bandeau.html

Les articles publiés réflètent exclusivement les opinions des auteurs


rechercher dans le site:





Plan du site
MOTS CLÉ
NOUS CONTACTER

Vous êtes ici : La Tunisie, vivre sous la dictature > Tunisie : des prisonniers politiques placés en isolement cellulaire pendant des années

Agora
Penser librement
Economie
Monde
Opinions
Politique
Société

L’indiscret
Le blog des blogs tunisiens
Revolution Reloaded
Amarades contre la dictature
Anti-Con... (formismes)
DouDa Blog
En Tunisie, tout va bien sauf le tunisien
Fantaisies Solitaires
Hchicha au jour le jour
Hélène Flautre en Tunisie
Hou-Hou Blog
Infinity... Infiniment votre
islamla
Je Blog
jeunes-antimondialistes
L’élite tunisienne en grève de la faim
La démocratie ou le chaos
La Rebelle blog
Le Blog de Houeïda K. Anouar
Maherbaal
Mercure
Mohamed Bouchicha Blog
Moncef Marzouki
MyTunisie
Poèmes et nouvelles d’Algérie
Politun - La politique en Tunisie
Radio R
Stranger
tunisie democratie
Weblog du Parti Libéral Méditerranéen
yahyaoui.blogspot.com
[BozWorld]

Le ciel au-dessus de Tunis
Internautes prisonniers d’expression
Les internautes de Zarzis
Les jeunes de l’Ariana
Libérez Ettounsi !

La Tunisie, vivre sous la dictature
Au delà des mots, les faits
Nous n’oublierons pas

DéLivres
Compte-rendus de lectures, commentaires et bibliographies
Histoire
Politique
Sociologie-Anthropologie

Dans le blanc des mots
Images et multimedia

Liberté d’_expression

Mots dits
Lexique, pour savoir ce qu’on dit et dire ce qu’on sait

Les rapports de maux dits
Etudes, rapports et documents
Droits de l’Homme

Revue de presse
Les articles et brèves publiés dans cette rubriques ont été repris sur divers sites publics d’information gratuite. Leur publication sur reveiltunisien.org se fait exclusivement dans le cadre d’une revue de presse des nouvelles tunisiennes.
La Tunisie dans la presse étrangère
RDP d’Ahmed Fouednejm
RdP thématique

Dossiers thématiques

Les dossiers de Tunisie réveille-toi!

Conférences de TUNeZINE
Internet et libertés
L’affaire "Réalités"
Union de l’opposition




Derniers messages des forums de Reveiltunisien:

mac125 un portail tunisien comme j’aime.
> mac125 un portail tunisien comme j’aime.
3 mars 2006, par amira

je connais le site depuis un mois et j’y suis déja fana, il représente un espace de liberté avec ses limites mais tout de meme il représente une chance et un espoir quant à notre jeunesse tunisienne tres ouverte et critique.

L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
> Il ne faut pas rêver... la constitution sera encore discriminatoire
3 mars 2006, par Afif

Même Bourguiba qui pouvait oser, à cause du crédit de sympathie qu’il avait auprés du peuple en particulier au début de l’indépendance (on disait qu’il avait deux couilles, on a découvert qu’il n’avait qu’une seule), n’a pas osé ouvrir un chantier aussi miné.

Malheureusement ce débat ne se posera que dans plusieurs dizaines d’année, voire un siècle ou plus. Pour preuve : écoutez le silence des opposants qui luttent pou instaurer une démocratie en Tunisie, au mieux ils nous expliquent que la religion ne s’opposera pas à la démocratie et qu’il sont obligés de ne pas heurter les traditions séculaires(sic !). C’est ce qu’on appelle une "alliance tactique".(Re-sic !)

Comme si le Vatican pouvait faire preuve de démocratie !

Pauvre Tunisie qui est condamnée à vivre encore longtemps sous la dictature, dictature tantôt ouverte, tantôt déguisée.

Vous cherchez la démocratie ? Les Droits de l’Homme ? Vos papiers s’il vous plaît !...Allez...Circulez, il n’y a rien à voir... Au suivant...



Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
3 mars 2006, par hasni

le contenu de deux messages contenaient des termes propres à faire déraper la discussion. D’autres participations violentes ou tombant sous le coup de la loi du pays où est hebergé ce site n’ont pas été validées également. Nous ne souhaitons pas de plus entrer dans les polémiques qui entourent les positions de M. Dieudonné car elles ne concernent pas l’objet de ce site.

si des personnes désirent plus de précisions, nous répondrons par mail sur les termes qui n’ont pas permis la validation.

hasni



Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
3 mars 2006, par tunisien libre

je voudrais savoir pourquoi mes interventions n’ont pas eu l’aprobation de la rédaction de réveil tunisien

cordialement



L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
> L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
3 mars 2006, par hasni

vous comparez la constitution tunisienne qui a été manipulée par Ben Ali pour s’assurer l’impunité et que lui même ne respecte pas avec les constitutions de pays démocratiques. Certes, la démocratie à l’européenne n’est pas forcément un modèle reproductible, certes, il y a des inégalités, du chomage, du racisme etc en Europe mais on ne peut pas mettre sur un mm plan une dictature et une démocratie. sauriez vous dire la religion des différents présidents et présidentes des pays européens ?

