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Vous êtes ici : Agora > Société > Mise au point à l’attention de l’opinion publique par Khemais KSILA

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Derniers messages des forums de Reveiltunisien:

L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
> L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
4 mars 2006, par hasni

ca ne sert à rien de chercher à tourner le truc dans tous les sens pour trouver des responsables et à nouveau dire que le peuple n’est pas mur pour la démocratie. Le seul frein/obstacle à une Tunisie démocratique est son dictateur et le parti unique sur lequel il s’appuie. la source du probleme tunisien est Ben Ali. Il faut qu’il parte.

Grâce présidentielle en Tunisie : les Internautes de Zarzis ont été libérés.
Nouveau parti en Tunisie
4 mars 2006, par afif

La Presse de tunis du samedi 04/03/06, annonce :

Octroi du visa légal à un nouveau parti : le Parti des Verts pour le Progrès Paysage politique La neuvième formation est née

-  La Presse - Le pluripartisme en Tunisie s’est vu consolider, hier, par un nouveau parti, le neuvième, et une nouvelle dimension, la cinquième, celle de l’écologisme militant. Ce nouveau parti vient ainsi côtoyer le RCD, les libéraux du PSDL, les panarabes de l’UDU et les cinq partis de la gauche : Ettajdid, le PUP, le MDS, le PDP et le FDTL.

Le nouveau parti est né à l’initiative de citoyens actifs de la vie associative et du monde scientifique, portés par un militant politique connu à travers son engagement au sein de la mouvance libérale sociale, sous l’étiquette de laquelle il a accédé au rang de député de la nation : M. Mongi Khamassi.

Le « Parti des Verts pour le Progrès », dont le bureau fondateur est composé de 10 membres dont 3 femmes, a reçu, hier, vers 11h30, des mains du ministre de l’Intérieur et du Développement local, son visa d’existence légale. Les fondateurs du parti se sont astreints, depuis le dépôt de leur demande de visa, à une réserve telle que la surprise était totale, hier, vers 9h00, quand le bruit commençait à circuler parmi les politiques et les hommes de médias.



Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
> Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
4 mars 2006, par sandatoute

pourquoi ne voulez vous pas admettre la vérité 0, 1, 2, 3.....sont les chiffres arabes (il vous suffit de consulter un livre d’histoire ou plus simple, de faire des recherches sur (google par exp). Algèbre vient de l’arabe (Aljabr) qui veut dire équation.

L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
> L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
4 mars 2006, par sandatoute

je n’ai à aucun moment parlé de Ben Ali et de sa politique. Ceci n’est pas le débat ici. Cet article de la constitution existe depuis l’indépendance de la Tunisie ( c’est pas lui qui l’a écrit et je suppose que vous le savez parfaitement). La tardition démocratique dans les pays européen ne date pas d’Hier, il a fallu plusieurs siècle pour l’instaurer. La démocratie est un long apprentissage et pour s’épanouir elle a besoin d’un espace propice et surtout pret à l’acceuillir (une société qui accèpte que la laïcité se substitue à la religion et aux traditions). La république tunisienne est jeune, est pour qu’elle devienne une démocratie à part entière, le chemin est encore long. Peut-être que la société tunisienne n’est pas encore prête à accueillir et faire sienne la démocratie. Avant de mettre en cause le système politique, il faudrait peut-être s’attaquer au problème à sa source. Une question essentielle que nous devons nous poser : pourquoi un régime politique totalitaire à pu s’établir en Tunisie et pas ailleurs ? Parce qu’il y a trouvé un terrain propice. La société tunisienne est encore une société patriarcale. On ne nous a pas inculquée la liberté d’expression (que se soit au niveau de la cellule familiale où la parole du père reste incontestée, ou même aussi au niveau de l’école). Si nousvoulmons changer les choses il faut commencer par le commencement : traiter les problèmes à leurs sources. Et les choses suivrons un cours naturel et changeront d’eux mêmes et surtout au moment opportun. Cela ne peut se faire que petit à petit. Le problème n’est pas Ben Ali, mais il s’agit d’un mal profond qui ronge la société tunisienne, qui encore une fois, j’estime qu’elle n’est pas encore prête pour une vraie démocratie. Le sera-elle un jour ?, c’est l’avenir qui le dira.

Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
> Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
4 mars 2006, par Hannibal II

Les chiffres dits « arabes », qui furent d’abord utilisés en France puis dans toute l’Europe et enfin dans le monde entier, sont en réalité des chiffres indiens : ils sont nés en Inde. Ils ont été décrits dans un ouvrage d’Al Khawarizmi, et ont été probablement transmis à l’Europe depuis l’Andalousie musulmane vers la fin du Xe siècle grâce à l’enseignement du calcul sur abacus, tel que pratiqué par les Arabes. On en trouve des attestations claires dans le Liber abaci de Fibonacci, datant de 1202. Ce sont des logogrammes.

Alors d’emploi très limité, l’utilisation de ces chiffres dits « arabes » (alors que les Arabes, les nomment, à juste titre, « chiffres hindîs ») n’a vraiment commencé à se généraliser en Europe et dans le monde arabe qu’au XIIe siècle. Leur tracé définitif est attesté dès le XVe siècle.

Le mot « chiffre », utilisé d’abord pour signifier « zéro », vient de l’arabe sifr (أَلصِّفْر ʾaṣ-ṣifr), qui signifie « le vide ». Le mot zéro vient du même étymon arabe, mais sous la forme que lui donnaient les Italiens au XVe siècle, soit zefiro puis zero. C’est la traduction littérale du 0 sanskrit, ou shunya (शून्य śūnya, « vide »).

Le 0 est également un invention indienne (Ve siècle).



mac125 un portail tunisien comme j’aime.
> mac125 un portail tunisien comme j’aime.
3 mars 2006, par amira

je connais le site depuis un mois et j’y suis déja fana, il représente un espace de liberté avec ses limites mais tout de meme il représente une chance et un espoir quant à notre jeunesse tunisienne tres ouverte et critique.

L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
> Il ne faut pas rêver... la constitution sera encore discriminatoire
3 mars 2006, par Afif

Même Bourguiba qui pouvait oser, à cause du crédit de sympathie qu’il avait auprés du peuple en particulier au début de l’indépendance (on disait qu’il avait deux couilles, on a découvert qu’il n’avait qu’une seule), n’a pas osé ouvrir un chantier aussi miné.

Malheureusement ce débat ne se posera que dans plusieurs dizaines d’année, voire un siècle ou plus. Pour preuve : écoutez le silence des opposants qui luttent pou instaurer une démocratie en Tunisie, au mieux ils nous expliquent que la religion ne s’opposera pas à la démocratie et qu’il sont obligés de ne pas heurter les traditions séculaires(sic !). C’est ce qu’on appelle une "alliance tactique".(Re-sic !)

Comme si le Vatican pouvait faire preuve de démocratie !

Pauvre Tunisie qui est condamnée à vivre encore longtemps sous la dictature, dictature tantôt ouverte, tantôt déguisée.

Vous cherchez la démocratie ? Les Droits de l’Homme ? Vos papiers s’il vous plaît !...Allez...Circulez, il n’y a rien à voir... Au suivant...



Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
3 mars 2006, par hasni

le contenu de deux messages contenaient des termes propres à faire déraper la discussion. D’autres participations violentes ou tombant sous le coup de la loi du pays où est hebergé ce site n’ont pas été validées également. Nous ne souhaitons pas de plus entrer dans les polémiques qui entourent les positions de M. Dieudonné car elles ne concernent pas l’objet de ce site.

si des personnes désirent plus de précisions, nous répondrons par mail sur les termes qui n’ont pas permis la validation.

hasni



Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
3 mars 2006, par tunisien libre

je voudrais savoir pourquoi mes interventions n’ont pas eu l’aprobation de la rédaction de réveil tunisien

cordialement



L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
> L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
3 mars 2006, par hasni

vous comparez la constitution tunisienne qui a été manipulée par Ben Ali pour s’assurer l’impunité et que lui même ne respecte pas avec les constitutions de pays démocratiques. Certes, la démocratie à l’européenne n’est pas forcément un modèle reproductible, certes, il y a des inégalités, du chomage, du racisme etc en Europe mais on ne peut pas mettre sur un mm plan une dictature et une démocratie. sauriez vous dire la religion des différents présidents et présidentes des pays européens ?

L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
> L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
3 mars 2006, par sandatoute

je ne trouve pas que ce premier article de la constitution soit choquant, la Tunisie est un pays musulman, sa constitution reflète parfaitement l’état d’esprit et les attentes du peuple. Vous citez des articles de constitutions europeénes : les droits et les valeurs qu’on y mentionne ne sont qu’une façade un beau mensonge pour faire croire aux à une égalité des chances alors qu’il n’en est rien. C’et est ça restera lettre morte sur du papier (qant bien même constitutionnel). Au moins, la constitution tunisienne est lucide. Sans doute les politiques européennes, en ommétant d’évoquer ce problème d’appartenance religieuse et territoruale, font-preuve de plus de subtilité (qui reste néomoins hypocrite), mais sur le fond, le principe reste le même : on n’est pas prêts de voir un musulman à la tête d’un pays européen, est c’est tout à fait légitime (peut-être pas d’un point de vue laîc, mais ça l’est d’un point de vue culturel). La laïcité comme valeure suprême ne peut ,d’un point de vue objectif, être entièrement appliquée. Il est vrai, l’histoire culturelle et humaine d’un pays (sa religion et ses traditions) ne peuvent être anihilée au non de la République et de la laïcité.

