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Derniers messages des forums de Reveiltunisien:

mac125 un portail tunisien comme j’aime.
> mac125 un portail tunisien comme j’aime.
3 mars 2006, par amira

je connais le site depuis un mois et j’y suis déja fana, il représente un espace de liberté avec ses limites mais tout de meme il représente une chance et un espoir quant à notre jeunesse tunisienne tres ouverte et critique.

L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
> Il ne faut pas rêver... la constitution sera encore discriminatoire
3 mars 2006, par Afif

Même Bourguiba qui pouvait oser, à cause du crédit de sympathie qu’il avait auprés du peuple en particulier au début de l’indépendance (on disait qu’il avait deux couilles, on a découvert qu’il n’avait qu’une seule), n’a pas osé ouvrir un chantier aussi miné.

Malheureusement ce débat ne se posera que dans plusieurs dizaines d’année, voire un siècle ou plus. Pour preuve : écoutez le silence des opposants qui luttent pou instaurer une démocratie en Tunisie, au mieux ils nous expliquent que la religion ne s’opposera pas à la démocratie et qu’il sont obligés de ne pas heurter les traditions séculaires(sic !). C’est ce qu’on appelle une "alliance tactique".(Re-sic !)

Comme si le Vatican pouvait faire preuve de démocratie !

Pauvre Tunisie qui est condamnée à vivre encore longtemps sous la dictature, dictature tantôt ouverte, tantôt déguisée.

Vous cherchez la démocratie ? Les Droits de l’Homme ? Vos papiers s’il vous plaît !...Allez...Circulez, il n’y a rien à voir... Au suivant...



Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
3 mars 2006, par hasni

le contenu de deux messages contenaient des termes propres à faire déraper la discussion. D’autres participations violentes ou tombant sous le coup de la loi du pays où est hebergé ce site n’ont pas été validées également. Nous ne souhaitons pas de plus entrer dans les polémiques qui entourent les positions de M. Dieudonné car elles ne concernent pas l’objet de ce site.

si des personnes désirent plus de précisions, nous répondrons par mail sur les termes qui n’ont pas permis la validation.

hasni



Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
3 mars 2006, par tunisien libre

je voudrais savoir pourquoi mes interventions n’ont pas eu l’aprobation de la rédaction de réveil tunisien

cordialement



L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
> L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
3 mars 2006, par hasni

vous comparez la constitution tunisienne qui a été manipulée par Ben Ali pour s’assurer l’impunité et que lui même ne respecte pas avec les constitutions de pays démocratiques. Certes, la démocratie à l’européenne n’est pas forcément un modèle reproductible, certes, il y a des inégalités, du chomage, du racisme etc en Europe mais on ne peut pas mettre sur un mm plan une dictature et une démocratie. sauriez vous dire la religion des différents présidents et présidentes des pays européens ?

L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
> L’article premier de la constitution tunisienne est un article discriminant
3 mars 2006, par sandatoute

je ne trouve pas que ce premier article de la constitution soit choquant, la Tunisie est un pays musulman, sa constitution reflète parfaitement l’état d’esprit et les attentes du peuple. Vous citez des articles de constitutions europeénes : les droits et les valeurs qu’on y mentionne ne sont qu’une façade un beau mensonge pour faire croire aux à une égalité des chances alors qu’il n’en est rien. C’et est ça restera lettre morte sur du papier (qant bien même constitutionnel). Au moins, la constitution tunisienne est lucide. Sans doute les politiques européennes, en ommétant d’évoquer ce problème d’appartenance religieuse et territoruale, font-preuve de plus de subtilité (qui reste néomoins hypocrite), mais sur le fond, le principe reste le même : on n’est pas prêts de voir un musulman à la tête d’un pays européen, est c’est tout à fait légitime (peut-être pas d’un point de vue laîc, mais ça l’est d’un point de vue culturel). La laïcité comme valeure suprême ne peut ,d’un point de vue objectif, être entièrement appliquée. Il est vrai, l’histoire culturelle et humaine d’un pays (sa religion et ses traditions) ne peuvent être anihilée au non de la République et de la laïcité.

Refuser les amalgames (Libération)
> Refuser les amalgames (Libération)
2 mars 2006, par Le vieux

Monsieur, Tout ce que vous dites est vrai si on prend la traduction du coran telle qu’elle l’est. Cependant, il faut aussi savoir que la langue du coran est très ancienne et cela suscite une bonne connaissance de la langue arabe pour bien comprendre le contenu. Je vous avoue que pas mal d’arabes musulemans n’arrivent pas à comprendre le vrai sens du livre saint ce qui mène des fois à une fausse interprétation.