L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
> L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
3 mars 2006, par sandatoute

je ne trouve pas que ce premier article de la constitution soit choquant, la Tunisie est un pays musulman, sa constitution reflète parfaitement l’état d’esprit et les attentes du peuple. Vous citez des articles de constitutions europeénes : les droits et les valeurs qu’on y mentionne ne sont qu’une façade un beau mensonge pour faire croire aux à une égalité des chances alors qu’il n’en est rien. C’et est ça restera lettre morte sur du papier (qant bien même constitutionnel). Au moins, la constitution tunisienne est lucide. Sans doute les politiques européennes, en ommétant d’évoquer ce problème d’appartenance religieuse et territoruale, font-preuve de plus de subtilité (qui reste néomoins hypocrite), mais sur le fond, le principe reste le même : on n’est pas prêts de voir un musulman à la tête d’un pays européen, est c’est tout à fait légitime (peut-être pas d’un point de vue laîc, mais ça l’est d’un point de vue culturel). La laïcité comme valeure suprême ne peut ,d’un point de vue objectif, être entièrement appliquée. Il est vrai, l’histoire culturelle et humaine d’un pays (sa religion et ses traditions) ne peuvent être anihilée au non de la République et de la laïcité.

Refuser les amalgames (Libération)
> Refuser les amalgames (Libération)
2 mars 2006, par Le vieux

Monsieur, Tout ce que vous dites est vrai si on prend la traduction du coran telle qu’elle l’est. Cependant, il faut aussi savoir que la langue du coran est très ancienne et cela suscite une bonne connaissance de la langue arabe pour bien comprendre le contenu. Je vous avoue que pas mal d’arabes musulemans n’arrivent pas à comprendre le vrai sens du livre saint ce qui mène des fois à une fausse interprétation.

Des penseurs musulemans appellent maintenant à instaurer un établissement qui se compose de différent savants arabes et musulemans(linguistes,docteurs, scientifiques, philosophes, traducteurs...) et ce est dans le but de faire une traduction qui puisse transmettre sans aucun malentendu le contenu du coran. En effet, ils reconnaissent ,(ENFIN), que c’est de leurs faute, mais aussi faute des moyens, que le coran est mal compris dans le monde ; il n’y a jusqu’à nos jours aucune traduction qui transmet vraiment l’âme du coran.

Bref, il nous reste beaucoup de temps pour réussir à se comprendre, et d’ici là il y aura sans doute des dégats.



Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
> Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
2 mars 2006, par 4 questions en attente de 4 réponses

d’accord.mais,il suffit pas de l’expliquer.il faut plutot,le prouver.
-  comment s’appele l’arabe qui a empreinté de chez les indiens,leurs chiffres !
-  et a quelle date !
-  et pourquoi un tel empreint alors,que les arabes possèdent leurs propres chiffres ?!
-  et pourquoi les calendriers arabes,les dictionnaires arabes,et les livres religieux...leurs pages sont numérotées en chiffres "indiens" alors,que le reste des livres sont numérotés par des chiffres "arabes" ?!

Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
2 mars 2006, par nous sommes tous égaux aux yeux de notre créateur a la seule condition citée dans le hadith,prophétique

d’accord,vous venez de faire une belle analyse mais,en présentant les choses a votre propre facon ! comme dit,le proverbe :(l’oiseau chante,et son aile lui sert d’écho).
-  1ère question :pourquoi,vous nommez les autres...(d’ennemies) avec(e)au lieu de les nommer,(adversaires) ?! et de qui parlez vous !
-  vous dites,que vous avez combattu des armées arabes mais,(sans haine et sans mépris)...admettons que ce que vous dites est,vrai.selon votre avis :lorsque un"colonisé"refuse de partager sa propre terre avec (l’agresseur-colonisateur).ce refus,doit-il (oui ou non)etre considèré par le "colonisateur" comme un motif "légale et légitime" qui lui donne le feux vert,(de coloniser,de déclencher une guerre,et de tuer des vies humaines-innocentes,et d’expulser une partie de la population de sa propre terre)...etc,etc... !
-  vous dites,(nous en israel...).mais,qui vous dit,que tous les israeliens pensent (tous kif kif)je veux dire,comme vous ! donc,vous ne pouvez représenter que votre propre personne et au maximum,les quelques israeliens qui partagent vos points de vues et qui sont désireux d’une (vraie-paie-juste et équitable).vous savez trés bien,qu’ils existent beaucoup d’israeliens qui utilisent la guerre au nom de la religion.et les plus durs se trouvent parmis,(les religieux) et les (politiciens)..
-  moralités :pour que nous puissions réaliser un jour si dieu veut,une vraie paix.nous ne devons et en un aucun cas, (cacher ou camoufler)une partie de la vérité.c’est un passage obligé,croyez moi.sachez que toute discussion basée sur la franchisité et la vérité.peut ouvrir a la longue,une "brèche" dans le chemin de la paix. bienvenue cher cousin,au site du réveiltunisien.cordialement

Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
> Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
2 mars 2006, par tunisie libre

Désolé de vous decvoir mais vous avez tort en arabe le 0 c’ecrit 0 est non pas (.)

les chiffres dont tu parles sont les chiffres indiens qui sont largement utilisé dans l’orient du monde arabe.

juste pour votre information les chiffres arabes sont 0, 1 , 2 , 3 , 4 ,5 , 6 ,7 ,8 ,9

malheureusement je n’est pas un clavier qui écrit les chiffres indiens ,mais tu dois sans doute les connaîtres



Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
> Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
2 mars 2006, par les 4 anges qui assurent la sécurité et qui maintiennent l’équilibre du globe terrestre

fais un peu d’effort,sois impartial dans ton raisonnement,et apprends a regarder la (vérité)par "deux" yeux sans chercher a plaire,a(x ou y).au fait,tu a oublié de nous parler des (anges) !
-  l’ange no 1 :s’appele,(le boucher-massacreur)des habitants de sabra et chatila.
-  l’ange no 2 :s’appele,le massacreur colonisateur des tchetchènes.chouhira par,(il faut les traquer jusqu’aux chiotes).
-  l’ange no 3 :s’appele,(le messih noir de la maison blanche).l’homme des révélations et des croisades "démocratiques-catholiquos-messianiques".
-  l’ange no 4 :s’appele,(le petit caniche guerrier)qui se plait de faire une place parmis les grands.il a décidé de ne manquer aucun rendez vous "pétrolier".et j’en passe sur le reste des anges...
-  moralités :tu viens de diviser la vérité en deux.portes-tu des lunettes marque :afflelou !


le pêché
2 mars 2006, par charlotte

Dieu pardonne à qui il veut il est juste est misericordieu aucun d’entre nous est capable de juger à sa place mais sachez que Dieu nous à prété la vie il nous l’à pas donnée donc c’est à nous de se préserver du mal et du pêché car l’homme n’est pas parfait.

« J’appelle à sa libération »
> « J’appelle à sa libération »
2 mars 2006, par citoyen tunisien

ce que j’ ai ressenti devant ce recit d"horreur............ ???!!!!! c’est un besoin immence de vomir !!!!!!!! un degout profond envers moi et mes "compatriotes" !!!!!!!!!!et une tristesse pour un pays qui est reduit à la "barbarie banalisée" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! comment ces "choses peuvent-elles se produire encore en tunisie ??????!!!!!!!!!! je ne comprends pas et je ne comprendrais jamais cette "decadence inhumaine effroyable"qu’est la torture.RIEN,ne peut justifier cette pratique ! ni dieu, ni ideologies,ni interets qq ils soient,ni "patrie,ni.. autre. "vivre" 12 ans en "cellule d’ isolement" !!!!!!!!meme en l’ immaginent çà fait mal ! j’espère qu ’un jour viendra ou toutes les victimes de tous les temps et tous les bords auront JUSTICE et les boureaux rendrons compte de leur me-"faits ! et que la tunisie redevient NOTRE PAYS A TOUS ET TOUTES SANS EXCLUSION AUCUNE !

Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
2 mars 2006, par Messager d’une paix eventuelle

D’abord je dois vous féliciter pour la qualité de votre article par sa forme, malgré que je ne suis pas d’accord sur le fond dont j’aimerais ’’ afiner’’ d’un brin, en complétant certaines omissions qui sont importantes à mes yeux :

Pour comprendre d’abord ma démarche- je me présente- Je suis un ancien comabattant de Tzahal, et comme tout citoyen israélien- J’ai combattu des armées arabes pendant ma jeunesse sans haine et sans mépris- uniquement pour préserver ma part de la terre après le lamentable rejet par la nation arabe du paratage de la palestine en 1947.

De mon point de vue :

Dans les relations interéthniques, il exite trois piliers essentiels : 1) Le matériel 2) le spirituel 3) le culturel.

Nous en Israël, nous combattons uniquement sur le plan matériel- c’est à dire la terre - la terre - et la terre- rien d’autre.

Nous n’avons pas de haine réligieuse ou un mépris réligieux envers nos enemies- Nous ne les traitons pas d’infidels ou de ’’chiens’’- au contraire, par l’historique de notre bible nous apprenons du le lien entre ISRAEL et ISMAEL- de JACOB et D’ESSAU, son frère, et de la séparation malheureuse causées par la jalousie des épouses d’Abraham, à l’origine de la rivalité concernant la terre et donc l’héritage.

