que vous me semblez avoir omis, et eu égard à votre culture et votre passer, je m’autorise à considérer comme volontaire.
Quel est donc le seul pays, du « champ de bataille » à avoir, par ses représentants légitimes et engageants (ce qui exclu vous en conviendrez la fameuse, fumeuse initiative de Genève) des plans de paix à plusieurs reprises ?
Nous voulons, vous et moi, enfin, je l’espère pour vous qu’une paix juste et équilibrée s’instaure, la paix, vous en conviendrez ne peut être réalisée et pérenne qu’au travers de sa mise en œuvre par les partis concernées, l’Arabie Saoudite fait-elle parti des pays du champ de bataille ? Aman et Djihad de Téhéran est-il un acteur du champ de bataille entre palestiniens et israéliens car c’est bien d’eux qu’il s’agit ?
Allons Monsieur Enderlin, dans votre grand sens de l’équilibre, rappelez-nous les responsables Palestiniens, formels et engageants qui ont posé un plan de paix qui pourrait servir de base à des négociations sérieuses ?
Vous avez côté israélien à minima 3 plans qui auraient dû pousser à des accords après discussion, plan concoctés par les responsables politiques au pouvoir ces dernières années.
Le plan Sharon que vous et moi connaissons,
Le plan Olmert que tout le monde connaît,
Le plan Péres que tout ceux qui veulent le connaître peuvent le faire.
Etonnant Monsieur Enderlin que de la part d’un membre éminent d’une chaîne d’Information cela ne soit pas dit, aussi.
C’est tout cela Monsieur qui fait que vous n’intervenez qu’au titre de la libre opinion, et en tout cas pas de la juste information.
Votre serviteur, Monsieur-K.
vendredi 4 janvier 2008 :: Messages haineux et autres ::
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Commentaire pour le billet "Opinion"
Par : Monsieur-K
Site Web : http://
Cher Monsieur Enderlin,
Opinion écrivez-vous en début de page, soit, alors, parlons d’opinion puisque c’est sous cet angle que vous publiez vos billets d’humeur mensuels.
Comme tout un chacun, donc vous, moi et bien d’autres, vous disposez pleinement d’un droit absolu à la liberté d’opinion et à l’expression qui va avec, je ne vous ferais pas l’affront de vous rappeler la phrase de Voltaire, mais j’y souscris totalement.
Mais, là où le bât blesse cher Monsieur, c’est que s’il eut été parfaitement logique que vous l’exprimiez en tant qu’éditorialiste ou journaliste d’un magazine ou quotidien se revendiquant d’opinion, dès lors Monsieur que vous usez de ce droit sur une chaîne nationale qui se veut être d’information, alors, cher Monsieur Enderlin, là, vous commettez un abus de position et un dévoiement de fonction.
Monsieur Sfeir par exemple que vous connaissez très bien donne des avis, des opinions, des analyses, mais Monsieur Sfeir n’est qu’un consultant, pas un envoyé permanent auréolé du titre de journaliste d’un organe national.
Quand par exemple dans l’affaire qui défraie la chronique tant journalistique que judiciaire, vous désignez un coupable vous donnez votre opinion, mais votre opinion n’est pas une information, vous avez donc utilisé un media qui appartient à tout le monde pour grâce à un temps qui n’appartient à personne transformer un espace d’information en tribune d’opinion.
Dans le cadre de la libre opinion, vous devez donc admettre que celle de vos contradicteurs n’a pas moins de valeur que la vôtre et mérite, dès lors qu’elle est étayée le même respect que celle que vous avez émise, sauf que Monsieur, vous ne l’avez pas positionnée comme une opinion mais comme une information.
J’en veux également pour illustration la suite de votre billet du mois.
Il n’est que le fruit d’une opinion, pas d’une vérité vraie, mais bien d’un parti pris et vous en avez le droit le plus absolu.
Vous l’auriez, mais ne l’avez-vous jamais fait, exposé ceci dans le cadre de vos attributions professionnelles, vous auriez aussi mérité les foudres pour analyse partisane.
Je ne sais si vous viendrez ici en contradiction avec votre serviteur, mais voilà ce que vous me semblez avoir omis, et eu égard à votre culture et votre passer, je m’autorise à considérer comme volontaire.
Quel est donc le seul pays, du « champ de bataille » à avoir, par ses représentants légitimes et engageants (ce qui exclu vous en conviendrez la fameuse, fumeuse initiative de Genève) des plans de paix à plusieurs reprises ?
Nous voulons, vous et moi, enfin, je l’espère pour vous qu’une paix juste et équilibrée s’instaure, la paix, vous en conviendrez ne peut être réalisée et pérenne qu’au travers de sa mise en œuvre par les partis concernées, l’Arabie Saoudite fait-elle parti des pays du champ de bataille ? Aman et Djihad de Téhéran est-il un acteur du champ de bataille entre palestiniens et israéliens car c’est bien d’eux qu’il s’agit ?
Allons Monsieur Enderlin, dans votre grand sens de l’équilibre, rappelez-nous les responsables Palestiniens, formels et engageants qui ont posé un plan de paix qui pourrait servir de base à des négociations sérieuses ?