Refuser les amalgames (Libération)
> Refuser les amalgames (Libération)
2 mars 2006, par Le vieux

Monsieur, Tout ce que vous dites est vrai si on prend la traduction du coran telle qu’elle l’est. Cependant, il faut aussi savoir que la langue du coran est très ancienne et cela suscite une bonne connaissance de la langue arabe pour bien comprendre le contenu. Je vous avoue que pas mal d’arabes musulemans n’arrivent pas à comprendre le vrai sens du livre saint ce qui mène des fois à une fausse interprétation.

Des penseurs musulemans appellent maintenant à instaurer un établissement qui se compose de différent savants arabes et musulemans(linguistes,docteurs, scientifiques, philosophes, traducteurs...) et ce est dans le but de faire une traduction qui puisse transmettre sans aucun malentendu le contenu du coran. En effet, ils reconnaissent ,(ENFIN), que c’est de leurs faute, mais aussi faute des moyens, que le coran est mal compris dans le monde ; il n’y a jusqu’à nos jours aucune traduction qui transmet vraiment l’âme du coran.

Bref, il nous reste beaucoup de temps pour réussir à se comprendre, et d’ici là il y aura sans doute des dégats.



Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
> Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
2 mars 2006, par 4 questions en attente de 4 réponses

d’accord.mais,il suffit pas de l’expliquer.il faut plutot,le prouver.
-  comment s’appele l’arabe qui a empreinté de chez les indiens,leurs chiffres !
-  et a quelle date !
-  et pourquoi un tel empreint alors,que les arabes possèdent leurs propres chiffres ?!
-  et pourquoi les calendriers arabes,les dictionnaires arabes,et les livres religieux...leurs pages sont numérotées en chiffres "indiens" alors,que le reste des livres sont numérotés par des chiffres "arabes" ?!

Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
2 mars 2006, par nous sommes tous égaux aux yeux de notre créateur a la seule condition citée dans le hadith,prophétique

d’accord,vous venez de faire une belle analyse mais,en présentant les choses a votre propre facon ! comme dit,le proverbe :(l’oiseau chante,et son aile lui sert d’écho).
-  1ère question :pourquoi,vous nommez les autres...(d’ennemies) avec(e)au lieu de les nommer,(adversaires) ?! et de qui parlez vous !
-  vous dites,que vous avez combattu des armées arabes mais,(sans haine et sans mépris)...admettons que ce que vous dites est,vrai.selon votre avis :lorsque un"colonisé"refuse de partager sa propre terre avec (l’agresseur-colonisateur).ce refus,doit-il (oui ou non)etre considèré par le "colonisateur" comme un motif "légale et légitime" qui lui donne le feux vert,(de coloniser,de déclencher une guerre,et de tuer des vies humaines-innocentes,et d’expulser une partie de la population de sa propre terre)...etc,etc... !
-  vous dites,(nous en israel...).mais,qui vous dit,que tous les israeliens pensent (tous kif kif)je veux dire,comme vous ! donc,vous ne pouvez représenter que votre propre personne et au maximum,les quelques israeliens qui partagent vos points de vues et qui sont désireux d’une (vraie-paie-juste et équitable).vous savez trés bien,qu’ils existent beaucoup d’israeliens qui utilisent la guerre au nom de la religion.et les plus durs se trouvent parmis,(les religieux) et les (politiciens)..
-  moralités :pour que nous puissions réaliser un jour si dieu veut,une vraie paix.nous ne devons et en un aucun cas, (cacher ou camoufler)une partie de la vérité.c’est un passage obligé,croyez moi.sachez que toute discussion basée sur la franchisité et la vérité.peut ouvrir a la longue,une "brèche" dans le chemin de la paix. bienvenue cher cousin,au site du réveiltunisien.cordialement

Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
> Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
2 mars 2006, par tunisie libre

Désolé de vous decvoir mais vous avez tort en arabe le 0 c’ecrit 0 est non pas (.)