Donc, sur le plan spirituel, nous n’avons aucun problème, puisque là aussi, notre démarche est limpide et propre, comme sur le plan matériel- parce que les choses sont claires et sans ambiguité.

Le problème de Dieudonné est essentiellement lié au fait qu’il opère dans la sphère ’’culturelle’’.

Il amène la haine par la communication culturelle, là ou elle n’a pas lieu d’être.

Il mène un combat de lâche, par des tribunaux interposés, sans prendre le fusil et risquer sa vie.

Il risque justement uniquement ce qui lui arrive par le boycot des médias et le mépris de la population dans sa large majorité. (Donc il n’y a pas lieu à se lamenter)

Je vous souhaite bonne chance en Tunisie, là ou vous êtes, un pays frére, et inschallah la paix pour un jour prochain.

Bien à vous, YAHOUDI.



Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
2 mars 2006, par Joe Guilian

Rien à ajouter à ces propos très justes et d’une pertinence adéquat !

Human Rights Watch
Tunisie : des prisonniers politiques placés en isolement cellulaire pendant des années
mercredi 7 juillet 2004, par Rédaction de reveiltunisien.org


(Paris, le 7 juillet 2004) - Le gouvernement tunisien maintient des dizaines de prisonniers politiques dans des conditions inhumaines d’isolement cellulaire. C’est ce que dénonce Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd’hui.

"La Tunisie recourt à l’isolement cellulaire prolongé pour écraser les prisonniers et les idées qu’ils représentent. Cette politique inhumaine ne sert aucun objectif pénal légitime."

a déclaré Sarah Leah Whitson, directrice exécutive de la Division Moyen-Orient et Afrique du Nord de Human Rights Watch

Sources Human Rights Watch

Le rapport de 33 pages intitulé "Tunisie : l’isolement cellulaire prolongé des prisonniers politiques" décrit comment les autorités tunisiennes continuent à maintenir en isolement prolongé jusqu’à 40 prisonniers politiques parmi les plus de 500 que comptent les prisons du pays. Cette politique viole la loi tunisienne ainsi que les normes pénales internationales, mettant à mal les affirmations du gouvernement qui prétend mener une réforme des prisons.

Certains de ces prisonniers politiques ont passé 13 ans en isolement, avec quelques rares périodes de répit. Le personnel pénitentiaire et les membres de leur famille qui leur rendent de brèves visites sont leurs seuls contacts humains directs. La plupart sont enfermés dans leur cellule 23 heures par jour, voire plus, et leur accès aux livres et aux autres médias est strictement limité.

"La Tunisie recourt à l’isolement cellulaire prolongé pour écraser les prisonniers et les idées qu’ils représentent", a déclaré Sarah Leah Whitson, directrice exécutive de la Division Moyen-Orient et Afrique du Nord de Human Rights Watch. "Cette politique inhumaine ne sert aucun objectif pénal légitime".

Tous les prisonniers en isolement prolongé sont des islamistes, pour la plupart dirigeants du parti interdit Nahdha. Les autorités ne leur ont pas dit pourquoi ils sont placés en isolement et elles ne leur ont donné aucun moyen de faire appel. Après avoir pourtant toléré le mouvement Nahdha pendant ses premières années au pouvoir, le Président Zine el-Abidine Ben Ali a, en 1990, déclenché une répression à l’encontre du parti qui s’est poursuivie jusqu’à ce jour.

La législation tunisienne interdit de recourir à l’isolement prolongé comme méthode de punition. Les normes pénales internationales stipulent que l’isolement cellulaire ne devrait être imposé que pendant des laps de temps relativement courts, au cas par cas et sous strict contrôle (notamment médical) et uniquement pour des raisons pénales légitimes touchant à la discipline et à la sécurité préventive. Il ne devrait pas être imposé pour empêcher les échanges d’opinions et d’informations politiques entre prisonniers.

"En dépit des récentes réformes des prisons en Tunisie, les détenus placés en isolement cellulaire sont toujours confrontés à des conditions atroces," a déclaré Whitson.

Les prisonniers politiques sont enfermés dans de minuscules cellules dépourvues de fenêtres, sans aération ni éclairage suffisants. La plupart ont droit à moins d’une heure d’exercice par jour en dehors de leur cellule. L’absence de stimulation intellectuelle raisonnable et de relations sociales normales met en péril leur santé mentale.

Beaucoup de ces prisonniers ont mené des grèves de la faim illimitées pour exiger la fin de leur isolement cellulaire et une amélioration de leurs conditions.

Le gouvernement tunisien soutient néanmoins que Nahdha est un mouvement extrémiste qui cherchait à instaurer un état fondamentaliste en Tunisie. En 1992, il a obtenu la condamnation, devant des tribunaux militaires, de 265 dirigeants et partisans du parti Nahdha pour avoir prétendument fomenté un complot visant à renverser le gouvernement. Bon nombre des prisonniers se trouvant actuellement en isolement cellulaire proviennent de ce groupe.