Vous avez côté israélien à minima 3 plans qui auraient dû pousser à des accords après discussion, plan concoctés par les responsables politiques au pouvoir ces dernières années.
Le plan Sharon que vous et moi connaissons,
Le plan Olmert que tout le monde connaît,
Le plan Péres que tout ceux qui veulent le connaître peuvent le faire.
Etonnant Monsieur Enderlin que de la part d’un membre éminent d’une chaîne d’Information cela ne soit pas dit, aussi.
C’est tout cela Monsieur qui fait que vous n’intervenez qu’au titre de la libre opinion, et en tout cas pas de la juste information.
Votre serviteur, Monsieur-K.
vendredi 4 janvier 2008 :: Messages haineux et autres ::
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Par : Monsieur-K
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Cher Monsieur Enderlin,
Opinion écrivez-vous en début de page, soit, alors, parlons d’opinion puisque c’est sous cet angle que vous publiez vos billets d’humeur mensuels.
Comme tout un chacun, donc vous, moi et bien d’autres, vous disposez pleinement d’un droit absolu à la liberté d’opinion et à l’expression qui va avec, je ne vous ferais pas l’affront de vous rappeler la phrase de Voltaire, mais j’y souscris totalement.
Mais, là où le bât blesse cher Monsieur, c’est que s’il eut été parfaitement logique que vous l’exprimiez en tant qu’éditorialiste ou journaliste d’un magazine ou quotidien se revendiquant d’opinion, dès lors Monsieur que vous usez de ce droit sur une chaîne nationale qui se veut être d’information, alors, cher Monsieur Enderlin, là, vous commettez un abus de position et un dévoiement de fonction.
Monsieur Sfeir par exemple que vous connaissez très bien donne des avis, des opinions, des analyses, mais Monsieur Sfeir n’est qu’un consultant, pas un envoyé permanent auréolé du titre de journaliste d’un organe national.
Quand par exemple dans l’affaire qui défraie la chronique tant journalistique que judiciaire, vous désignez un coupable vous donnez votre opinion, mais votre opinion n’est pas une information, vous avez donc utilisé un media qui appartient à tout le monde pour grâce à un temps qui n’appartient à personne transformer un espace d’information en tribune d’opinion.
Dans le cadre de la libre opinion, vous devez donc admettre que celle de vos contradicteurs n’a pas moins de valeur que la vôtre et mérite, dès lors qu’elle est étayée le même respect que celle que vous avez émise, sauf que Monsieur, vous ne l’avez pas positionnée comme une opinion mais comme une information.
J’en veux également pour illustration la suite de votre billet du mois.
Il n’est que le fruit d’une opinion, pas d’une vérité vraie, mais bien d’un parti pris et vous en avez le droit le plus absolu.
Vous l’auriez, mais ne l’avez-vous jamais fait, exposé ceci dans le cadre de vos attributions professionnelles, vous auriez aussi mérité les foudres pour analyse partisane.
Je ne sais si vous viendrez ici en contradiction avec votre serviteur, mais voilà ce que vous me semblez avoir omis, et eu égard à votre culture et votre passer, je m’autorise à considérer comme volontaire.
Quel est donc le seul pays, du « champ de bataille » à avoir, par ses représentants légitimes et engageants (ce qui exclu vous en conviendrez la fameuse, fumeuse initiative de Genève) des plans de paix à plusieurs reprises ?
Nous voulons, vous et moi, enfin, je l’espère pour vous qu’une paix juste et équilibrée s’instaure, la paix, vous en conviendrez ne peut être réalisée et pérenne qu’au travers de sa mise en œuvre par les partis concernées, l’Arabie Saoudite fait-elle parti des pays du champ de bataille ? Aman et Djihad de Téhéran est-il un acteur du champ de bataille entre palestiniens et israéliens car c’est bien d’eux qu’il s’agit ?
Allons Monsieur Enderlin, dans votre grand sens de l’équilibre, rappelez-nous les responsables Palestiniens, formels et engageants qui ont posé un plan de paix qui pourrait servir de base à des négociations sérieuses ?
Vous avez côté israélien à minima 3 plans qui auraient dû pousser à des accords après discussion, plan concoctés par les responsables politiques au pouvoir ces dernières années.
Le plan Sharon que vous et moi connaissons,
Le plan Olmert que tout le monde connaît,
Le plan Péres que tout ceux qui veulent le connaître peuvent le faire.
Etonnant Monsieur Enderlin que de la part d’un membre éminent d’une chaîne d’Information cela ne soit pas dit, aussi.
C’est tout cela Monsieur qui fait que vous n’intervenez qu’au titre de la libre opinion, et en tout cas pas de la juste information.
Votre serviteur, Monsieur-K.