les chiffres dont tu parles sont les chiffres indiens qui sont largement utilisé dans l’orient du monde arabe.

juste pour votre information les chiffres arabes sont 0, 1 , 2 , 3 , 4 ,5 , 6 ,7 ,8 ,9

malheureusement je n’est pas un clavier qui écrit les chiffres indiens ,mais tu dois sans doute les connaîtres



Mise au point à l’attention de l’opinion publique par Khemais KSILA
mercredi 15 juin 2005, par Rédaction de reveiltunisien.org


· A l’issue des réunions du Conseil d’Administration de l’Institut Arabe des Droits de l’Homme (IADH) à Tunis, les 4 et 5 juin 2005, et des débats qui y ont eu lieu, · Après avoir pris connaissance de la Conférence de presse tenue par M. Taïeb Baccouche, président de l’Institut, le 7 juin 2005, ce qui a pu être rapporté par le journal Essabah, le 8 juin 2005 et par l’AFP et El Qods Presse dans trois dépêches en date du 10 juin 2005, · Considérant la campagne de dénigrement dont je suis la cible, explicitement ou allusivement, de la part du président de l’IADH ou de responsables du gouvernement tunisien, l’un comme les autres légitimant les pressions qui ne cessent d’être exercées sur l’institut, par l’illégalité de ma qualité d’administrateur,

Trop c’est trop ! Mon silence n’a que trop duré.

Je m’adresse, aujourd’hui, à l’opinion publique par la présente mise au point :

1. La légitimité et la légalité de ma qualité d’administrateur de l’IADH ne dépendent pas de M. T. Baccouche, et encore moins, du gouvernement tunisien. Ce gouvernement qui, arguant de machinations "judiciaires", dont j’ai été la victime en ma qualité de secrétaire général de la LTDH, et comme opposant politique à abattre, a mobilisé sa police politique, sa presse de caniveau, une justice aux ordres, ainsi que quelques complices de circonstance, pour me condamner par contumace à dix ans d’emprisonnement. Je me suis retrouvé, ainsi, face à l’alternative : l’emprisonnement pour la 4ème fois ou l’épreuve de l’exil. Rappelons que cette parodie de justice a été dénoncée par la LTDH ainsi que toutes les ONG et les forces démocratiques tunisiennes et internationales. Le dossier fait aujourd’hui l’objet d’un suivi auprès du Haut Commissariat des Droits de l’Homme de l’ONU.

2. S’agissant du gel des avoirs de l’IADH dans les banques tunisiennes, il constitue la forme ultime de pression et de chantage afin d’amener l’institut à m’évincer du Conseil d’Administration. Malgré la patience dont j’ai fait preuve ainsi que M. Trifi, président de la LTDH, le président de l’IADH a tout fait pour satisfaire la double exigence du pouvoir : mon éviction du Conseil et surtout que cela se passe sans bruit afin d’occulter cette manœuvre bassement politique.

3. Pour mémoire, il s’agit d’une récidive. En 1998, alors que je purgeais une peine de prison de 3 ans, en ma qualité de vice-président de la LTDH, les autorités ont gelé la somme de 350 000 dollars appartenant à l’IADH, déjà en manoeuvre de chantage vis-à-vis de à mon appartenance au Conseil d’Administration de l’institut. Cette manœuvre avait tourné court mais la peur étreint depuis M. T. Baccouche. J’en veux pour preuve, à cette même période, le retrait par ce dernier de sa signature d’une pétition de solidarité initiée par des personnalités et des ONG arabes et internationales pour exiger ma libération, à l’occasion d’un colloque au Maroc.

4. Je tiens à exprimer tout mon respect à la majorité des membres du CA de l’IADH, à commencer par les représentants de la LTDH, et le représentant du Haut Commissariat pour les Droits de l’Homme de l’ONU, qui ont exprimé fermement et sans ambiguïté lors des réunions du conseil (4 et 5 juin 2005), leur solidarité à mon égard et leur refus du marché que le gouvernement a voulu imposer : mon éviction contre le déblocage des avoirs de l’institut. Mon affliction est grande quant à l’attitude de M. T.Baccouche qui s’est rendu aux arguments des autorités parlant même de déjouer des prétextes du pouvoir et de faire prévaloir "les intérêts de l’institution sur ceux d’une seule personne". Pourtant il est mieux placé que personne pour savoir les travers de ce marché de dupes, qui aboutit toujours à l’abandon des droits des personnes et l’autonomie des institutions.

