[...] j’ouvris les yeux, et je vis mon chat qui frottait sa moustache à la mienne en manière de congratulations matinales car l’aube tamisait à travers les rideaux une lumière vacillante.
C’est ainsi que finit mon rêve d’opium, qui ne me laissa d’autre trace qu’une vague mélancolie, suite ordinaire de ces sortes d’hallucinations.