Cependant, les organisations de défense des droits humains qui ont suivi les procès de 1992 les ont qualifiés d’inéquitables et ont conclu que les accusations de complot contre l’Etat n’avaient pas été prouvées. Lors de ces procès, les accusés n’ont été reconnus coupables d’aucun acte de violence. Depuis lors, Nahdha n’a été lié à aucune activité violente. Par ailleurs, aucun élément n’a établit que les prisonniers en isolement prolongé ont eu au cours de leur détention un comportement qui a justifié une mesure aussi extrême à leur encontre.

"Les prisonniers condamnés pour avoir fait usage de leur droit à la liberté d’expression ou d’association sans recourir à la violence ne devraient, pour commencer, pas se trouver en prison," a ajouté Whitson. "Jusqu’à ce qu’elle décrète une amnistie, la Tunisie doit dès à présent mettre un terme à sa politique d’isolement cellulaire prolongé des prisonniers politiques".

Human Rights Watch a accueilli favorablement un commentaire émis le 20 avril par le Ministre tunisien de la justice et des droits de l’homme, Béchir Tekkari, laissant entendre que la Tunisie pourrait accepter que le Comité International de la Croix-Rouge effectue des visites dans les prisons. Si les autorités ouvrent la porte des prisons à des groupes de surveillance indépendants, l’une des toutes premières priorités devrait être de rendre visite aux détenus en isolement prolongé.

Le rapport de Human Rights Watch se fonde en partie sur des entretiens réalisés auprès des proches de prisonniers placés en isolement cellulaire. Le gouvernement n’a pas donné suite aux demandes de l’organisation qui souhaitait avoir accès aux prisons et recevoir des informations concernant sa politique en matière d’isolement cellulaire.

Témoignage tiré de "Tunisie : l’isolement cellulaire prolongé des prisonniers politiques"

Wahida Trabelsi, épouse de Hamadi Jebali, un dirigeant du parti Nahdha actuellement en prison, a expliqué à Human Rights Watch jusqu’où vont les autorités pour limiter ses contacts humains. Elle a décrit ce qui se passe lorsqu’elle arrive à la prison le jour de la visite :

Tout s’arrête. Toutes les portes sont fermées et ni mon mari ni moi ne voyons les autres prisonniers. Il y a toujours au minimum quatre gardiens présents, au moins un derrière moi et trois derrière Hamadi. Il y a une grille entre nous et nous sommes à plus d’un mètre l’un de l’autre. En principe, la visite est censée durer au moins quinze minutes mais les gardiens peuvent l’interrompre s’ils désapprouvent notre conversation. La conversation se limite donc à « Ca va ? », « Ca va », ce genre de choses.


Tunisia : Political Prisoners Held in Solitary for Years

(Paris, July 7, 2004) --The Tunisian government is holding dozens of political prisoners in inhumane conditions of solitary confinement, Human Rights Watch said in a report released today.

Tunisia is using long-term solitary confinement to crush political prisoners and the ideas they represent. This inhumane policy does not serve any legitimate penal objectives.

Sarah Leah Whitson, Executive Director, Middle East and North Africa Division

The 33-page report, "Tunisia : Long-Term Solitary Confinement of Political Prisoners," documents how the Tunisian authorities continue to hold as many as 40 of the country’s more than 500 political prisoners in long-term isolation in prisons around the country. This policy violates Tunisian law as well as international penal standards, undermining government claims of prison reform.

Some of these political prisoners have spent 13 years in isolation, with few breaks. Their only direct human contact is with prison staff and during brief family visits. Most are locked in their cells for 23 hours or longer each day, and they face highly restricted access to books and other media.

"Tunisia is using long-term solitary confinement to crush political prisoners and the ideas they represent," said Sarah Leah Whitson, executive director of Human Rights Watch’s Middle East and North Africa Division. "This inhumane policy does not serve any legitimate penal objectives."

All of the prisoners in prolonged isolation are Islamists, most of them leaders of the banned Nahdha party. Authorities have not told them why they are in isolation, or given them any means to appeal. After tolerating Nahdha in his first years of office, President Zine el-Abidine Ben Ali launched a crackdown against the party in 1990 that has continued to this day.

Tunisian law forbids long-term isolation as a form of punishment. International penal standards dictate that solitary confinement should be imposed only for short periods, in an individualized fashion, under strict supervision (including by a physician) and only for legitimate penal reasons of discipline or preventive security. Isolation should not be imposed to stop prisoners from exchanging political views and information.

"Despite recent prison reforms in Tunisia, inmates in isolation continue to face atrocious conditions," said Whitson.

Political prisoners are held in tiny cells that lack windows, adequate lighting and ventilation. Most receive less than an hour of exercise a day outside their cell. The lack of reasonable mental stimulus and normal social interactions puts their mental health at risk. Many of the prisoners have staged open-ended hunger strikes to demand an end to their isolation and improvements in their conditions.