Des penseurs musulemans appellent maintenant à instaurer un établissement qui se compose de différent savants arabes et musulemans(linguistes,docteurs, scientifiques, philosophes, traducteurs...) et ce est dans le but de faire une traduction qui puisse transmettre sans aucun malentendu le contenu du coran. En effet, ils reconnaissent ,(ENFIN), que c’est de leurs faute, mais aussi faute des moyens, que le coran est mal compris dans le monde ; il n’y a jusqu’à nos jours aucune traduction qui transmet vraiment l’âme du coran.

Bref, il nous reste beaucoup de temps pour réussir à se comprendre, et d’ici là il y aura sans doute des dégats.



Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
> Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
2 mars 2006, par 4 questions en attente de 4 réponses

d’accord.mais,il suffit pas de l’expliquer.il faut plutot,le prouver.
-  comment s’appele l’arabe qui a empreinté de chez les indiens,leurs chiffres !
-  et a quelle date !
-  et pourquoi un tel empreint alors,que les arabes possèdent leurs propres chiffres ?!
-  et pourquoi les calendriers arabes,les dictionnaires arabes,et les livres religieux...leurs pages sont numérotées en chiffres "indiens" alors,que le reste des livres sont numérotés par des chiffres "arabes" ?!

Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
2 mars 2006, par nous sommes tous égaux aux yeux de notre créateur a la seule condition citée dans le hadith,prophétique

d’accord,vous venez de faire une belle analyse mais,en présentant les choses a votre propre facon ! comme dit,le proverbe :(l’oiseau chante,et son aile lui sert d’écho).
-  1ère question :pourquoi,vous nommez les autres...(d’ennemies) avec(e)au lieu de les nommer,(adversaires) ?! et de qui parlez vous !
-  vous dites,que vous avez combattu des armées arabes mais,(sans haine et sans mépris)...admettons que ce que vous dites est,vrai.selon votre avis :lorsque un"colonisé"refuse de partager sa propre terre avec (l’agresseur-colonisateur).ce refus,doit-il (oui ou non)etre considèré par le "colonisateur" comme un motif "légale et légitime" qui lui donne le feux vert,(de coloniser,de déclencher une guerre,et de tuer des vies humaines-innocentes,et d’expulser une partie de la population de sa propre terre)...etc,etc... !
-  vous dites,(nous en israel...).mais,qui vous dit,que tous les israeliens pensent (tous kif kif)je veux dire,comme vous ! donc,vous ne pouvez représenter que votre propre personne et au maximum,les quelques israeliens qui partagent vos points de vues et qui sont désireux d’une (vraie-paie-juste et équitable).vous savez trés bien,qu’ils existent beaucoup d’israeliens qui utilisent la guerre au nom de la religion.et les plus durs se trouvent parmis,(les religieux) et les (politiciens)..
-  moralités :pour que nous puissions réaliser un jour si dieu veut,une vraie paix.nous ne devons et en un aucun cas, (cacher ou camoufler)une partie de la vérité.c’est un passage obligé,croyez moi.sachez que toute discussion basée sur la franchisité et la vérité.peut ouvrir a la longue,une "brèche" dans le chemin de la paix. bienvenue cher cousin,au site du réveiltunisien.cordialement

Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
> Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
2 mars 2006, par tunisie libre

Désolé de vous decvoir mais vous avez tort en arabe le 0 c’ecrit 0 est non pas (.)

les chiffres dont tu parles sont les chiffres indiens qui sont largement utilisé dans l’orient du monde arabe.

juste pour votre information les chiffres arabes sont 0, 1 , 2 , 3 , 4 ,5 , 6 ,7 ,8 ,9

malheureusement je n’est pas un clavier qui écrit les chiffres indiens ,mais tu dois sans doute les connaîtres



Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
> Les diplômés chômeurs occupent le siège de l’union régionale de l’UGTT de Gafsa
2 mars 2006, par les 4 anges qui assurent la sécurité et qui maintiennent l’équilibre du globe terrestre

fais un peu d’effort,sois impartial dans ton raisonnement,et apprends a regarder la (vérité)par "deux" yeux sans chercher a plaire,a(x ou y).au fait,tu a oublié de nous parler des (anges) !
-  l’ange no 1 :s’appele,(le boucher-massacreur)des habitants de sabra et chatila.
-  l’ange no 2 :s’appele,le massacreur colonisateur des tchetchènes.chouhira par,(il faut les traquer jusqu’aux chiotes).
-  l’ange no 3 :s’appele,(le messih noir de la maison blanche).l’homme des révélations et des croisades "démocratiques-catholiquos-messianiques".
-  l’ange no 4 :s’appele,(le petit caniche guerrier)qui se plait de faire une place parmis les grands.il a décidé de ne manquer aucun rendez vous "pétrolier".et j’en passe sur le reste des anges...
-  moralités :tu viens de diviser la vérité en deux.portes-tu des lunettes marque :afflelou !


le pêché
2 mars 2006, par charlotte

Dieu pardonne à qui il veut il est juste est misericordieu aucun d’entre nous est capable de juger à sa place mais sachez que Dieu nous à prété la vie il nous l’à pas donnée donc c’est à nous de se préserver du mal et du pêché car l’homme n’est pas parfait.