5. Je me réserve le droit d’éclairer le Haut Commissariat sur les moindres détails de ce dossier. Je ne renoncerais à aucune de mes prérogatives publiques en tant que membre du CA de l’IADH. Le mutisme que j’ai observé jusque là s’est avéré contre-productif. C’est pour cela que j’ai décidé de m’exprimer librement chaque fois que je le jugerais utile, bravant ainsi l’ostracisme dont j’ai été l’objet de la part du président de l’IADH et de l’intendance de l’institut, depuis plus de 3 ans.

Voilà ce que j’ai jugé nécessaire de rendre public aujourd’hui. Il y va de ma responsabilité à l’égard des défenseurs des droits de l’homme, et de l’opinion démocratique tunisienne, arabe et internationale, soucieux de la survie et du crédit de l’institution pionnière qu’est l’IADH.

Je répondrai pied à pied chaque fois que l’autonomie de l’IADH sera mise en cause ou que mes droits en tant que membre du CA seront bafoués ; et ce jusqu’à ce que les structures légales de la LTDH en décident autrement.

Fait à Paris, le 13 juin 2005

Khemais KSILA Membre du Conseil d’Administration de l’IADH Secrétaire Général de la LTDH


Une ONG de droits de l’Homme victime d’une loi antiterroriste en Tunisie AFP, le 10 juin 2005 TUNIS - Une ONG régionale ayant pour vocation de promouvoir la culture des droits de l’Homme à l’échelle des pays arabes a affirmé vendredi être victime d’une application injuste de la loi antiterroriste en Tunisie. Dans un communiqué transmis à l’AFP, l’Institut arabe des droits de l’Homme (IADH) se plaint du blocage injustifié de ses avoirs depuis de nombreux mois par l’administration en application des dispositions de la loi tunisienne de lutte contre le terrorisme et le blanchiment d’argent. L’IADH s’étonne d’être exposé à cette mesure qui paralyse ses activités et se dit "extrêmement préoccupé" par une crise menaçant son existence. Assurant que son budget est géré "selon les normes de transparence et de rigueur totales", l’IADH invite les autorités à faire débloquer ses fonds déposés dans les banques tunisiennes. Selon un responsable du centre, il s’agit de quelque 250.000 dollars provenant essentiellement de subventions de fonds des Nations Unies, l’IADH qui collabore avec les ministères arabes de l’Education, ayant également reçu une donation de 20.000 dollars du gouvernement saoudien. L’ONG, qui vient de reconduire à sa tête l’ancien dirigeant syndicaliste tunisien, Taieb Baccouche, compte parmi ses membres fondateurs l’Organisation arabe des droits de l’Homme, l’Union des avocats arabes et la Ligue tunisienne des Droits de l’Homme. Sont également associés à son Conseil d’administration des organismes de l’Onu, notamment le Haut commissariat des droits de l’Homme, l’Unicef, l’Unesco et le Pnud. L’IADH a également donné la liste de douze publications "en instance" de distribution, certaines étant soumises au dépôt légal tunisien depuis 1999. Ces ouvrages sont essentiellement des actes de séminaires de formation, portant sur "la participation des femmes à la vie politique", "la diffusion de la culture des droits de l’Homme", ou encore un "guide pour des élections libres". Selon M. Baccouche, le blocage des avoirs et des publications de l’IADH serait lié à la présence au conseil d’administration d’un opposant "indésirable" en Tunisie, établi à l’étranger depuis plus de trois ans. Fondé en 1989, l’IADH a ouvert une section à Beyrouth et envisagerait de transférer son siège hors de la Tunisie en cas de persistance de la crise.