The Tunisian government maintains nevertheless that Nahdha is an extremist movement that sought to establish a fundamentalist state in Tunisia. In 1992, it obtained convictions in military court of 265 Nahdha leaders and supporters for allegedly plotting to overthrow the government. Many of today’s prisoners in isolation are from that group.

However, human rights organizations that observed the proceedings condemned the 1992 trials as unfair and concluded that the charges of a coup plot had not been proven. The defendants in those trials were not convicted of carrying out any acts of violence. Since then, Nahdha has not been linked to any violent activities. Nor has evidence been released to suggest that, while in prison, the inmates currently held in long-term isolation engaged in behavior that would justify such an extreme measure against them.

"Prisoners convicted for nonviolent acts of speech or association should not be in prison at all," Whitson said. "Until Tunisia declares an amnesty, it must immediately end its policy of placing political prisoners in long-term isolation."

Human Rights Watch welcomed a comment by Tunisian Minister of Justice and Human Rights Béchir Tekkari on April 20, hinting that Tunisia might accept prison visits by the International Committee of the Red Cross. If the authorities do open prison doors to independent monitoring groups, visiting inmates in prolonged isolation should be among the highest priorities.

The Human Rights Watch report is based in part on interviews with the relatives of prisoners in isolation. The government did not reply to the organization’s requests for access to prisons and for information about its isolation policies.

Testimony from "Tunisia : Long-Term Solitary Confinement of Political Prisoners"

Wahida Trabelsi, wife of Hamadi Jebali, an imprisoned Nahdha leader, told Human Rights Watch about the lengths officials go to restrict his human contacts. She described what happens when she arrives at the prison on visiting day :

Everything stops. All the doors are closed, and neither my husband nor I see any other prisoners. There are always at least four guards present, one at least behind me and three behind him. There is a grill between us, and we are more than one meter apart. The visit is supposed to last 15 minutes, but the guards can cut it short if they do not approve of our conversation. So what we talk about is limited to "I’m fine," "Everything’s OK," that sort of thing.


Tunesien : Politische Gefangene werden jahrelang in Isolationshaft gehalten

(Paris, 7. Juli 2004) - Die tunesische Regierung hält Dutzende von politischen Gefangenen über Jahre hinweg unter menschenunwürdigen Bedingungen in Isolationshaft, gab Human Rights Watch in einem heute veröffentlichten Bericht bekannt.

In Tunesien versucht man politische Gefangene und die Ideale, die sie verkörpern, durch lange Isolationshaft zu zerschmettern. Einem legitimen strafrechtlichen Zweck dient eine solch unmenschliche Behandlung jedenfalls nicht.

Sarah Leah Whitson Direktorin der Mittlerer Osten- und Nordafrika-Abteilung von Human Rights Watch

Der 33-seitige Bericht : „Tunisia : Long-Term Solitary Confinement of Political Prisoners", zeigt, dass bis zu 40 der über 500 politischen Häftlinge des Landes sich derzeit in langfristiger Isolationshaft befinden. Diese Art von Strafvollzug verstößt sowohl gegen tunesisches Recht als auch gegen internationale Strafrechtsprinzipien und widerspricht den Behauptungen der tunesischen Regierung, sie hätte die Gefängnisse reformiert.

Einige der Betroffenen werden schon seit 13 Jahren, mit nur wenigen Unterbrechungen, isoliert eingesperrt. Das Gefängnispersonal und kurze Familienbesuche bedeuten für diese Menschen die einzigen menschlichen Kontakte. Die meisten müssen sich mindestens 23 Stunden am Tag in ihrer Einzelzelle aufhalten. Zugang zu Büchern und den Medien besteht nur sehr beschränkt.

„In Tunesien versucht man politische Gefangene und die Ideale, die sie verkörpern, durch lange Isolationshaft zu zerschmettern", erklärte Sarah Leah Whitson, Direktorin der Mittlerer Osten- und Nordafrika-Abteilung von Human Rights Watch. „Einem legitimen strafrechtlichen Zweck dient eine solch unmenschliche Behandlung jedenfalls nicht."

Bei den betroffenen Häftlingen handelt es sich ausschließlich um Islamisten, wovon die meisten von ihnen führende Mitglieder der verbotenen Al-Nahda-Partei sind. Über die Gründe für ihre Isolationshaft hat man sie nicht in Kenntnis gesetzt und ihnen auch keine Möglichkeit zur Berufung gegeben. Die Al-Nahda-Partei wurde 1990 von Präsident Zine el-Abidine Ben Ali verboten - nachdem er sie im ersten Jahr seiner Präsidentschaft noch toleriert hatte - und wird seit dem mit allen Mitteln bekämpft.