« J’appelle à sa libération »
> « J’appelle à sa libération »
2 mars 2006, par citoyen tunisien

ce que j’ ai ressenti devant ce recit d"horreur............ ???!!!!! c’est un besoin immence de vomir !!!!!!!! un degout profond envers moi et mes "compatriotes" !!!!!!!!!!et une tristesse pour un pays qui est reduit à la "barbarie banalisée" !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! comment ces "choses peuvent-elles se produire encore en tunisie ??????!!!!!!!!!! je ne comprends pas et je ne comprendrais jamais cette "decadence inhumaine effroyable"qu’est la torture.RIEN,ne peut justifier cette pratique ! ni dieu, ni ideologies,ni interets qq ils soient,ni "patrie,ni.. autre. "vivre" 12 ans en "cellule d’ isolement" !!!!!!!!meme en l’ immaginent çà fait mal ! j’espère qu ’un jour viendra ou toutes les victimes de tous les temps et tous les bords auront JUSTICE et les boureaux rendrons compte de leur me-"faits ! et que la tunisie redevient NOTRE PAYS A TOUS ET TOUTES SANS EXCLUSION AUCUNE !

Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
2 mars 2006, par Messager d’une paix eventuelle

D’abord je dois vous féliciter pour la qualité de votre article par sa forme, malgré que je ne suis pas d’accord sur le fond dont j’aimerais ’’ afiner’’ d’un brin, en complétant certaines omissions qui sont importantes à mes yeux :

Pour comprendre d’abord ma démarche- je me présente- Je suis un ancien comabattant de Tzahal, et comme tout citoyen israélien- J’ai combattu des armées arabes pendant ma jeunesse sans haine et sans mépris- uniquement pour préserver ma part de la terre après le lamentable rejet par la nation arabe du paratage de la palestine en 1947.

De mon point de vue :

Dans les relations interéthniques, il exite trois piliers essentiels : 1) Le matériel 2) le spirituel 3) le culturel.

Nous en Israël, nous combattons uniquement sur le plan matériel- c’est à dire la terre - la terre - et la terre- rien d’autre.

Nous n’avons pas de haine réligieuse ou un mépris réligieux envers nos enemies- Nous ne les traitons pas d’infidels ou de ’’chiens’’- au contraire, par l’historique de notre bible nous apprenons du le lien entre ISRAEL et ISMAEL- de JACOB et D’ESSAU, son frère, et de la séparation malheureuse causées par la jalousie des épouses d’Abraham, à l’origine de la rivalité concernant la terre et donc l’héritage.

Donc, sur le plan spirituel, nous n’avons aucun problème, puisque là aussi, notre démarche est limpide et propre, comme sur le plan matériel- parce que les choses sont claires et sans ambiguité.

Le problème de Dieudonné est essentiellement lié au fait qu’il opère dans la sphère ’’culturelle’’.

Il amène la haine par la communication culturelle, là ou elle n’a pas lieu d’être.

Il mène un combat de lâche, par des tribunaux interposés, sans prendre le fusil et risquer sa vie.

Il risque justement uniquement ce qui lui arrive par le boycot des médias et le mépris de la population dans sa large majorité. (Donc il n’y a pas lieu à se lamenter)

Je vous souhaite bonne chance en Tunisie, là ou vous êtes, un pays frére, et inschallah la paix pour un jour prochain.

Bien à vous, YAHOUDI.



Dieudonné ou l’autre caricature
> Dieudonné ou l’autre caricature
2 mars 2006, par Joe Guilian

Rien à ajouter à ces propos très justes et d’une pertinence adéquat !