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ar : Anonyme <ingnet@laposte.net>
Site Web : http://
POUR CEUX DES JOURNALISTES QUI PRETENDENT PUBLIER DES VERITES SANS PENSER D'AVANTAGE A LEURS SOURCES PARTIALES PRENNENT LA RESPONSABILITE D'ENGENDRER LES HAINES AVEC LE CORTEGE DES REPRESAILLES SANGLANTES ET SE VOIENT EUX-MEME PORTER LE POIDS DU SANG SUR LEUR MAIN PAR PROCURATION. AU MEME TITRE POUR CEUX QUI NE PRENNENT PAS A LEUR COMPTE DE RETABLIR LES VERITES POUR RECTIFIER CES MENSONGES.
Dans une cour de justice à Paris la semaine dernière, le mythe de Mohammed al-Dura a été finalement révélé. Ce mythe, propagé dans un reportage par le réseau de télévision France 2 le 30 septembre 2000, accusait faussement des soldats israéliens du meurtre d’un enfant palestinien nommé Mohammed al-Dura, alors qu’il était tapi avec son père derrière un fût de béton, au carrefour de Netzarim dans la bande de Gaza.
Une enquête de Tsahal sur l’incident, ordonnée par le commandant en chef de la région Sud de l’époque, le Major-Général Yom Tov Samia, avait écarté la possibilité que le coup de feu qui avait apparemment blessé le garçon ait été tiré par les soldats de Tsahal.
Le mois dernier, France 2 s’est vu enjoindre de montrer les 27 minutes de reportage sans coupure que son cameraman avait assuré sous serment avoir filmé sur les lieux ce jour-là, à partir duquel sont tirées les 55 secondes du reportage des prétendus tirs sur al-Dura par les soldats de Tsahal. Charles Enderlin, correspondant permanent de France 2 en Israël qui a rapporté la nouvelle, a fait une grande entrée dans la salle de la Cour où Philippe Karsenty faisait appel d’une accusation de diffamation infligée l’an passé, après qu’Enderlin et France 2 l’aient poursuivi pour la publication d’un article soutenant que l’affaire al-Dura était un « bidonnage ».
Dans la salle de Cour, au mépris apparent de l’ordonnance de la Cour, Enderlin montra un film de 18 minutes des évènements survenus alors, que les témoins oculaires déclarèrent être à l’évidence lourdement révisé. Bien qu’apparemment falsifié, la fin du film montrait tout ce qui est nécessaire pour prouver que ce reportage avait été une énorme tromperie. Pendant les trois dernières secondes du film, al-Dura, ne montrant aucun signe de blessure, levait sa main et jetait un coup d’œil furtif vers la caméra après qu’Enderlin l’ait déclaré mort et disparu.
La Cour française a fait un renvoi en février 2008, mais le mois dernier a détruit sans contredit le mythe al-Dura. Pourtant, la vérité qui a mis sept ans à sortir ne peut effacer les conséquences du mensonge.
Enderlin a publié son reportage deux jours après que les Palestiniens aient lancé leur jihad contre Israël. La fausse image de la victime al-Dura a servi de mise en accusation morale d’Israël : celle-ci a alimenté la campagne meurtrière contre Israël et les Juifs, qui s’en est ensuivie dans le monde entier. De même que le nom d’al-Dura était invoqué par les Palestiniens comme justification de leurs massacres de civils israéliens, de même il fut invoqué par les exécuteurs du journaliste Daniel Pearl, du ‘Wall Street Journal’, et par les foules musulmanes en Europe s’attaquant aux Juifs et à leurs institutions.
Le « bidonnage » présumé d’Enderlin est allé au-delà de la malfaisance journalistique. Il a mis une foi aveugle dans les reportages d’un cameraman qui à l’évidence, lui mentait. Et quand il fut mis face aux preuves de la tromperie, il les écarta agressivement tout au long des sept années. Alors qu’il est difficile de dire comment les évènements auraient pu se dérouler s’il n’avait pas choisi d’agir comme il le fit, regarder de façon rétrospective les conséquences meurtrières du mythe al-Dura en révèle énormément sur l’impératif pour les journalistes d’obtenir leurs informations en direct, et de reconnaître leurs erreurs quand elles sont découvertes. De même, cela souligne le besoin pour les politiciens de fonder leurs décisions sur des faits, même s’ils dénotent des réalités difficiles et dérangeantes.
mardi 1 janvier 2008 :: Messages haineux et autres ::
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<p>Vous etes une honte au metier du journalisme.En disant "Ce n’est pas un petit nombre d’enfants qui ont été tués par le feu de l’armée israélienne sans que leur mort ne soit filmée" , on ressent fortement une attitude et une opinion personnelle inegale par rapport au conflit.En ce qui concerne l`affaire de Mohamed Al Dura , vous ne vous rendez pas compte de tout le mal que vous avez fait et tout cela qui tient en fin de compte sur vos mensonges et la mise en scene spectaculaire du peuple palestinien.Le petit mohamed n`est pas mort et vous le savez pertinement.J`espere que vous repondrez un jour de vos actes devant les tribunaux.Une derniere chose , essayez d`etre un peu plus neutre la prochaine fois quand vous prenez la parole.</p>
mardi 1 janvier 2008 :: Messages haineux et autres ::
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