BEAUMARCHAIS
Si l’on veut tenter de cerner Beaumarchais, il faut, avant que de se plonger dans ses œuvres, se pencher sur sa vie, véritable tourbillon qui vaut la peine d’être évoqué, au moins dans ses grandes lignes.
En 1732, Pierre-Augustin nait rue Saint-Denis, septième enfant du ménage Caron et seul garçon (1725, Marie-Josèphe, la future Mme Guilbert ; 1731, Marie-Louise dite Lisette, la future fiancée de Clavijo ; 1734, Madeline-Françoise dite Fanchon ; 1735 Marie-Julie dite La Bécasse, qui restera fille ; 1737, Jeanne-Marguerite dite Tonton.). Il est baptisé le lendemain à Saint-Jacques-de-la-Boucherie. Son père, André-Charles Caron, né en 1698 dans une famille briarde et protestante, est reçu maître-horloger en 1722, (il a abjuré l’année précédente) et épousé Marie-Louise Pichon. La famille habite rue Saint-Denis, près de la rue de la Ferronnerie. En 1802, un arrêté de la commission règle définitivement les comptes de l’affaire des fusils de Hollande. Bibliographie Lettre sur les horloges (1753) Beaumarchais, à la FNAC. | Dernières brèvesActualités
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