Etre homosexuel en Tunisie
mercredi 7 décembre 2005, par Rédaction de reveiltunisien.org


Source Réalités

Lire aussi :

Tunisie : mirage d’ un pays ouvert... / par Amine

Homophobie et SIDA par Hasni

Le système d’éducation, les traditions, les mythes religieux ou culturels présentent l’homosexualité comme un comportement “indésirable, perverti, anormal et tragique”. Ces attitudes et ces valeurs sont profondément enracinées dans la tradition théologique, morale et légale de notre culture. Elles sont encore dominantes, même si la science tend à les discréditer et à présenter l’orientation homosexuelle comme faisant partie du potentiel humain. Evaluer la situation des homos dans notre pays n’invite pas à la plus franche des rigolades. Le sujet est lourd et même pesant. Problème lourd et complexe dans des contextes généraux qui ne le sont pas moins ! “ Ce douloureux problème ” de l’homosexualité y est même une plaie ouverte, quand tout le monde garde en tête les procès collectifs d’homosexuels en Egypte, ou les lapidations en Iran...

slam, à l’instar des autres religions, considère l’homosexualité comme étant un péché contre l’ordre établi par Dieu. La chariaâ, loi d’inspiration islamique appliquée dans certains pays arabes et africains, condamne très sérieusement l’homosexualité, puisque la récidive peut entraîner la peine de mort. C’est le cas dans certains pays du Golfe, où les homosexuels peuvent être soumis à la peine capitale ou perdre leurs droits civiques. En Afghanistan, plus de dix homosexuels auraient été exécutés pour leur sexualité par le régime des Taliban. En Iran, deux adolescents âgés de 16 et 18 ans ont été pendus le 19 juillet 2005, sur la place publique dans la ville de Mashhad, au Nord-Est du pays, au motif d’actes homosexuels. Pour les plus conservateurs, l’homosexualité est l’un des pires vices que l’humanité ait connus et doit être strictement punie. Pour d’autres, elle est plutôt une “ maladie qui doit être soignée ”.

La Tunisie, située à mi-chemin entre application libérale et répressive des dispositions légales à l’égard des homosexuels, tolère plus ou moins l’acte homosexuel pour autant qu’il demeure secret. Dans les milieux ruraux, la révélation d’un tel comportement peut toutefois conduire à la honte, au rejet, voire à des drames humains lorsque la famille se sent déshonorée.

Se cacher n’est pas un choix, c’est une obligation

Quoiqu’on pense d’eux, ils existent, et ils se cachent. Alors autant entendre ce qu’ils ont à dire. Changer le regard porté sur ceux que l’on préfère qualifier de “déviants sexuels” , pour ne pas dire “anormaux ”. En effet pour beaucoup, l’homosexualité est “ contre nature ”, puisqu’elle ne mène pas à la procréation, seul objectif assigné aux relations sexuelles. En terre musulmane, les homosexuels ne peuvent affirmer sereinement leur identité, car il ne saurait être question de s’afficher, encore moins de revendiquer des “droits homosexuels”. Etre homosexuel, c’est avant tout vivre caché pour ne pas être la risée de tous. “ Vivons heureux, vivons caché ”, tel pourrait être l’adage des homosexuels tunisiens. A la nuance près que se cacher n’est pas un choix mais une obligation et qu’ils sont loin d’être heureux. “ J’ai trois visages, un pour mes parents, un pour mes amis et celui que me renvoie le miroir, confie Walid, un jeune de 22 ans ”. S’il reconnaît devoir mener une double vie pour “ être tranquille ”, il a pourtant fait le choix d’assumer son homosexualité. L’assumer d’abord vis-à-vis de lui-même. Ce qui signifie passer outre la honte ou la culpabilité que renvoient sans cesse la famille et la société. Or, ces sentiments sont profondément ancrés en chacun pour les avoir intériorisés tout au long des années d’enfance et d’adolescence.

“ Ma tante nous a surpris ”

Le nom choisi (pour la circonstance) par cet étudiant de 26 ans, est Samir, il a bien voulu témoigner, mais sans se faire voir. Nous avons communiqué en toute franchise par téléphone. Un timbre de voix qui ne laisserait aucune femme indifférente. Une voix chaude et virile au bout du fil nous confiait :

“ Il faut être très fort pour s’assumer en tant qu’homosexuel dans notre pays. Aujourd’hui, si on a 15 ans et qu’on se sente plutôt attiré par les hommes, on est perdu. Il n’existe aucune référence, aucun modèle. Il n’y a pas de visibilité gay. On se sent isolé et il est difficile de s’accepter comme tel. Pour se rassurer, on se dit que c’est peut-être passager. ” Samir a eu sa première expérience à 7 ans, avec un copain : “ Je n’avais pas le sentiment de transgresser quoi que ce soit. Je le vivais comme une découverte du sexe, un jeu entre gamins. Un jour ma tante nous a surpris. C’est elle qui m’avait dit, pour la première fois ce que c’était, avant de m’informer que “c’était très mal et qu’il ne fallait plus jamais le refaire”. Depuis, je continuais en secret mes jeux sexuels avec les petites filles et les petits garçons de mon âge ”.