Das tunesische Strafrecht verbietet langfristige Isolation als Strafmaßnahme. Dem internationalen Strafrecht zu Folge ist diese Art der Einzelhaft nur über sehr kurze Zeiträume möglich. Auch dann darf eine solche Maßnahme nur unter sorgfältiger Betreuung und medizinischer Überwachung stattfinden und muss gemäß der Persönlichkeit des Betroffenen individuell konzipiert werden. Es muss außerdem einen angemessenen strafrechtlichen Grund für die Isolation geben. Hierzu gehören besonders die Aufrechterhaltung der Disziplin oder präventive Sicherheitsmaßnahmen. Kein rechtmäßiger Grund für Isolationshaft liegt dann vor, wenn sie dazu benutzt wird, die Gefangenen am politischen Informations- und Ideenaustausch zu hindern.

„Trotz einer kürzlich erfolgten Gefängnisreform", so Whitson, „sind Häftlinge in Isolationshaft in Tunesien noch immer völlig unzumutbaren Verhältnissen ausgesetzt".

Politische Gefangene sitzen in winzigen, fensterlosen Zellen, in denen es weder angemessene Beleuchtung noch Belüftung gibt. Die meisten dürfen sich nur weniger als eine Stunde am Tag außerhalb ihrer Zelle aufhalten und körperlich betätigen. Fehlende geistige Anregung und mangelnde soziale Interaktion führen oft zu psychischen Schäden bei den Betroffenen. Viele der Gefangenen befinden sich unbegrenzt im Hungerstreik, um damit ein Ende ihrer Isolationshaft und die Verbesserung der allgemeinen Zustände durchzusetzen.

Die tunesische Regierung aber besteht nach wie vor darauf, dass Al-Nahda eine Extremistenbewegung ist, die in Tunesien einen fundamentalistischen Staat ausrufen möchte. 1992 wurden in Militärgerichten 265 Al-Nahda-Führer und Anhänger wegen angeblichen politischen Umsturzplänen verurteilt. Viele der heute in Isolationshaft einsitzenden Gefangenen gehörten dieser Gruppe an.

Von Menschenrechtsorganisationen wurden die Verhandlungen von 1992 allerdings als unfair bezeichnet, bei denen die Anklagepunkte, es sei ein Putsch geplant gewesen, nie bewiesen werden konnten. Den Angeklagten wurden nicht die geringsten Gewalttaten nachgewiesen, und seit dieser Zeit ist der Name Al-Nahda nie mit gewalttätigen Aktivitäten in Verbindung gebracht worden. Es gibt auch keinerlei Hinweise darauf, dass die sich derzeit in Isolationshaft befindlichen Häftlinge im Gefängnis durch ihr Verhalten zu dieser extremen Art von Bestrafung Anlass gegeben hätten.

„Menschen, die nichts weiter getan haben, als in freier Rede und Versammlung auf friedliche Art und Weise ihre Meinung zu äußern, sollten überhaupt nicht im Gefängnis sitzen", sagte Whitson. „Tunesien sollte diesen Gefangenen generell Amnestie gewähren, aber bis es soweit ist, muss zumindest die lange Isolationshaft als Strafe sofort abgeschafft werden."

Human Rights Watch zeigte sich am 20. April erfreut über eine Bemerkung des tunesischen Justiz- und Menschenrechtsministers, Béchir Tekkari, mit der angedeutet wurde, man werde in Zukunft Gefängnisbesuche des Internationalen Komitees vom Roten Kreuz zulassen. Falls die Behörden wirklich unabhängige Überwacher in ihre Strafanstalten lassen, dann sollten Besuche bei langfristig isolierten Häftlingen mit die höchste Priorität haben.

Der Bericht von Human Rights Watch basiert teilweise auf Interviews mit den Verwanden der betroffenen Häftlinge. Von der tunesischen Regierung kam keinerlei Antwort, als Human Rights Watch dort Zugang zu den Häftlingen und Informationen über die Isolationspolitik forderte.

Zeugenaussagen aus dem Bericht :

Wahida Trabelso, die Ehefrau des inhaftierten Al-Nahda-Führers, Hamadi Jebali, berichtete Human Rights Watch über die ausgeklügelten Methoden der Behörden, mit denen die menschlichen Kontakte ihres Mannes auf eine Minimum erschwert werden. Sie beschrieb, welche Prozeduren sie an einem Besuchstag im Gefängnis gewöhnlich durchlaufen muss :

Alles steht still. Die Türen sind alle verschlossen und weder ich noch mein Ehemann bekommen andere Häftlinge zu Gesicht. Mindestens vier Wächter sind immer anwesend, davon steht mindestens einer hinter mir, mindestens vier hinter ihm. Zwischen uns befindet sich ein Gitter und wir sind mehr als einen Meter auseinander. Der Besuch darf höchstens 15 Minuten dauern, aber die Wächter können ihn auch früher beenden, wenn ihnen unser Gesprächsthema missfällt. Also können wir eigentlich nur sagen „Mir geht’s gut" und „Alles ist o.k." und solche Dinge."