Les autorités rejettent les plaintes d’une ONG de droits de l’Homme AFP Infos Mondiales International, vendredi 10 juin 2005 TUNIS - Les autorités tunisiennes ont rejeté vendredi les plaintes d’une ONG régionale de droits de l’Homme basée à Tunis au sujet d’un "blocage injustifié" de ses avoirs en application d’une loi antiterroriste en Tunisie. L’Institut arabe des droits de l’Homme (IADH) s’était plaint du "blocage injustifié" de ses avoirs depuis de nombreux mois par l’administration en application des dispositions de la loi tunisienne de lutte contre le terrorisme et le blanchiment d’argent. "Ces allégations sont erronées", a indiqué une source officielle à Tunis, qui, sans démentir le blocage des avoirs, reproche à l’IADH de "continuer à faire figurer, parmi les membres de son conseil d’administration, une personne condamnée en 2002 à une peine d’emprisonnement de dix ans". Sans préciser l’identité de la personne indésirable, les autorités affirment qu’elle a été "reconnue coupable d’attentat à la pudeur avec menaces et violence sur la personne d’une jeune femme". "Ce condamné de droit commun (...) n’aurait pas dû continuer à figurer dans le conseil d’aministration" de l’IADH, qui est ainsi "seul à pouvoir régler les problèmes dont il se plaint", a-t-on ajouté de même source. L’IADH s’était dit "extrêmement préoccupé" par une crise qui menace son existence et avait invité les autorités à faire débloquer ses fonds déposés dans les banques tunisiennes. L’institut avait également publié la liste de douze publications "en instance" de distribution, certaines étant soumises au dépôt légal tunisien depuis 1999. Ces ouvrages sont essentiellement des actes de séminaires de formation, portant sur "la participation des femmes à la vie politique", "la diffusion de la culture des droits de l’Homme", ou encore un "guide pour des élections libres". Son président, le Tunisien Taieb Baccouche, avait lui-même lié le blocage des fonds et des publications de l’IADH à la présence au sein de son conseil d’administration d’un opposant "indésirable" en Tunisie. Il s’agit, en fait, de Khemais Ksila, ancien dirigeant de la Ligue tunisienne des droits de l’Homme (LTDH, membre fondateur) établi depuis trois ans en France. Fondé en 1989, l’IADH a ouvert une section à Beyrouth et envisagerait de transférer son siège hors de la Tunisie en cas de persistance de la crise. Des organismes de l’Onu, notamment le Haut commissariat des droits de l’Homme, l’Unicef, l’Unesco et le Pnud sont associés au CA de l’IADH qui a pour vocation la diffusion de la culture des droits de l’Homme dans le monde arabe.


تونس : الحكومة جمدت أموال المعهد العربي لحقوق الإنسان واحتجزت مؤلفاته

تونس - خدمة قدس برس

قال المعهد العربي لحقوق الإنسان إن الحكومة التونسية جمدت أمواله منذ حوالي الستة أشهر، ولم تفرج عنها إلى حد الآن، مما جعل المؤسسة توقف نشاطها، وتعجز عن سداد أجور موظفيها.

وعبر الطيب البكوش رئيس المعهد في ندوة صحفية عن أسفه الشديد لتطبيق الحكومة التونسية إجراءات مكافحة "الإرهاب" على منظمة إقليمية، مثل المعهد العربي لحقوق الإنسان، الذي استضافته تونس منذ عام 1989، والذي يعرف الجميع مصادر تمويله الخاضعة لعقود تضبط وجوه صرفها بكامل الدقة والشفافية، حسب تعبيره.

وأكد البكوش أن أموال المعهد البالغة 250 ألف دينار ( الدولار يعادل نحو 1,25 دينارا)، مجمدة منذ مدة، رغم اتصال إدارة المعهد بالحكومة، ومحاولة التفاوض معها، مما سيؤدي إلى توقف نشاط المعهد، الذي يقوم بدورات تدريبية في مجال حقوق الإنسان، ويعقد ندوات فكرية في مختلف الدول العربية.

وأضاف رئيس المعهد، الذي يحظى باحترام وتقدير في الأوساط الحقوقية العربية، أن الحكومة لم تعط تفسيرا لهذا الإجراء، مشيرا إلى أن وضع العاملين في المعهد في ظروف اجتماعية عصيبة.

وناشد المعهد في بيان أرسلت نسخة منه إلى وكالة "قدس برس"، السلطات التونسية "أن ترفع القيود المطبقة عليه، والتي أدت، في الشهور الأخيرة، إلى شل نشاطه، بشكل خطير، وجدد طلبه بتسوية وضعه القانوني، باعتباره منظمة إقليمية غير حكومية، تستضيفها تونس منذ 16 عاما، حتى يتمكن من مواصلة أداء مهامه، بصفة طبيعية في البلاد العربية".

ويعتبر المعهد العربي لحقوق الإنسان منظمة إقليمية غير حكومية، اكتسبت إشعاعا دوليا، واكتسبت ثقة منظمة الأمم المتحدة. وقد بعث المعهد بمشاركة عدة منظمات عربية مثل المنظمة العربية لحقوق الإنسان، واتحاد المحامين العرب، والرابطة التونسية للدفاع عن حقوق الإنسان، بالإضافة للمنظمات الأممية المشاركة في مجلس إدارته، وهي المفوضية السامية لحقوق الإنسان، ومنظمة اليونيسيف، وبرنامج الأمم المتحدة الإنمائي.