Plus tard, à l’âge de 16 ans, il vit sa première expérience hétérosexuelle avec la femme de ménage qui s’occupait depuis longtemps de la maison. “ Tous les garçons du quartier la trouvaient très belle et lui lançaient des cascades de boniments et de compliments. Ils me disaient que j’avais de la chance d’avoir à la maison une fille aussi belle et accessible. Un jour, nous étions seuls à la maison et c’est vrai qu’elle était très belle, je l’ai regardée, je lui ai caressé les cheveux... Elle était surprise, et me disait que j’étais son frère, que ce n’était pas très bien ce que je faisais, mais elle se laissait faire. On s’est retrouvé dans ma chambre, il faisait sombre et elle ne voulait pas allumer la lumière. Je continuais mes caresses et, elle ne me prenait pas au sérieux et n’arrêtait pas de rire en me répétant :“Tu es mon frère, tu es mon frère...” . Cela a été un échec total malgré mes efforts pour la séduire. Je ne comprenais pas... Depuis je suis bloqué avec les femmes. J’ai eu d’autres aventures, mais cela n’a jamais abouti. J’avais en plus un complexe ; j’étais extrêmement timide et je ne me trouvais pas beau avec mes lunettes de vue. Je voulais au fond de moi avoir une copine mais le blocage se manifestait à chaque fois. J’ai eu la trouille d’en rester là. J’ai voulu en avoir le cœur net, en sortant même avec des filles de joie. Seulement ce n’était que des préliminaires en perdant un peu de ma timidité, mais le blocage persistait et, encore une fois, c’était l’échec sexuel. Le paradoxe est que je plaisais aux hommes et ma véritable expérience sexuelle a été avec un cousin. Depuis, je n’arrive à être bien qu’avec des expériences homosexuelles. Cela n’empêche que mon plus grand désir reste de séduire une femme et me marier plus tard. ”. Voilà le dilemme de Samir. Paraître ce qu’il n’est pas, n’est pas une chose aisée. Il n’est pas facile de tromper les autres sans se perdre un peu soi-même. C’est parce qu’il ne supportait plus cette duperie permanente et qu’il a des amis sur lesquels compter, que Samir va oser se confier, entamant ainsi un long travail pédagogique sur lui-même et sur son homosexualité avec un psychologue. Il croit de plus en plus qu’il n’est pas déviant, qu’il est comme tout le monde, qu’il aspire à une vie de couple et à un avenir serein. Il trouvera sans doute quelques oreilles attentives et suffisamment ouvertes pour ne pas le juger et le rejeter.

“ Je me suis rendu compte que je pouvais vivre en Tunisie ”

Pour Issam, c’est en France où il poursuit ses études que le déclic s’est produit : “ J’ai découvert d’autres horizons. D’abord, il n’y a pas ce préjugé que l’on vit ici, tout simplement parce que l’homosexualité n’est pas illégale. J’ai pu sortir, vivre ma vie comme je l’entendais. Mais l’élément déclencheur a été mon colocataire qui était tunisien. Le dialogue s’est instauré naturellement. Nous avons parlé de mon homosexualité, et à ma grande surprise, il l’a acceptée sans problème. C’est alors que je me suis rendu compte que je pourrais la vivre en Tunisie ”. Bel optimisme qui le poussera à aller plus loin encore en faisant son coming-out auprès de sa mère. Il entendra le leitmotiv d’usage : “ Tu es jeune, c’est passager ”, puis les menaces du genre : “ C’est péché, c’est contre nature... ”. Ce n’est que lorsqu’il prononcera le mot “ amour ” que la sentence a été sans appel : “ Si tu t’assumes ici, c’est la rupture ! ”. Depuis, désemparée par ce fils “déviant”, sa mère commence désespérément à vouloir le marier. Pour elle, une certitude demeure : seul le mariage peut le ramener dans le droit chemin. De ce fait, Issam dit ne pas se sentir prêt à renoncer à son statut social et, lié par une promesse faite à sa mère, il a rompu avec son petit ami et vécu une véritable déchirure. Au grand soulagement de sa mère, Issam s’est marié l’été dernier avec une charmante jeune fille issue d’un petit village côtier. Ce mariage s’est soldé par un divorce six mois plus tard pour incompatibilité sexuelle.