Répondre à cet article

Dans la même rubrique :
« J’appelle à sa libération »
Tunisie : la mafia politique et les signes annonciateurs de la chute
Tunisie : la mafia politique et les signes annonciateurs de la chute
Des agents pénitentiaires sanctionnés / par Abou Zaydane
De la censure aux armes massivement liberticides en Tunisie
Le détenu aux pieds nus
Une pétition de 86 prisonniers tunisiens
Une pétition de 86 prisonniers tunisiens
Une pétition de 86 prisonniers tunisiens
Une pétition de 86 prisonniers tunisiens

Thèmes abordés :
droit de l’homme
Compte-rendu du PrepCom-2 de la 2ème phase du SMSI
Etre homosexuel en Tunisie
La femme tunisienne après Sharon
Human rights report in arabic and french
Petit compte-rendu de la conférence de l’UNESCO sur la société de l’information
Walid Samaali ou la disproportion de la sanction
Première journée à Tunis-Mercredi 14 septembre
Les droits humains en Tunisie
Tunisie : la police recourt à la force pour empêcher la tenue d’une réunion sur les droits humains
Appel pour sauver l’Institut arabe des droits de l’homme

harcelement
Avoir 8 ans en Tunisie
Les jumeaux Maher et Ramzi
Tunisie : les familles victimes et otages
Lettre de Mokhtar Lamouchi à Néjib Hosni
Printemps répressif en Tunisie
Manifestants tabassés par la police à Tunis
Montréal : Quand le tragi-comique du régime tunisien dépasse les frontières
Témoignage de la famille Trabelsi
Le 13 août de Hamida Ghali : « mettez-vous à ma place ! »
Qui a condamné le prisonnier politique Mohammed Ben Ali Chennaoui à la mort lente ? / AISPP

Islam
De mauvais goût, mais... par Taïeb Moalla
Caricatures xénophobes et réactions fanatiques par Mohamed-Chérif FERJANI
Y a-t-il un problème avec l’islam ?
Charte du musulman moderne
"Al-Takia"ou l’art de tromper l’ennemi chez les islamistes (4)
Anniversary of the Establishment of an-Nahdha Movement of Tunisia
A ben Ali
Caricatures
Taieb Smati : Candidat à Hammam Lif
L’islam et les femmes

prisonnier politique
Scandale de l’Ariana.
Kamel Ben Rejeb : un passeport pour l’espoir
Le soleil est levé ÈÒÛÊ ÇáÔãÓ
La Tunisie a soif de libertés par BOUCHADEKH Abdessalem
Pour une action efficiente afin de libérer les Prisonniers Politiques Tunisiens
Tunisie : la répression d’Internet jette une ombre sur le Sommet du Net
Communiqué de l’épouse du détenu politique Adel Ben Mohammed Ben Tahar Rahali
Une traduction d’El Maoukif
Interview d’El Asr du dirigeant islamiste Zyad Daoulatli
Une chanson sur la cyber-répression

Solidarité internationale
" La justice en Tunisie : état des lieux "
Les internautes de Zarzis et leurs familles en butte au harcèlement et à l’acharnement policiers
L’espoir est toujours là ?
Interview de Ayoub Sfaxi, par Luiza Toscane
Lettre de soutien au concert du 25 Mars ! (Comité de Tunisie)
Le ministre français des affaires étrangères s’exprime sur les internautes de Zarzis
Répression et persécution en Tunisie
La mobilisation paie
Manifeste pour une solidarité démocratique des Etats-Unis avec la Tunisie martyre et son peuple opprimé
CRLDHT : Lettre ouverte à Michel Barnier

Torture
Explosion de talent
Amnesty international : rencontre avec Radhia Nasraoui et Hamma Hammami, à Nyon (Suisse), 30 avril 2004
Les Leaders Arabes évitent le débat démocratique
Constitution d’un comité pour la libération des jeunes internautes de Zarzis
Ahmed Othmani, dirigeant de l’association Penal Reform International (PRI), Un ardent défenseur de la dignité humaine
Examples of Torture or other Cruel, Inhuman, or Degrading Treatment Condemned in the U.S. State Department’s 2003 Country Reports on Human Rights Practices
Non à L’indifférence, pour M.Hamadi Ben Abdelmalek
Hommage à Zouhair Yahyaoui et aux internautes de Zarzis
Chedly Jouini : le prix de la mémoire
ACAT - France se mobilise pour les internautes de Zarzis

Du même auteur :
Rédaction de reveiltunisien.org
Continuez ce que vous faites, restez à nos côtés, soutenez-nous
Trois pions du régime de Ben Ali
Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux
Trois pions du régime de Ben Ali
Les oiseaux migrateurs n’aiment pas la dictature
A história da mãe coragem
un petit mot sur la mort de mon ami Par Olfa
Refuser les amalgames (Libération)
Unité d’action pour un changement démocratique en Tunisie
Communiqué














Site réalisé sur SPIP
Rt est hébergé par Globenet et enregistré sur Gandi