من جهة أخرى قال البكوش إن منشورات المعهد محجوزة لدى الرقابة منذ أشهر، وبعضها منذ سنوات، رغم أنها لا تتعرض لتونس. وعدّد رئيس المعهد المؤلفات المحجوزة، التي بلغ عددها 12 كتابا، ومنها "المشاركة السياسية للمرأة العربية"، و"دليل الحقوق الاقتصادية والاجتماعية والثقافية"، و"الحق في المحاكمة العادلة في العالم العربي"، و"دليل مراقبة الانتخابات"، و"حقوق الإنسان في المؤسسة التعليمية العربية"، و"تحليل الخطاب المتصل بحقوق الإنسان في البلدان المغاربية".

وفي تصريح لوكالة "قدس برس" عبر الناشط الحقوقي صلاح الدين الجورشي عن استغرابه من إقدام الحكومة على هذه الخطوة، خاصة وأن المعهد له نشاطات تربوية وتثقيفية متوازنة، ولا تتعرض بشكل مباشر للأوضاع في تونس.

وحول الأسباب التي جعلت الحكومة تجمد أموال المعهد قال الجورشي إن الحكومة لم تعط تفسيرا رسميا لهذا الإجراء. ورجح أن يكون السبب وجود أحد الناشطين المدافعين عن حقوق الإنسان، وهو خميس قسيلة، ضمن مجلس إدارته، ممثلا عن الرابطة التونسية للدفاع عن حقوق الإنسان.

وكانت محكمة تونسية أصدرت منذ سنتين حكما بالسجن 10 أعوام ضد الناشط الحقوقي والقيادي في رابطة حقوق الإنسان قسيلة، المقيم حاليا في العاصمة الفرنسية باريس.

المصدر : وكالة قدس برس إنترناشيونال بتاريخ 10 جوان 2005)