“ Il ne faut pas donner de certitude aux gens ”

La majorité des homosexuels, en Tunisie, n’ont pas le courage de Issam ; ils préfèrent vivre cachés, à l’abri des apparences. Ceux que nous avons rencontrés sont unanimes : on peut vivre son homosexualité en Tunisie, mais la condition sine quanon reste la discrétion, sinon on risque d’être la risée de tous, dans le quartier, à la fac ou au travail. Il ne faut pas donner de certitude aux gens. Il vaut mieux faire persister le doute. Beaucoup de gays entretiennent ce doute pour avoir la paix. Combien d’entre eux mènent une double vie ? Le jour, les plus jeunes s’inventent des petites amies, les plus âgés se marient, et ont même des enfants, mais la nuit leur appartient. Ils en font ce qu’ils veulent. Avouer à sa famille, voire ses amis, son homosexualité est quasiment impossible, par peur d’incompréhension, de condamnation, voire de culpabilisation personnelle. Souvent, ce sont les sœurs, les cousines, parfois la mère qui sont dans la confidence. Au pire et dans la grande majorité, la personne restera seule face à elle-même, à ses dilemmes, à ses mensonges et à ses souffrances.

Slimane, 22 ans est, en revanche, bien dans sa peau. “ Je n’ai absolument aucun problème à vivre ma sexualité normalement en Tunisie et je n’ai jamais pensé à quitter le pays comme plusieurs autres”. Slimane partage sa vie avec un jeune homme habitant la même région que lui. Tant que son entourage n’est pas au courant, rien ne l’empêche de le faire, confie ce jeune garçon pour lequel “ il ne faut rien changer à la société tunisienne ”. A Hammamet, nous apprend-il, comme dans d’autres grandes villes, il y a des points de rencontre d’homosexuels, cafés, boites de nuits et hammams. Qu’une âme solitaire cherche de la compagnie, elle sait alors tout de suite où aller. Pourtant, dans la Capitale, tous avouent se sentir le plus à l’aise.

“ A Tunis, je peux draguer partout sans avoir peur d’être agressé ”, raconte ce jeune ; comme son ami, c’est à Tunis qu’il va pour respirer et fuir la surveillance des parents. Quand je suis dans ma ville, je fais tout pour m’habiller de manière à ne pas attirer l’attention. Dès que je suis à Tunis, mon look est différent et mes attitudes aussi. L’interdit, tous ont appris à jouer avec. L’entourage étant très rarement au courant, ils peuvent même inviter leur partenaire chez les parents sans que personne ne se doute de rien.

Un autre Slimane, 36 ans, s’en souvient : “ Mes parents ont connu tous mes partenaires. Bien sûr, ils ne se sont jamais douté de rien, pensant que j’invitais chez eux des collègues de bureau ”. Mieux encore, souligne Slimane, il est plus facile pour un couple homo que pour un couple hétéro de vivre pleinement sa sexualité puisque les hommes peuvent habiter ensemble, voyager ensemble, et même prendre la même

chambre d’hôtel, la loi ne l’interdit pas. Alors qu’un couple hétéro non marié aura beaucoup plus de problème pour vivre son intimité. Dans la clandestinité, semble vouloir dire Slimane, tout est possible. “ Pour s’en sortir, il faut savoir se faire respecter. Ne pas provoquer. Quand je croise les jeunes du quartier en bande, j’entends des commentaires pas très fins sur moi. Je dis bonjour et je passe mon chemin en ayant l’air de n’avoir rien entendu. Ces mêmes jeunes, quand je les croise et qu’ils sont seuls, tout change, ils sont polis avec moi et très gentils. Certains me font même comprendre qu’ils aimeraient bien une petite aventure... ”

Des noctambules invétérés

Forcés d’être vigilants le jour, la majorité des homosexuels, par la force des choses, sont des noctambules invétérés et fréquentent les quelques lieux où ils ne s’afficheront pas, mais pourront un tant soit peu être eux-mêmes. A 21 heures, un café donnant sur l’une des plus grandes artères de la ville est un lieu quelconque, aménagé en deux étages. Comme la plupart des cafés le soir venu, la clientèle est presque exclusivement masculine. Tawfik arrive seul. Aucun de ses amis n’a accepté de rencontrer une journaliste. Pourtant ni leurs noms, ni leurs emplois, ni leurs adresses ne seront mentionnés, pour éviter qu’ils soient reconnus, une fois l’article publié. Leur réponse sera sans appel : ils ne se livreront jamais à une journaliste tunisienne. Tawfik, lui est sans complexe. C’est un habitué de ce café et il connaît bien les lieux. C’est en fin d’après-midi qu’il vient retrouver ses amis. Depuis quelques années déjà, ce café est un endroit que les homosexuels ont investi pour en faire un lieu de rencontres, un quartier général où ils peuvent “se retrouver entre eux” . Tawfik explique : “Cela ne veut pas dire que seuls les homosexuels fréquentent ce lieu. Mais seuls les homosexuels peuvent savoir qui l’est et qui ne l’est pas”. Comment ? Tawfik sourit et répond : “C’est inexplicable ! Moi je saurais, avec de très minces chances de me tromper. Le regard est très important. Je peux savoir, à la façon dont un homme regarde un homme assis à une autre table, s’il est homo ou pas. ”

“ Les homosexuels sont une bonne clientèle ”

Autant le propriétaire du café que les serveurs savent que le lieu est très fréquenté par les homos. Sont-ils pour autant accueillis à bras ouverts ? “ Si on se retrouve ici, ce n’est pas parce que le propriétaire l’a voulu ou l’a encouragé. Il ferme les yeux, parce que les homosexuels sont une bonne clientèle. On dépense beaucoup, ce qui est normal, puisqu’on n’a ni femme ni enfants. ”

Autre particularité du milieu homo : toutes les classes sociales se fréquentent et il n’est pas rare qu’un richissime d’un quartier huppé fréquente un jeunot d’un quartier populaire. On ne peut s’exclure entre exclus !

Mais qu’en est-il de la vie amoureuse homosexuelle ? C’est là où cela se complique. Très peu d’histoires durent longtemps, vu toutes les pressions subies. Ceci dit, exceptionnellement, il y a des couples qui durent, surtout quand les deux partenaires n’habitent plus chez leurs parents et sont indépendants financièrement. Aziz confirme que toutes ses relations ont duré plus de deux ans. Il habite dans un beau quartier en banlieue nord et ne parle jamais à personne.

“ Les actifs ne sont pas si mal vus ”

Même si dans notre société, la religion comme la loi condamne l’homosexualité, les “actifs” ne sont pas si mal vus. Curieusement, les très efféminés sont bien acceptés aujourd’hui et même recherchés dans les soirées et les mariages. Or, force est de constater que vis-vis de l’homosexualité comme de la sexualité en général, la société tunisienne s’est engouffrée dans de petits “arrangements” , notamment en s’appuyant sur une distinction culturellement très forte entre l’actif et le passif. Dans la culture arabe, l’homosexuel n’est pas défini comme tel, remarque un sociologue de la place. Ce qui est répréhensible, c’est qu’un homme adopte le comportement d’une femme, en clair qu’il soit passif. Les gens ont avant tout des pratiques sexuelles, des hommes couchent avec d’autres hommes, cela ne veut pas dire qu’ils se pensent homosexuels. Souvent les rapports d’argent entre un homme mûr et un jeune permettent de vivre le rapport sans trop culpabiliser. Ces rapports monnayés sont fréquents, pas seulement avec des étrangers mais aussi entre Tunisiens.

En restant arc-boutée sur cette “ autre hiérarchisation de l’espace homosexuel, et cette distinction entre celui qui est actif (viril) et celui qui est passif (efféminé) est une réalité que vivent tous les homosexuels tunisiens. Une personne qui est identifiée comme active peut se permettre d’avoir des rapports avec des hommes du moment qu’il garde tous les attributs de la virilité. “ C’est un homme ”, dira t-on ! C’est celui qui choisit le rôle de la femme qui est socialement méprisable. Pour parler d’homosexualité, ne sont désignées que les personnes efféminées considérées comme “malades” ou comme des erreurs de la nature.

“ Je ne suis ni malade ni une erreur de la nature ”

Salwa, 42 ans, artiste se confie :

“ Pour être honnête, j’avais décidé de me marier pour tenter d’effacer de ma mémoire une liaison homosexuelle que j’avais vécue à l’âge de 23 ans avec une femme de 40 ans j’avais d’abord connu les caresses d’une femme à l’âge de 12 ans, dans un hammam. Cette femme était la gardienne de ce lieu. Cette liaison m’avait beaucoup troublée. Toujours est-il qu’aujourd’hui, j’ai décidé, une suite à une rupture conjugale, de vivre mon homosexualité sans mensonge envers les autres et moi-même. Il est évident qu’il n’est pas facile de révéler cette situation à son mari, à ses enfants et à sa famille. Mais c’était indispensable pour éviter les bévues, les lapsus révélateurs et surtout les ragots de certaines personnes bien intentionnées qui ne manqueraient pas de raconter que je vis en compagnie d’une femme. Tout finit par se savoir ! Dans ces conditions, les mauvaises langues auront le bec cloué. C’est mon mari qui a eu la primeur de l’information. Les mots avaient de la peine à sortir pour exprimer tous mes tourments et en même temps la délivrance de pouvoir dire mes préférences amoureuses. Je sentais bien mon mari attentif, tendu et ému à la fois d’entendre sa femme, après dix ans de vie commune, lui faire des déclarations aussi graves. Comme moi, il avait presque les larmes au yeux. Mais constatant ma sincérité et la confiance que je mettais en lui, le climat s’est peu à peu détendu et les confidences ont trouvé leur place au cours de ce dialogue que je n’oublierai jamais”.