تـوضيح إلى الرأي العام  على إثر انعقاد اجتماعات مجلس إدارة المعهد العربي لحقوق الإنسان بتونس يومي 4 و 5 جوان 2005، وما دار خلالها من مداولات، · وبعد اطّلاعي على أصداء اللقاء الصحفي الذي عقده السيد الطيّب البكوش رئيس المعهد يوم 7 جوان، وما نقلته عنه جريدة الصباح التونسية الصادرة يوم 8 جوان، وكذلك ما أوردته وكالةالأنباءالفرنسية في برقيتين بتاريخ 10 جوان ، وأخرى واردة بنفس التاريخ عن وكالة "قدس براس"، · وباعتبار التشهير المتعمَّد الذي استهدف شخصي في كل هذه الأخبار المنشورة - مرة بالتلميح وأخرى بالتصريح - سواء من طرف السيد رئيس المعهد أو من طرف مسئولين حكوميين، حيث برّر المصدران التضييقات المتزايدة التي ما فتئت تمارسها السلطة التونسية على المعهد العربي، هي بسبب " ... العضوية اللاّ قانونية للسيد خميس قسيلة لمجلس إدارة المعهد". هكذا، وبعد أن طفح الكيل، قررت أن أضع حدّا لصمت طال أكثر من اللزوم، اخترته بمرارة (لا خوفا، ولا هروبا) ولكن لأسباب موضوعية وذاتية تخصني ... ويهمني في هذا المقام، أن أتقدم للرأي العام، وفي مرحلة أولى، بالتوضيح التالي : أولا : إن قانونية وشرعية عضويتي لمجلس إدارة المعهد العربي لحقوق الإنسان، هي مسألة لا يحددها السيد الطيب البكوش، ولا الحكومة التونسية بحجة استتباعات مؤامرة دنيئة استهدفتني باعتباري كاتبا عاما للرابطة التونسية للدفاع عن حقوق الإنسان، وكأحد الخصوم السياسيين، عبأت فيها السلطة الحاكمة البوليس السياسي والصحافة المأجورة والقضاء التابع إلى جانب بعض الأيادي "الصديقة"... انتهت بالحكم الصادر ضدي غيابيا يوم 12 فيفري 2002 بعشر سنوات سجنا مع النفاذ العاجل ... وجدت خلالها نفسي أمام احتمالين لا ثالث لهما : إما الحبس للمرة الرابعة، أو محنة الهجرة ومغادرة الوطن. هذه المؤامرة التي أدانتها الرابطة التونسية للدفاع عن حقوق الإنسان وباقي المنظمات الحقوقية والقوى الديمقراطية داخل تونس وخارجها، أما نتائجها فهي محل متابعة إلى اليوم من طرف المفوضية السامية للأمم المتحدة. ثانيا : إن إقدام السلطات الحاكمة في تونس على تجميد أموال المعهد، المودعة بالبنوك التونسية، بهدف الضغط عليه ومساومته حول عضويتي لمجلس إدارة المعهد، هي عملية توّجت - في حقيقة الأمر- أشهرا طويلة من المناورة والاتصالات، تحملتُها وتحملها الأستاذ مختار الطريفي رئيس الرابطة التونسية للدفاع عن حقوق الإنسان، بصبر كبير، عمل رئيس المعهد وبكل أسف، كل ما في وسعه لبلوغ الهدف المزدوج للسلطة، والقاضي أولا بعزلي من عضوية مجلس الإدارة، وثانيا وبالخصوص، أن يتم ذلك دون ضجة وتحت جناح الظلام، للتعتيم على الطبيعة السياسية لهذه العملية القذرة, ثالثا : ولمن لا يعلم، فإن السلطات - وبنفس الأسلوب ولنفس الهدف - قد أقدمت في مرة سابقة سنة 1998، وعندما كنت بالسجن لسنتين كنائب لرئيس الرابطة، على تجميد 350 ألف دينار من أموال المعهد، ودائما لمساومته على عضويتي لمجلس إدارته، وإن لم تنجح وقتها في تحقيق هدفها، فإن الذعر الذي تملّك في حينها السيد الطيب البكوش بسبب ضغوط الحكومة، بلغ به إلى حد سحب إمضائه من على عريضة بادرت بها عدة شخصيات ومنظمات عربية ودولية كانت مجتمعة بالمغرب الأقصى، للتعبير عن تضامنها معي وللمطالبة بإطلاق سراحي. رابعا : أعبر عن تقديري الكامل لأغلبية أعضاء مجلس إدارة المعهد، وفي مقدمتهم ممثلي الرابطة وممثل المفوضية السامية لحقوق الإنسان بالأمم المتحدة، والذين عبروا بوضوح وحزم، خلال اجتماعات المجلس يومي 4 و 5 جوان الجاري عن تضامنهم معي وعن رفضهم لشروط الحكومة القاضية بتجميد عضويتي مقابل تسريح أموال المعهد المرتهنة لدى بنوكها. كما أعبر عن أسفي الشديد تجاه موقف السيد الطيب البكوش والذي عمل جهده أثناء المداولات وقبلها لتمرير ما تطمح له السلطات، وذلك بدواعي من فصيلة "المبادرة بدرء الذرائع" أو بناءا على تنظيرات واهية لا يقدر عليها أحد سواه، والقائلة ب " تقديم مصلحة المؤسسة على مصلحة الشخص" رغم معرفته أكثر من غيره (من خلال تجارب سابقة على الساحتين النقابية والحزبية) عقم وخطورة هذه التنظيرات... والتي عادة ما انتهت بنا للتسليم بحقوق الشخص والقضاء على استقلالية المؤسسة في نفس الحين .ا؟ خامسا : أحتفظ بحقوقي كاملة لإعلام المفوضية السامية لحقوق الإنسان بالأمم المتحدة المتابعة لملفي كأحد نشطاء حقوق الإنسان المضطهدين، بكل خفايا وأبعاد هذا الملف، كما سوف أمارس استحقاقات عضويتي لمجلس إدارة المعهد كاملة في المستقبل وعلى الساحة العامة، لأنهي اختياري السابق والذي كان مؤسسا على تقديرات أعترف اليوم بخطئها وعدم جدواها... وسوف أبدي رأيي بصفة عمومية - كل ما استدعى الأمر ذلك - في كل شؤون المعهد واختياراته وذلك رغم مواصلة التعتيم الإعلامي وغيره تجاهي، من طرف رئيس وإدارة المعهد والذي يمارَس منذ ثلاث سنوات. سادسا : هذا ما اعتبرته اليوم الحد الأدنى من التوضيح الواجب عليّ تجاه الرأي العام الحقوقي والديمقراطي التونسي والعربي والدولي المعني بشؤون هذه المؤسسة الرائدة، وسوف أعود إذا تمادوا في هتك استقلالية وحرمة المعهد العربي لحقوق الإنسان من جهة أو في محاولات المس من حقوقي كعضو لمجلس إدارته إلى حد يوم أن يتقرر خلاف ذلك في الهياكل الشرعية للرابطة التونسية للدفاع عن حقوق الإنسان.

بـاريس في 13 جوان 2005 خميس قسيلة عضو مجلس إدارة المعهد العربي لحقوق الإنسان وكاتب عام الرابطة التونسية للدفاع عن حقوق الإنسان


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