Nadia Ayadi

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> Etre homosexuel en Tunisie
19 février 2006, par oulfa   [retour au début des forums]

Il est triste de constater que, comme trop souvent, l’intérêt porté aux questions de l’homosexualité suppose de n’aborder que le sujet des hommes homosexuels... Je cherchais ici, comme le titre de l’article "Etre homosexuel en Tunisie" peut le laisser supposer, des témoignages de filles lesbiennes en Tunisie, ou au moins des infos ou commentaires.

Pourquoi cette question ne semble-t-elle intéresser personne ?? Sommes-nous inexistantes ? Devrions-nous nous en réjouir et profiter de ce silence pour vivre dans l’indifférence ? S’il n’est déjà pas facile pour un garçon de grandir, de se "reconnaître" et s’épanouir en tant qu’homosexuel en Tunisie, comment une fille peut-elle trouver ne serait-ce que quelques références ?

Il y a statistiquement autant d’hommes que de femmes homosexuel(le)s, et la plupart du temps notre sort est tout bonnement ignoré ! La raison en serait-elle simplement une différence d’acte sexuel ? La sodomie est-elle tout ce à quoi l’on pense quand on pense à l’homosexualité ? Se construire, aimer et être aimé, s’assumer, être heureux, tout cela n’importe-t-il pas ? Est-ce que lorsque l’on croise un couple hétérosexuel on pense systématiquement à ce qu’ils font dans leur chambre ? Tout cela me dépasse un peu, j’ai l’impression de n’être personne, je me sens triste et seule, je me perds, j’aimerais des réponses...

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> Etre homosexuel en Tunisie
10 janvier 2006   [retour au début des forums]

bonne fete de l’aid el kébir

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> Etre homosexuel en Tunisie
27 décembre 2005, par John   [retour au début des forums]

Jusqu’a ce jour, j’aı pu vivre dans beaucoup de pays en Europe, Afrique ou le Moyen Orient. Etant homosexuel, j’ai appris qu’on peut tres bien vivre sa sexualite en restant discret. Il est clair, c’est le plus difficile pour les jeunes. Moi-meme, j’ai aide beaucoup de jeunes simplement par etre a l’ecoute et en les donnant quelques pistes sur le ’comment survivre’ avec leur sexualite. Je ne suis ni religieux, politicien ou une personne speciale. Je travaille en Tunesie, je y gagne mon pain, je respecte tout le monde. J’ai employe qqs jeunes qui sont homosexuel afin de leur donner un peu de courage et de les aider. Je veux aider que les homosexuels se sentent mieux chez eux car demenage dans un autre pays comporte beaucoup de risques et de difficultes. Je continuerais dans le future aider toute personne qui en aurais besoin, sans grands discussions. Je laisse ’le parler’ aux autres.

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> Etre homosexuel en Tunisie
19 décembre 2005, par 3am ali   [retour au début des forums]

Je voulais signaler a tous les lecteurs que ce texte n’est autre q’un article de l’hebdomadaire realites, il est a mon avis scandaleux de ne pas le mentionner et donc de pretendre que cette article est l’oeuvre de la redaction de ’reveil tunisien’ Merci

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> Etre homosexuel en Tunisie
9 décembre 2005, par Hannibal II   [retour au début des forums]

encore une fois c’est la religion qui arrive a exclure une partie de la population.

Le systeme de valeurs introduit par l’islam (ainsi que les deux autres religions monotheistes dont il se proclame)permet avec l’aide de certaines lacunes culturelles, de criminaliser les actes sexuelles entre deux personnes adultes consentants et responsables.

l’homosexualite a toujours existe, meme pendant les epoques omeyades et abbasides meme dans les palais des khalifats (la plus haute autorite religieuse). si c’etait juste une maladie ou une mode, elle ne transgresserai pas les epoques, les cultures et les ethenies.

les gay et lesbiennes tunisiens sont juste toleres par le pouvoir, ils sont a la merci d’une eventuelle 5amla (compagne), comme celle des akhlak el hamida ( bonnes meurs) menee par le pouvoir il y a deux ans.

il faut que ca change

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